La Justice Est Elle L Interet Du Plus Fort

droit apparaît contraignant. Nous le voyons d'ailleurs assez souvent comme un système de lois et de devoirs lié au corps de la police chargée de faire respecter la loi afin de maintenir la sécurité et l'ordre social. Mais le plus souvent, nous oublions que nos droits les plus naturels sont protégés par ces mêmes lois qui nous contraignent à des devoirs. Nous avons également tendance à oublier le temps qu'il nous aura fallu pour acquérir ces droits, que nous soyons femmes, hommes, noirs ou blancs

Le gouvernement d'un seul : monarchie.Le gouvernement de quelques-uns :aristocratie.Le gouvernement de tous :démocratie.Quand elle ne tend plus au bien commun, la monarchie se dégrade en :tyrannie.Quand elle ne tend plus au bien commun, l’aristocratie se dégrade en :oligarchie.Quand elle ne tend plus au bien commun, la démocratie se dégrade en :populisme.L’apparition de l’État moderne résulte de la  désacralisation du pouvoir.L’État moderne résulte de l’institutionnalisation du pouvoir, c’est-à-dire

l’on veut établir un droit qui soit absolu et universel, il faut le fonder sur la nature.  La justice, explique le sophiste Antiphon, consiste à ne trangresser aucune règles légales admises par la cité dont on fait partie. Ainsi l’observation de la justice est tout à fait conforme à l’intérêt de l’individu, si c’est en présence de témoins qu’il respecte les lois ; mais s’il est seul et témoins, son intérêt est d’obéir à la nature. Car ce qui est de la loi est accident ; ce qui est de la nature est

sûr. C'est donc en fonction d'eux-mêmes et de leur intérêt personnel que les faibles font les lois, qu'ils attribuent des louanges, qu'ils répartissent des blâmes. Ils veulent faire peur aux hommes plus forts qu'eux et qui peuvent leur être supérieurs. C'est pour empêcher que ces hommes ne leur soient supérieurs qu'ils disent qu'il est vilain, qu'il est injuste, d'avoir plus que les autres et que l'injustice consiste justement à vouloir avoir plus. Car, ce qui plaît aux faibles, c'est d'avoir l'air

quelles normes ? Il peut y avoir sanctions . Pour qu'il y est droit et normes en general il faut qu'il y est responsabilité , il n'y a pas toujours eu de normes : les sociétés sans normes n'etaient pas forcement anarchiques . Aujourd'hui encore la plus grande partie de nos comportements sont regis pas des normes qui ne sont absolument pas des normes juridiques , de droit positif . Autres normes : usage , coutume , moeurs , ne sont necessairement juridique, pas forcement sanctionné ; sanction desapprobation

auront tous les droits possibles; il est dit seulement que tous auront les mêmes droits; et c'est cette égalité des droits qui est sans doute la forme de la justice; car les circonstances ne permettent jamais d'établir un droit tout à fait sans restriction; par exemple il n'est pas dit qu'on ne barrera pas une rue dans l'intérêt commun; la justice exige seulement que la rue soit barrée aux mêmes conditions pour tout le monde. Donc je conçois bien que l'on revendique comme citoyen, et avec toute l'énergie

bien le sens qu'il convient de donner à "ne pas ignorer") les normes impersonnelles et de portée générale que le législateur édicte afin d'organiser la Cité et, pour reprendre l'expression d'un auteur antique, "associer les intérêts des citoyens et les maintenir sous une même justice". Pour leur seule fonction d'organisation sociale, les lois vaudraient d'être respectées en ce qu'elles évitent la dissolution de la Cité que ne manquerait pas d'entraîner le mouvement incontrôlé des passions individuelles

Union européenne Objectifs 3 objectifs pour l’U.E. : Concurrencer les USA, le Japon,... => Se développer Sauvegarder la paix L’aspiration à un monde meilleur, plus libre et plus juste + organisation plus parfaite entre les Hommes et les Etats. Historique 1950 : Mise en commun la production et la consommation du charbon et d’acier (France, Allemagne et ouverte aux autres pays de l’Europe) 18/04/1951 : Traité de Paris : création de la CECA (Communauté Economique du Charbon et de l’Acier)

qu’est la justice, la sagesse ou la piété au terme d’un dialogue de jeunesse de Platon. L’aspect insatisfaisant de telles finales aporétiques est particulièrement souligné par la dernière réplique de Socrate en livre I de la République car Socrate conclut ainsi : [Thrasymaque, c]’est ma faute, pas la tienne[:] avant d’avoir trouvé ce que nous examinions au point de départ, à savoir ce que peut bien être le juste[,] j’ai concentré mon effort sur l’examen de la question suivante : la justice est-elle

et de la justice. Sans force la justice est impuissante mais avec la force la justice est comme corrompue par un ordre de réalité qui lui est rarement instrumenté et qui se met souvent à servir des intérêts des agents de cette force au lieu de simplement servir l’intérêt commun et donc la justice. Toutefois ici Alain revient sur cette vision pessimiste et constate que bien souvent l’autorité extérieure garante de l’ordre public fonctionne comme un rappel de notre propre sens de la justice qui s’exerce