La Jeunesse Et La Vieillesse

bois de chêne, puis, UN PAGE. DON RUY GOMEZ, se levant et allant à elle. Écoute, on n’est pas maître De soi-même, amoureux comme je suis de toi, Et vieux. On est jaloux, on est méchant, pourquoi ? Parce que l’on est vieux. Parce que beauté, grâce, Jeunesse, dans autrui, tout fait peur, tout menace. Parce qu’on est jaloux des autres, et honteux De soi. Dérision ! que cet amour boiteux, Qui vous remet au cœur tant d’ivresse et de flamme, Ait oublié le corps en rajeunissant l’âme ! Quand passe un jeune

Maintenant je pardonne à ce plaisant labeur, Puisque seul il endort le souci qui m'outrage, Et puisque seul il fait qu'au milieu de l'orage, Ainsi qu'auparavant, je ne tremble de peur. Si les vers ont été l'abus de ma jeunesse, Les vers seront aussi l'appui de ma vieillesse, S'ils furent ma folie, ils seront ma raison, S'ils furent ma blessure, ils seront mon Achille, S'ils furent mon venin, le scorpion utile Qui sera de mon mal la seule guérison. I) Le poème de laréconciliation

souligne leur beauté respective
• Beauté comme une apparition → « déclose » II. Une ode qui exploite l’angoisse liée à la fuite du temps
A. La menace du temps sur la beauté
• Idée de la fuite du temps → mention des diff âge de la vie
• Antithèse jeunesse/vieillesse (mots mis à la rime)
• Menace du tps à travers parcours temporel
B. Le flétrissement & le nécessaire renouvellement floral
• Flétrissement de la rose → métaphore perte future beauté fē
• Métaphores végétales ds 3ème 6ain
• Caractère éphémère

accorde tant d’importance à l’apparence. Le docteur Jacques Papillon, chirurgien plastique reconnu au Québec qui a dirigé le Centre des grands brûlés de l’Hôtel-Dieu de Montréal pendant une quinzaine d’années, nous explique. Beauté, normalité, jeunesse, sont des qualités célébrées depuis toujours, de différentes façons, sous toutes les latitudes. Dans notre société, pour la plupart d'entre nous, les besoins essentiels sont comblés, libérant ainsi nos énergies et notre temps pour d'autres préoccupations

et industrie, ministère étrangère (ambassades), la culture, la jeunesse et les sports… Les impôts affectés à la sécurité sociale Les ressources de la protection sociale se répartissent en trois catégories : les cotisations sociales, les impôts et taxes affectés’ et les contributions publiques de l’État. • Il existe cinq cotisations de la sécurité sociale : l’assurance maladie-maternité-invalidité-décès l’assurance vieillesse ; l’assurance veuvage ; l’accident du travail. • Les "impôts et

quatre-vingt-dix ans passés. Malheur à cette île ! Malheur aux Otaïtiens présents, et à tous les Otaïtiens à venir, du jour où tu nous as visités ! Nous ne connaissions qu'une maladie, celle à laquelle l'homme, l'animal et la plante ont été condamnés, la vieillesse, et tu nous en as apporté une autre ; tu as infecté notre sang 2. Il nous faudra peut-être exterminer de nos propres mains nos filles, nos femmes, nos enfants, ceux qui ont approché tes femmes 3, celles qui ont approché tes hommes. Nos champs seront

vie malheureuse et difficile, la mort. Le poème est symbolique et rempli de sens caché. Pour le comprendre, vous devez déchiffrer les symboles: printemps - enfance et jeunesse, ouragan inquiétant - difficultés, jardin en ruine - âme estropiée, fruits roses - rêves, réalisation des espoirs et du bonheur, pluie d'automne - vieillesse, ennemi - décès. Ainsi, le sens du poème réside dans le fait que les traumatismes mentaux subis dans l'enfance et l'adolescence ne disparaissent pas sans laisser de trace:

Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur la vieillesse Fera ternir votre beauté. Pierre de Ronsard, Amours (1553), puis Odes (sous le titre « A sa maîtresse » 1584) 1° LECTURE MAGISTRALE 2° REACTIONS

évoque dans cette 1ere strophe sa jeunesse à travers des images ( métaphores  ) : · Image 1  : la « jeunesse » = « un orage » (cliché) · Métaphore filée de la jeunesse orageuse : « orages », « soleils », « tonnerre », « pluie » le Temps est vu à la fois comme durée  : « Ma jeunesse ne fut »… « il reste » mais aussi

possibilités qui se présentent dans la vie, à satisfaire ses désirs autant que possibles, à multiplier les expériences, au lieu de vivre dans l’obligation, dans le besoin ou la limitation des désirs. Cette possibilité est dans ce sens un privilège la jeunesse qui a la vie devant soi contrairement aux anciens. Ceux-là au contraire, la vie derrière eux, ne pourraient que se résoudre à mourir. Comment alors « bien mourrir » ? On peut espérer, peut-être, arriver à ce terme sans souffrance, sans regrets ou