La Gloire et la Peur

pour se souvenir Vous n'avez réclamé la gloire ni les larmes Ni l'orgue ni la prière aux agonisants Onze ans déjà que cela passe vite onze ans Vous vous étiez servi simplement de vos armes La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir

la préserver. « C’est parfaitement lucide sur le ridicule métaphysique de ma situation d’homme, que je fais de la littérature. Si j’essayais de me retirer dans mes déserts intérieurs, je n’en continuerais pas moins de souffrir des succès et de la gloire montante de mes confrères d’ici et d’ailleurs. Je ne parviendrai pas à dépasser ces choses simples, communes, que vous, mesdames et messieurs, trouvez banales et n’appréciez guère. Je vivrai donc déchiré entre le désir de satisfaire mes petites vanités

penser au voyage de Christophe Colomb qui comme nous le savons, au début de son périple, aspirait à rejoindre le Japon. A l’époque le mystère était à la base de tout voyage car les hommes pensaient que la terre était plate donc il y avait la mystérieuse peur d’arriver au bord de la deuxième extrémité et de tomber. Les conquérants étaient alors vus comme des héros qui avaient la force et le courage de quitter vers ce néant sans savoir si un jour ils reviendraient. José-María utilise une métaphore : « Comme

il estime l’avoir suffisamment côtoyer dans sa vie. « le laurier et la rose » fait référence à deux symboles particulièrement forts : la gloire, la victoire pour le premier + élément d’Apollon / du secret, du sacrifice, du renouveau, de l’amour, de l’étincelle spirituelle pour la seconde → les provoque grâce à l’impératif : « Arrachez ! ». Ne pas connaître la peur → gardera avec lui « Mon panache » (brio et bravoure extraordinaires). DONC la mort souriante du héros qui paraît avoir joué son dernier

prestigieuse et pense qu’il devrait se choisir un nom moins ordinaire. Il se met donc à chercher un pseudonyme qui sonne bien. Chapitre 3 Sa mère s’est toujours débrouillée pour qu’il ne manque de rien et ait accès au savoir qui le conduiraient à la gloire. Il s’essaie à la danse, au dessin, au violon, aux sciences… Il ne lui reste vraiment comme choix que la littérature. Sa mère est satisfaite de ce choix qui ne semble pas présenter de trop grands dangers. Chapitre 4 Il se souvient de ses premiers

chacun gouvernés par une émotion bien particulière : l’espoir pour l’Asie qui a réussit une parfaite insertion dans un nouveau monde moderne ; l’humiliation pour le Moyen Orient, jeune région du monde minée par la haine et la violence ; et enfin la peur pour l’Occident qui perd sa place de leader, paralysé devant trop de changements. La structure du texte Après avoir été bilatéral durant toute période de la guerre froide, puis unilatéral de par le poids écrasant de la culture et des valeurs

journaux sont variés. Il y avait deux sujets qui revenaient fréquemment, la « gloire » du Marxisme Léninisme » et la « gloire » du gouvernement. La rentabilité des journaux n’étaient pas le principale objectif et même allait au plus bas de la liste des priorités. Le contrôle permanent de la SED et de la Stasi poussait les journalistes ainsi que les auteurs, les acteurs, les réalisateurs à censuré leurs propres travails par peur du gouvernement. Ce phénomène est appelé autocensure, phénomène qui ce développe

resituer le bouillonnement intérieur de Julien : «il» «je» monologue interne on ne sait rien de ce que ressent Mme de rênal (façon de mieux montrer deux pers. distants) II. Action militaire et parodie 1 - Un devoir militaire Lexique de l’héroïsme : (gloire)... les dangers...un duel...affreux combat...la lâcheté + Lexique du devoir l’affreux combat que le devoir livrait à la timidité... Le futur, marque de détermination (volonté d’agir) j’exécuterai...monterai... J. se fixe un ultimatum Succession

froid et calculateur, laisse transparaître son émotion . Sa peur est bien réelle, et non pas simulée ou superficielle comme peuvent l’être ses sentiments amoureux. De fait, nous pouvons nous demander si Duroy n’est pas en train de nous révéler le moteur même de son être : finalement, n’est-ce pas l’angoisse de la mort, ce besoin de lutter contre ce "néant illimité" qui le pousse à posséder de la sorte - femmes, situations, titres, gloire ? Puisqu’il ne fait montre d’aucun système de croyance religieuse

personnages ne diffèrent que selon leur appartenance à une catégorie (riche, pauvre, nobles, bourgeois, paysans, mères de famille,...). Les récits s’accumulent ainsi en une série qui peut se prolonger à l’infini. La grande peur de Maupassant qu’on retrouve dans la plupart de ses oeuvre est la peur du double. - Oeuvre : Le roman naturaliste Bel-ami (1885) est l’histoire de l’ascension d’un "grain de gredin", l’écrivain brosse un large tableau satirique de la société parisienne. - Extrait : Passage de la fin