La Grande Illusion

Questions : Le titre, Illusions perdues, choisi par Balzac pourrait-il convenir pour l'ensemble des textes proposés ? Justifiez votre réponse. Texte A - Honoré de Balzac, Illusions perdues, 2ème partie, 1836-1843. Jeune homme idéalement beau, Lucien quitte la ville d'Angoulême en compagnie de sa protectrice, Madame de Bargeton, pour aller chercher à Paris la gloire littéraire. Il y perdra vite ses illusions, comme ici, lors de sa première sortie au théâtre. [...] Le plaisir qu'éprouvait Lucien

Vente aux PME et aux comités d’entreprise de spectacle 4 produits : Close up (table par table) Magie de salon (40 personnes) Mega illusion (grande salle) Le show Complet (grande illusion) 2 formules : 10mins= 270€/h 20mins= 300€/h 2 formules : 45mins=380€ 1h15=530€ 1 formule 2mins =2280€/spectacle 2 formules : 1h30=3800€ 2h00=4860€ Les 4 produits son HT mais comprennent des charges voir sujet. Rabais possible : 1 séance : rien 2 ou 3 séance = -5% + 3 séances = -10% (Maxi

fondamental dans l'oeuvre balzacienne. L'argent c'est, d'après le Larousse 2007, la monnaie, en pièces, en billets, en valeurs mais aussi la monnaie qu'elle représente ; il conditionne également les comportements. Cela est évoqué dès le début des Illusions perdues, comme nous l'avons vu à l'occasion de la première explication de texte faite en classe. L'avarice du père Séchard a ainsi été mise en lumière, ce personnage demandant à son fils ce qu'il a fait de ses banques (page 72). Le compte de l'argent

d'une volonté qui m'est extérieure, et c'est surtout être contraint dans mes mouvements. Celui que l'on dit libre, est donc celui qui n'agit que selon sa volonté, et qui se meut sans contraintes. Lorsque nous nous demandons si la liberté est une illusion, nous sommes en fait possédés par la crainte que nous croyant libres, c'est-à-dire indépendants d'une volonté étrangère, agissant et nous mouvant sans restrictions, en vérité, nous ne le soyons pas, mais il est alors nécessaire d'abord de nous demander

est ce qui se rapproche du vrai mais qui ne l’est pas. En ce sens, il est l’autre et à la fois le même. Il ressemble au vrai mais ne l’est pas. Il est une image de ce dernier. Dès lors il est à la fois mais ne se présente pas comme tel. Il est une illusion et peu conduire à l’erreur et peut être l’effet de l’imagination. Le vraisemblable est donc une imitation du vrai, c’est-à-dire qu’il est mimesis. Mais quelle est cette valeur ? La vraisemblance si elle est présente d’esthétique et l’art et possède

(cf. texte Paley dans le cours sur le vivant) religion naturelle : a) s’oppose à la religion révélée : tout homme, du fait qu’il est pourvu de raison, sait que Dieu existe (souvent, recours à preuve téléologique : l’ordre naturel renvoie à un grand architecte/ artiste, à un dessein) ; on ne pose que quelques propriétés b) par suite, pas une religion parmi d’autres, mais le noyau commun de toute religion - théodicée : comment justifier l’existence de Dieu face aux souffrances, au mal ? (ce

vérité à un proche risque de le détruire, d’anéantir son sens de la vie, ne peut-on pas choisir de rester sous silence, par amour pour la personne ? Par contre, s’il s’agit de révéler un incident tragique à une nation entière, un évènement de grande ampleur, rester sous silence serait impossible. Bien sûr, il est des catastrophes qui sont révélées dès qu’elles sont produites puisque les conséquences sont immédiates, mais dont les conséquences à long terme ne sont jamais dévoilées, ou trop tard…

vulnérabilité qui pousse au besoin d’une protection. Il y’a des situations où l’adulte est semblable à l’enfant, l’adulte aussi a besoin de protection et d’être rassuré, non pas parce qu’il ne sait pas se défendre mais parce qu’il est soumis à de grandes préoccupations, et ces préoccupations sont tout simplement les préoccupations métaphysiques.Quelles sont ces préoccupations métaphysiques qui font que l’Homme a besoin d’une instance supérieure ? Et bien c’est par exemple la question de la vie après

son bras.) (Quelle glace ! quelle horreur ! quelle effroi !) Je déclare, moi, le grand Cyprien, que je donnerai mon âme immortelle (quelle folie ! quelle léthargie !) à qui m’enseignera la science (quelles confusions ! quelles épouvantes !) grâce à laquelle je pourrai attirer à moi Justina, l’ingrate qui me domine : et j’ai ratifié cela de mon nom. DÉMON (à part). (La voilà qui s’est rendue à mes illusions, cette forteresse vaillante où se déployaient comme des drapeaux le discours et

BALZAC “Illusions perdues” (1843) Roman de 630 pages Première partie “Les deux poètes” À Angoulême, vers 1820, David Séchard, qui a repris l’imprimerie vétuste de son père à Angoulême, désire révolutionner l’industrie de la papeterie. Pour le sauver du désespoir, il prend comme prote un ancien camarade de collège, Lucien Chardon, intelligent et séduisant poète qui est aimé de Mme Louise de Bargeton, épouse d’un notable local et la femme qui est la plus en vue dans la société aristocratique