La Laideur Fascination

comme un « modèle de bonté et de lucidité » (p.113). Inchangée, son esprit reste vif, sa langue agile, son humour noir. Elle est également là pour ses deux belles-filles, se disant qu’elles ont besoin d’elle. Rachel éprouve une fascination pour le couple beauté/laideur (p.271), se questionne sur la beauté vraie (p.107, 140). Elle « s’émerveille de la rapidité avec laquelle les pleurs enlaidissent Beth » (p.269). Cependant elle trouve beau le « regard profond et sombre » de Sean (p.278). Conclusion

un esthétisme comme le signifie Baudelaire en écrivant « tu m’as donné de la boue et j’en ai fait de l’or ». Dans cette phrase, il semblerait qu’il parle de Paris ou des villes en général, moderne et industrielle. La « boue » en représenterait la laideur aux yeux du poète dont il fait, à travers sa poésie, « de l’or ». Ainsi, il embellit ce qui est trivial, par un procédé alchimique qui extrait la beauté à partir du laid. Ce procédé se nomme la sublimation. Cependant la perception du beau est assez

du rire est très présent. Du côté de Gwinplaine, ce rire est automatique et figé. Du côté des gens qui voient Gwinplaine, le rire n’est pas méchant, le rire est nerveux. On a fait de G un saltimbanque (homme de cirque qui jour de la musique). La laideur de Gwinplaine est en fait un masque clownesque, qui provoque le rire. Lorsque G est dans des situations plus gênantes, il ne peut pas enlever ce « masque », donc il fait encore rire, même dans des situations tragiques. Puis quand on rit, ce n’est

dépendant du |LE BAROQUE : reflète l’évolution des mentalités et des |- thèmes : violence, inconstance, illusion, | | |pouvoir (mécénat) et doit se soumettre |mœurs suite aux guerres de religion ; la créativité, |fascination pour la mort, métamorphoses | | |à la censure. |l’originalité, les excès deviennent une échappatoire aux |( reflètent l’incertitude et le pessimisme sur la | | |Il fréquente

Lettres contrôlés et rationalisés (académies, retour aux modèles antiques) doivent célébrer les Grands et exalter les valeurs traditionnelles avec clarté, modération, respect des règles.|La poésie baroque - thèmes : violence, inconstance, illusion, fascination pour la mort, métamorphoses reflètent l’incertitude et le pessimisme sur la condition humaine CHASSIGNET, SPONDE, SAINT-AMANTLa poésie précieuse - thèmes : amour platonique, refus du réel - formes : raffinement, travail du langageLa poésie classique

Lettres contrôlés et rationalisés (académies, retour aux modèles antiques) doivent célébrer les Grands et exalter les valeurs traditionnelles avec clarté, modération, respect des règles. La poésie baroque - thèmes : violence, inconstance, illusion, fascination pour la mort, métamorphoses Þ reflètent l’incertitude et le pessimisme sur la condition humaine CHASSIGNET, SPONDE, SAINT-AMANT La poésie précieuse - thèmes : amour platonique, refus du réel - formes : raffinement, travail du langage La poésie

puisqu’il n’est pas encore, et qui deviendra orageux dès qu’il vivra.· répétition du déterminant indéfini tout : « toute la gaieté folle » (l. 23), « tout son bonheur » (l. 24) : emprise absolue de Julien sur les émotions de son interlocutrice ; fascination extravagante de Mme de Rênal. Cet excès illustre le caractère romanesque de la ligne 7 qui définit la femme romantique ; sentiment de plénitude qui prend vie par cette totalité dans le discours.Texte n°3 : Défilé de Julien Problématiques :· En quoi

cartes (1920) et les estropiés avec le tableau Rue de Prague(1920). Contexte historique Au début des années 1920, les états n’ont pas peur de montrer la dévastation physique laissée par la guerre, à la fois par fierté et par devoir de mémoire. La laideur, jusque là cachée par la censure, a été récupérée par les discours officiels et les associations d’anciens combattants. Au Congrès de Versailles, Clemenceau fait aligner quelques "gueules cassées" devant les délégués allemands pour montrer les conséquences

aurais du, devenir). Le futur peu présent au début de l’extrait, domine la fin du monologue et exprime le choix de l’avenir chez Bérenger. 2. Le sentiment de culpabilité. C’est pourquoi, Bérenger évoque la beauté des rhinocéros face à sa propre laideur. Le lexique de l’esthétique est souvent lié aux rhinocéros : « beaux, charme » 2 fois avec des expressions hyperboliques « magnifique ». Mais au-delà de la beauté, c’est la puissance des rhinocéros qui fascine Bérenger « peau dure, vert sombre, âpre

vitesse, aux mutations sociales, urbaines, politiques (XIXe s = « Siècle des Révolutions »), B répond par une aspiration à la liberté et à l’innovation de l’écriture poétique. 2.1. Explorer les terres inconnues de l’irrationalité SDP témoigne d’une fascination pour la folie, pour les extravagances de l’esprit et du comportement : « Mademoiselle Bistouri », le « Crépuscule du soir », écrit B, excite les fous (un grand hurlement, composé d’une foule de cris discordants) ; l’imaginaire de la sorcellerie