La Jeunesse Et La Vieillesse

1 – Victor Hugo défend la jeunesse A – Les valeurs de la jeunesse Victor Hugo aime la jeunesse. Il veut protéger cette jeunesse innocente. Cela se ressent par une telle motivation à leur faire prendre conscience de leur liberté. On peut le remarquer grâce à une gradation qu'il utilise, pour parler des jeunes ; vers 5-6 : « Soyez jeunes, gais, vifs, amoureux, soyez fous ! O doux amis, vivez, aimez ! Défiez-vous. » et au vers 9 : « Des cheveux en forêt, noirs, profonds, abondants ». Grâce à ces

2) Un paysage intemporel D’une part, il replonge la Comtesse dans son enfance, dans une période qui semble avoir été heureuse, et d’autre part, alors qu’elle se sent « au commencement de la vieillesse » à la ligne 54, il l’incite à prendre la mesure des choses et de façon très épicurienne de profiter de chaque instant. Il a le pouvoir de lui rendre son cœur de jeune fille de « seize ans » (l.50) Petite

Jeunes de plus en plus longtemps : la fin de la vieillesse ? En mars 2009, on a récencé dans le monde vingt personnes ayant atteint 115 ans, majoritairement aux Etats-Unis et en Europe. G. Pison note également que « chaque jour, dans le monde, 40 000 personnes fêtent leur 80e anniversaire, 8 000 leur 90e, et 300 leur 100e ». Les chiffres sont marquants et montrent l’ampleur du phénomène. En effet, le vieillissement démographique est bien présent, la proportion de personnes âgées dans la population

adressée, la parole cible, la cible, c’est Hélène, personnage féminin mis en exergue de par la position en apostrophe de son nom en fin de vers 1. Le thème de la dentition est introduit par le terme "os" et le rire. Déjà nous est évoqué non pas la jeunesse ou la fraîcheur de la femme, mais bien son lien à la mort. Le sonnet n’est cependant pas une vanité, nulle part l’évocation de la beauté et de la vie qui finiront vite, seules demeurent la mort et la laideur. Le délabrement et la pourriture associés

montrent la comparaison v.2 « vive et preste comme un oiseau » ainsi que le terme « refrain »v.4 puisque le chant insiste sur son air enjoué . Les adjectifs qualificatifs « vive et preste », soulignent la vivacité de la jeune femme et par conséquent sa jeunesse. C'est aussi une jeune femme sensuelle comme le prouve la synecdoque « main »v.3 et « bouche » v.4. L'allitération en [L] du v.3 montre aussi sa légèreté. Une rencontre fugitive : on le voit à travers la rapidité de la vision soulignée par le passé

est lyrique puisque aucun vers n'évoque explicitement le lyrisme. Mais c'est aussi le texte qui est le plus caractéristique puisqu'il est très positif pour la femme. Même la vieillesse peut paraître lyrique en comparaison des autres poèmes, Pierre de Ronsard dit : "Cueillez [...] votre jeunesse | Comme à ceste fleur la jeunesse". Le poème Remords Posthume est aussi lyrique mais de façon totalement implicite. Le lyrisme est toujours accompagné d'une évocation de la mort qui ternit en quelque sorte les

I. Un poème d'amour original 1. La vieillesse de la femme aimée - Prolepse qui imagine la femme aimée sous un jour désavantageux. Futur : « serez » (v.1 et v.11), « direz » (v. 3), « aurez » (v.5), « serai » (v.9), « prendrai » (v.10). - Trait d'originalité et d'audace. - Expression « bien vieille » (v.1), adjectif renforcé par l'adverbe d'intensité « bien ». Au vers 11, le poète utilise le nom commun « vieille » pour désigner Hélène. Le passage de l'adjectif au nom crée un effet de gradation

principalement pour les pronoms personnels, les adjectifs possessifs et les modifications de temps dues aux règles de la concordance des temps. Ex 1 : La leçon de Ronsard à Cassandre est sévère ; comment peut-elle imaginer à treize ans que la vieillesse " fera ternir sa beauté". Dans le texte : "votre beauté". Ex 2 : En parlant d'une fleur qui "a déclose / Sa robe de pourpre au soleil" le poète semble décrire le lent épanouissement de la fleur. Dans le texte : "avait déclose"

étudierons d’abord la valorisation de la femme acec sa comparaison à la Nature et le champs lexical de la beauté et de la jeunesse dans ces vers, puis l’importance de la fuite du tps, avc le role révélateur des tps verbaux, et le mess épicurien de Ronsard. I/ VALORISATION DE LA FEMME 1) le chp lex de la beauté et de la jeunesse on observe un ch lex de la beauté et de la jeunesse, illustré en parti par celui de le fleur, comme le montrent les noms « bouquet » (v1), « fleurs » (v2), « amours » (v12)

est un sonnet sur la mort de Marie. La jeune fille et la fleur encadrent le vers = insistance sur la jeunesse de la fille. Description de la fleur = de façon métaphorique = qui insiste sur la rose qui est assimilé à la jeune fille. Comparaison du teint de la jeune fille à la couleur pourpre (rose, rouge) de la fleur, qui est le symbole de l’amour, la passion. Le temps à travers la jeunesse = «  Le matin » > le début de la vie «  Vesprée » > le soir (office religieux) Indication