La Jeunesse Et La Vieillesse

vie éphémère de la rose Négation restrictive « ne dure que » v11 + enjambement v11-12 Rapidité de la vie de la rose Lexique « matin » v2-v12 « soir »v12 Antithèse « matin / vesprée »v2-4, « matin/soir »v12 Oppose le matin, la jeunesse au soir et à la vieillesse Anaphore de « las » v7-9 à regret Terme péjoratif « marâtre » + apostrophe à accusation du poète Exclamatif v9-12 à émotion du poète Phrase nominale à le poète « en perd son verbe » Douleur de la découverte de la mort Le poète

origine ancestrale, symbolisée par la vieillesse de Carabosse. S'ensuit un repli sur soi (un sommeil de cent ans) et une forêt de ronces qui ne se lèvera qu'à l'arrivée du prince charmant, le seul à trouver la voie, à lever les obstacles et sortir la princesse de son sommeil grâce au baiser de l'amour. Le prince n'est en fait qu'une figure accessoire, la trame du conte mettant en scène les diverses phases de la vie d'une femme : l'enfance, l'adolescence et la jeunesse représentée par la princesse, la

jeune pour longue. De plus, la gradation descendente est aussi une grande antithèse de la jeunesse et la vieillesse. Dans un vers Pierre de Ronsard dit que Cassandra est jeune et prête à prendre le monde et puis dans le prochain linge il dit que c'est uniquement pour le moment, comme dans la vers « tandis que votre âge fleuronne » (v. XIV). En dire que Cassandra devra faire le mieux qu'elle peut avec sa jeunesse avant qu'elle ne soit pas capable, Ronsard applique le sentiment que la vie est courte.

beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre Nature, Puisqu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur la vieillesse Fera ternir votre beauté. Pierre de Ronsard, Amours (1553), puis Odes (sous le titre « A sa maîtresse » 1584) 1° LECTURE MAGISTRALE 2° REACTIONS DE LA CLASSE Tableau PLAN : I. Une scène vivante II. Une entreprise de séduction

et comment le mariage d’éléments contraires préside à la structure du poème. En effet, ce poème présente un monde fait de vie et de mort ; de jour et de nuit ; de lumière et d’ombre ; de grand et de petit ; de féminin et de masculin ; de jeunesse et de vieillesse…Ce va et vient dialectique a pour contexte le déroulement d’une fête foraine qui se situe à mi-chemin entre la réalité et le rêve. Premier quatrain : Le souvenir de l’amour perdu : l’arlequine personnage complexe Tout d’abord, nous pouvons

Queneau, au contraire, choisissent de s'adresser à l'être aimé afin de l'encourager à profiter du temps présent de la jeunesse. - Apostrophes et impératifs = conseils et exhortations. Cf : la pointe dans le sonnet de Ronsard « «Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie » / Queneau « allons cueille cueille ». - Antithèse dégradation de la vieillesse / charme de la jeunesse - les deux poèmes sont donc didactiques MAIS le texte de Queneau est une parodie du texte de Ronsard :

le tuer avec la périphrase « faire perdre l'équilibre » ou « ramener dans les rangs ». Ces deux périphrases même si l'une concerne plus le funambule et l'autre plus Octave ont le même résultat que le tuer. C'est une victime de la société, de la vieillesse qui Cette tirade permet d'ailleurs de dresser une sévère critique de la société du 18ème siècle. III] Une critique de la société 1)Une société synonyme de mort Octave dresse dans sa tirade une galerie de portrait des membres les plus représentatifs

l’indéfini mais également entre la jeunesse et la vieillesse souligné par des antithèses comme « jeune et pourtant très vieux » v2. Le connecteur logique d’opposition et fait la synapse entre l’opposition jeunesse et la vieillesse. Le temps qui passe est souligné par l’adverbe « pourtant » et renforcé par l’adverbe « très ». • On retrouve cette idée d’opposition au v12 avec l’oxymore « jeune squelette ». L’idée que la vie passe en un claquement de doigt puisque la jeunesse est écrasé par le poids du temps

‘’rides’’, ‘’léger ‘’ ≠  ‘’grasse, pesant’’, ‘’cuisse’’ ≠  ‘’muscle avachi, menton triplé’’. Le capétienne La fuite du temps avec tous les mouvements 1ère strophe : le temps court de la jeunesse 2ème strophe : le temps longs de la vieillesse ‘’Tu marches’’ -> Inévitable avancé dans la vieillesse ‘’Saison des amours’’ ≠ ’’toujours’’ -> Stéréotype périphrase ’’Sournois’’ -> Prend la jeune fille par surprise ’’Cueille’’ -> Répétition Thème Ronsardien : Le jeu sur le langage

beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre Nature, Puisqu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur la vieillesse Fera ternir votre beauté. Pierre de Ronsard, Amours (1553), puis Odes (sous le titre « A sa maîtresse » 1584) 1° LECTURE MAGISTRALE 2° REACTIONS DE LA CLASSE I. Une scène vivante II. Une entreprise de séduction III. Une leçon