La Haine De La Démocratie

------------------------------------------------- GROUPE 1 ------------------------------------------------- Robert Nisbet, La tradition sociologique Alexis de Tocqueville, L’Ancien Regime et la Révolution Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique Robert Nisbet, La tradition sociologique. Ce livre écrit en 1966, décrit avec le recul du temps l’évolution de la sociologie principalement au cours du début du XIXe siècle. En introduction, Robert Nisbet explicite son intention :

américain l'urgence extrème du présent. Ce n'est pas le moment de nous adonner au luxe de nous détendre ou de nous contenter de la drogue tranquillisante d'une solution graduelle. Il est temps maintenant de rendre réelles toutes les promesses de la démocratie; il est temps maintenant de quitter la vallée sombre et désolée de la ségrégation pour nous avancer vers le sentier brillant de la justice raciale; il est temps maintenant d'aider notre nation à se dégager des sables mouvants de l'injustice raciale

non-Allemands notamment des Polonais, des Serbes, et des Hongrois ce qui contribua à lui faire découvrir et à intensifier sa haine des sociaux-démocrates et des juifs poussé là encore par le climat antisémite régnant à Vienne. Il partit pour Munich en mai 1913, où il passa les meilleurs moments de sa vie d'avant guerre, il portait déjà au plus profond de lui, à 24 ans, une forte dose de haine et de ressentiment. Lors de la première Guerre mondiale, il fut un soldat dévoué et courageux. Blessé par deux fois

pour la voix légale, c'est à dire par les élections dans un climat de violence (la SS est créée). B) Hitler le dictateur légal. Le programme nazi s'oppose aux communistes, aux juifs (antisémitisme), aux diktats de Versailles, au parlement (démocratie) ainsi qu'au capitalisme. Le parti nazi tire profit de la crise économique et sociale et attire 850000 adhérents en 1932 les chômeurs, les petits bourgeois et hommes d'affaires effrayés par le communisme, les anciens combattants. En 1932, le

d'êtres raisonnables à celle de bêtes brutes ou d'automates, mais au contraire il est institué pour que leur âme et leur corps s'acquittent en sûreté de toutes leurs fonctions, pour qu'eux-mêmes usent d'une raison libre, pour qu'ils ne luttent point de haine, de colère ou de ruse, pour qu'ils se supportent sans malveillance les uns les autres. La fin de l'État est donc en réalité la liberté." SPINOZA Questions : 1) Quelle est l'idée principale du texte ? 2) Expliquez a. " Ce n'est pas pour tenir

tous les Bolcheviques qui étaient proches de Lénine car il sait très bien que Lénine se méfiât de lui et que Lénine a écrit un testament politique contre Staline. - Faire croire à la population soviétique et au reste du monde que l’URSS est une démocratie et que sa justice n’est en rien arbitraire. Mais ces procès ne sont que des parodies, c’est du théâtre. B- La volonté de construire un homme nouveau La volonté de créer un homme nouveau s’exprime dans tous les totalitarismes. Notamment par l’art

société) la population nord-américaine en faveurs des démocraties européennes, et donc contre le régime nacional-socialiste. Ce film montre l'engagement d'un cinéaste témoin de son temps et qui dénonce (=annonce publiquement) la manipulation d'Hitler, ses idées racistes et sa soif incontrôlable de pouvoir (ex: la scène de la mappemonde), ainsi que le danger qu'est le nazisme d'une part pour les juifs vivants en Europe et d'une autre part pour la démocratie. Durant tout le film, plusieurs types de comiques

bourgeoisie de la monarchie de Juillet. Celle-ci, qui baignait dans l'orléanisme, était marquée d'un puissant individualisme anticlérical. La monarchie de Juillet est anticléricale : "ces braves gens, qu'on s'efforçait d'entretenir depuis dix ans dans la haine des Jésuites" (l.40-41). Dans les années 1830-1840, un fort mouvement anticlérical est présent. Des pamphlets orduriers circulent à l'encontre du clergé catholique, tandis que les théâtres de Paris donnent des pièces violemment anticléricales, qui

libres dans leurs écrits (par exemple liberté source), ils s’autocensurent par nécessité afin d’éviter tout risque d’être réprimés par l’État ou l’opinion publique. La liberté de la presse a donc certaines limites, même dans une démocratie. De plus certaines démocraties officielles n’en respectent pas les valeurs ; ainsi on les qualifie néanmoins, selon

« instincts libéraux de l’Occident » en faveur de la démocratie dans le monde en développement car ces efforts risquent d’y être fortement déstabilisateurs. Plutôt que d’avancer la cause démocratique, ils sont porteurs de conflits civils et d’émergence de nouveaux autocrates. Une stratégie réaliste de soutien aux gouvernements autoritaires capables de consolider l’autorité de l’État est ce dont ces pays ont besoin. Dans les sociétés pluriethniques, les démocraties sont fortement sensibles à la fragmentation