La Grande Puanteur

adieu, flèche sans touche, Cruelle, adieu, car je ne suis plus tien. Pierre de RONSARD (1524-1585) : Amour me tue, et si je ne veux dire Amour me tue, et si je ne veux dire Le plaisant mal que ce m'est de mourir : Tant j'ai grand peur, qu'on veuille secourir Le mal, par qui doucement je soupire. Il est bien vrai, que ma langueur désire Qu'avec le temps je me puisse guérir : Mais je ne veux ma dame requérir Pour ma santé : tant me plaît mon martyre. Tais-toi langueur

Lecture linéaire n°11 « Harmonie du soir », Spleen et Idéal, n°43, Les Fleurs du Mal , Baudelaire (1857) Baudelaire : entre romantisme et symbolisme ; on peut dire « post-romantique ».« Harmonie du soir » : 48e poème des FDM, dans « spleen et idéal »Entre « aube spirituelle » et « le flacon » : un passage du recueil où Baudelaire explore les moments qui font émerger un souvenir, une émotion (aube, crépuscule). Il s’intéresse à ce « glissement

Jaquiéry Loïc La réalité des vies à Mayotte 15.10.2021La réalité des vies à Mayotte Natacha Appanah est née le 24 mai 1973. En 1998, elle finit sa formation de journaliste et commence à travailler dans l’édition. En 2008 elle s’en va vivre à Mayotte pour deux ans. Là-bas elle commence à écrire ses premières lignes concernant la vie sur l’ile de Mayotte. Elle quittera l’ile et y retournera en 2015 afin de mieux s’imprégner de l’environnement et de la vie à Mayotte afin de finir son roman

Commentaire de français : une Charogne, BaudelaireIntroduction : En 1859, Baudelaire écrivait à son ami photographe Nadar, lui reprochant d’avoir une expression un peu malheureuse. « Il m’est pénible de passer pour le Prince des charognes ». Son poème « Une Charogne » extrait de Les Fleurs du mal met en avant avec force les détails d’un cadavre en décomposition et détoure le cliché romantique d’une promenade avec la femme aimée. Nous allons ainsi voir en quoi

quant à eux ne laissent pas de place au doute (l. 50, p. 12 ; etc.) : Duroy se promène dans Paris. Le narrateur dessine un parcours déjà significatif : le héros se trouve dans une rue populaire réputée pour ses prostituées, mais il se dirige vers les grands boulevards, c’est-à-dire vers les quartiers plus riches. b. Maupassant présente une scène typique de la vie parisienne, avec ses habitants, ses cafés, ses rues... Relevez les passages qui décrivent les Parisiens et leurs activités. Le romancier nous

Sin City(2005) de Robert Rodriguez, et Frank Miller Sin City est l’adaptation sur grand écran de la bande dessinée du même nom. C’est un monde sombre à la violence exacerbée et peuplé de héros tout droit sortis de la cour des miracles. Il n’en pouvait être autrement lorsqu’on sait qu’il est l’œuvre de Frank Miller, un dessinateur de comics renommé et talentueux. Le film se déroule en plusieurs parties, le montage ne tenant pas compte de la chronologie des événements. Le scénario suit les

bourgeoise. « Aussi appartient-il avec Vallès, Varlin, Courbet, Frankel, Beslav, Longuet, Vermorel, à la minorité de la Commune qui vote contre la création d'un Comité de Salut Public. « Non seulement, il désapprouve le fait de rejouer en farce les grandes heures de la Terreur jacobine, mais il craint qu'un tel comité ne devienne une arme aux mains d'un parti, alors que la Commune de Paris est « l'expression et la force impersonnelle de la révolution. » Elle doit le rester. VIGILANCE CONTRE TOUTE

Ordures en putréfaction, déchets humains et animaux, carcasses mortes empilées, égouts à ciel ouvert : les rues étaient de véritables marécages. Les toilettes étaient rares. Les pots de chambre étaient déversés dans les cours d'habitations. La puanteur était légendaire, surtout en été. Si l'étiologie des maladies infectieuses était inconnue avant la théorie des microbes de Louis Pasteur en 1878, un bons sens primaire associait néanmoins certaines conditions de vie à la morbidité. Odeurs fétides

marin (« on ne devrait jamais pêcher qu’entre hommes »), préférence pour le poisson (« je ne pense plus qu’au poisson. ») L’attrait pour la pêche est mis en valeur par le regard subjectif de Roland : « « le flot d’argent des bêtes », « une saine puanteur », là où le narrateur ne présentait dans le paragraphe précédent que les « écailles gluantes », les « efforts impuissants et mous » et « l’air mortel » (p. 32.) Enfin, Roland est présenté comme un bourgeois (« flot d’argent », p. 32, il était bijoutier

  Seq 3 (Int/Jour : Aprés-midi):   Marshall (en tenue de travaille: blouse blanche et jean) avec dédain : Professeur  Newgate, pourquoi vous obstinez-vous à vouloir éduquer ces créatures? Elles sont affreuses et stupides ! Sans oublier leur puanteur ignoble. Non mais sérieusement... regardez moi ces vêtements en lambeaux! Si ça ne tenait qu’à moi, ces monstres seraient déjà qu’un lointain souvenir…   Edward (lui aussi en tenue de travaille, la même que celle de Marshall)avec calme : Monsieur