La Justice Ne Peut Elle être Définie Que Comme Un Idéal

convergences et leur rapport est un rapport réciproque. On ne peut pas les distinguer à tous égards. Premièrement il faut trouver une définition pour les deux termes. D’un côté, le droit peut être défini comme l’ensemble des règles destinées à régir et à organiser la vie des hommes en société. De l’autre côté on se pose la question à savoir si la morale n’est pas aussi un mode d’organisation de la vie sociale? En expliquant la morale comme la science du bien ou mal, on fournit une définition très simple

combattre des idées ou défendre des idéaux ? La littérature : différents genres littéraires : (romans, théâtres, poésie et l’argumentation) , souci de l’esthétique, du style. Efficace : faire réfléchir le lecteur, chercher à le convaincre et le persuader. Faire agir le lecteur, provoquer des actions réelles dans la vraie vie. Idée : pensée, opinion Idéaux : idéal quelque chose de collectif, qui tend à l’utopie. 1er type de plan : pour/contre On peut penser que la littérature n’est pas forcément

philosophe est un homme libre qui, à la tête de la cité, voit la justice « comme la chose la plus importante et la plus nécessaire ». Or, on sait que la cité est organisée selon un ordre hiérarchique clairement défini et contraignant et que « l’homme lui ressemble ». Comment démêler ce paradoxe apparent ? La justice est un sujet phare de la philosophie de Platon. Pour lui, c’est une des clé de voûte pour une vie en société idéale. La justice de Platon permet de placer des repères, qui nous permette

une contingence 1- Difficulté Théorique 2- Des contingences à le définir 1- Difficulté Théorique S’interroger sur qu’est ce que le droit peut apparaître simple, pourtant ce qui ont étudié le Droit, ou ceux qui le pratiquent depuis de nombreuses années auront de grandes difficultés à le définir. D’où vient ce malaise : La réponse n’est pas aisée, on a traditionnellement tendance à s’attacher au contenu du droit plutôt qu’à définir la notion même de Droit Cette tendance s’est largement amplifiée

Droit et morale Comme en témoigne cette citation d'Horace dans sa vingt-quatrième ode: « Quid leges sine moribus, quid mores sine legibus?» (« Que sont les lois sans les mœurs, que sont les mœurs sans les lois ? »), le droit et la morale sont deux notions parfois complémentaires. Mais si la morale est source d'inspiration du droit, ils s'éloignent, voire s'opposent parfois, car toute règle de droit ne participe pas à la morale et toute règle morale n'est pas forcément prise en compte par le droit

n’importe quelle position sociale ? - Peut-on tolérer que les inégalités persistent ? - Faut-il se contenter de l’égalité des droits ou faut-il chercher l’égalité réelle entre les individus ? Un débat en résulte et dès lors, les partisans d’un libéralisme inconditionnel et leurs détracteurs qui le mettent en cause vont donc s’opposer. - les premiers, en effet, voient dans l’égalisation des droits et la méritocratie un gage de justice sociale et de croissance. - les seconds

Jacques Chirac ne s'est - il pas fait élire en 1995 sur le thème de la "fracture sociale"? Pourtant, certaines inégalités ne sont pas perçues comme injustes. Qui remettrait en cause la hiérarchisation (hiérarchie) des revenus ? Elle est considérée comme légitime par la plupart des citoyens. Il faudrait expliquer ici rapidement pourquoi légitime, et définir ce qu’est une inégalité (par rapport à simple différence) ; enfin pourquoi cette question des inégalités pose t-elle problème dans un régime démocratique

interroger sur le caractère coercitif de la règle de droit. Il est important de définir le terme du sujet afin de délimiter celui-ci et d’apporter une conclusionLa coercition est le fait de contraindre, d’obliger à quelque chose. La coercition se retrouve en droit. En effet, la règle de droit possède une force obligatoire dont le respect et la préservation de cette force s’impose. Une règle de droit peut se définir comme une règle de conduite ayant un caractère général, abstrait et obligatoire. La

pluralité encore plus fondamentale peut se lire au cœur des pouvoirs. Cette pluralité est celle des institutions, des relations, des groupes, ou encore des symboles qui en construisent les attributs et les usages. Détenu par les hiérarchies sociales, le pouvoir a longtemps été conçu comme un bien sacré ou pas. Depuis l’ère de la civilisation des hommes, en effet, l’homme a souvent reconnu à un moment ou à un autre, être soumis à un certain pouvoir voire même en être en possession. Certains sont

Philosophie du droit Intro : 2questions - pourquoi un cours de philo du droit ? signe d’un doute - l’avenir du droit : comment peut on la circonscrire ? I/ pourquoi un cours de philosophie du droit ? But de ce cours : est un but essentiellement interrogatif. =>au lieu de remplir, il faut creuser L’objet du droit est un objet riche. L’interrogation doit nous placer devant des situations abyssales. A/le regain d’intérêt pour la philosophie et l’éthique Retour de la philo