La Gloire et la Peur

peureuse, S'alla cacher sous les eaux, Dans les joncs, dans les roseaux, Dans les trous du marécage, Sans oser de longtemps regarder au visage Celui qu'elles croyaient être un géant nouveau ; Or c'était un Soliveau, De qui la gravité fit peur à la première Qui de le voir s'aventurant Osa bien quitter sa tanière. Elle approcha, mais en tremblant. Une autre la suivit, une autre en fit autant, Il en vint une fourmilière ; Et leur troupe à la fin se rendit familière Jusqu'à sauter

société nous ont tous projeté un regard de nous-mêmes que nous avons crû et avons fait nôtre. Alors, ce n'est pas étonnant que nous n'agissions que par les autres, pour plaire, par peur. Socrate disait : "Être homme de bien et ne pas chercher à le paraître, c'est le vrai chemin de la gloire." Beaucoup de gens ont peur simplement de se regarder, de se découvrir ; ils aiment mieux rester la tête dans le sable et s'identifier par ce que les autres leur projettent ; c'est moins menaçant, plus sécurisant

m’as nourri longtemps du lait de ta mamelle ». Ici le poète regrette sa terre natale dont il fût éloigné. L’exil est donc marqué par le regret évoqué par le titre mais aussi par la peur et l’inconnu. En effet, Joachim Du Bellay « erre par la pleine » ce qui nous fait sentir qu’il se sent perdu. Dans Poésies aussi la peur est présente avec « hante », « fantôme », « horreur » ainsi que la poème de Victor Hugo puisqu’il voudrait « fuir ». Chacun de ces poètes s’exprime par le « je » ce qui participe au

se souvenir Vous n'avez réclamé la gloire ni les larmes Ni l'orgue ni la prière aux agonisants Onze ans déjà que cela passe vite onze ans Vous vous étiez servi simplement de vos armes La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait

étant soit la domination dictatorial de la Terreur ou bien alors justement la suprématie de la démocratie. Après nous avoir livré son analyse politique de la démocratie, Guizot nous dévoile son sentiment personnel. On peut deviner de la peur dans ce texte, la peur face à un ennemi terrifiant ( ligne 36: « le mal est immense ») qui ronge le pays de l'intérieur ( ligne 19: «  société réduite à cette condition déplorable »). Il dit même ligne 42 que le pays à besoin que « Dieu la protège » contre ce

de l’humanité. Notre vie organisée a besoin des singulières propriétés de l’idée de la mort. L’idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l’agent secret ou terriblement manifeste de la politique, l’excitant essentiel de la gloire et des grandes amours – l’origine d’une quantité de recherches et de méditations. Parmi les produits les plus étranges de l’irritation de l’esprit humain par cette idée (ou plutôt par ce besoin d’idée que nous impose la constatation de la mort

quoi Julien Sorel pense au moment où Mathilde, sa fiancée et la fille de son patron Marquis de la Mole, lui apporte la nouvelle que son père l’a anobli et lui a procuré un poste de lieutenant de hussards. À 23 ans, il voit ainsi tous ses rêves de gloire réalisés. En l’espace d’à peine quatre ans, ce fils cadet d’un pauvre charpentier s’est élevé au rang de l’aristocratie. Et il n’attribue son ascension sociale si rapide et si éclatante qu’à lui-même. Oui, à lui seul tout le mérite : j’y consens

A La Gloire du Grand Architecte de l’Univers Au Nom et sous les Auspices de la Grande Loge de France Francs-maçons de Rite Ecossais Ancien et Accepté Liberté, Egalité, Fraternité, A la Gloire du Grand Architecte de l’Univers, Vénérable Maitre et vous tous mes FF. Le titre de ma planche est : « Le cabinet de réflexion » Avant d’aborder le symbolisme même du cabinet de réflexion, je vais vous faire part de mon ressenti des moments qui ont précédé mon entrée dans ce cabinet de réflexion

jouir de son amour avec Curiace ... Acte II[modifier] Scène 1 Horace et ses frères ont été choisis pour défendre Rome lors du combat qui décidera du sort des deux cités. Curiace est partagé entre son désir de voir Albe victorieuse, et sa peur de voir mourir son beau-frère et ami. Scène 2 Flavian vient annoncer à Curiace que lui et ses frères ont été choisis pour défendre Albe. Curiace est étonné car il ne se croyait pas assez fort, mais il accepte. Scène 3 Horace et

pas surhumain ! (chant V) Au chant V, c'est-à-dire à la fin du périple chronologique d’Ulysse, celui ci connait pour la première fois la peur lors de la tempête. Tout à coup le héros épique devient alors un être humain. Ainsi, la tempête a aussi un rôle initiatique. Elle fait connaitre au Héros la peur, l’autre, la perte … Celui-ci affronte tout d’abord la peur de la mort ; il se pose en victime des Dieux, impuissant il ne peut rien faire mais regrette de ne pas être mort a Troie, au côté d’Achille