La Laideur Fascination

reproche sa froideur. Ils ont des enfants : 1798, Abel Hugo ; ensuite, le père rejoint l’armée du Rhin et sa femme reste à Nancy. 1800 nait Eugène, personnage qui perdra la raison. Cette folie va considérablement marquer Hugo (textes imprégnés par la fascination, thème de la folie qui le touchera à deux reprises par son frère et sa fille, Adèle). Sophie Trébuchet se console dans les bras de Lahorie. Hugo nait le 16 février 1802. Se décrit comme un enfant chétif, malade. On voit se marquer le double attachement

punk noest qu'une révolte pour rire. pour soamuser,pour jouer à avoir peur sans rien risquerl on parle pour. rissement, délabrBment, destruction, suicide, mais sans aller jusqu'au bout. C'est cette délectation morbide, cette fascination pour Ia perdition, cet éloge de la laideur et du désespoir, qui font des punks des révolutionnaires romantiqqes ou, si I'on veut, des dandies qui ont élevé le mauvais goût au niveau de principe directeur. La société, qui n'avait plus grand chose à proposer, et surtout

lui ressemblent trs fidlement, mais autrement quil navait prvu. Dans le premier cas, cest tienne, rejetant lidentification narcissique du pre dans son fils dans le second, Guillaume, prsentant ce Narcisse non plus limage de sa beaut, mais de sa laideur cache et insupportable. Refoul en lui-mme et incapable de rayonner vers ce premier cercle qui lentoure, il sera galement incapable, on le devine, de rayonner au-del. Voil ce quexprime limage finale William, debout, seul au milieu de ce grand salon

ressemblent très fidèlement, mais autrement qu'il n'avait prévu. Dans le premier cas, c'est Étienne, rejetant l'identification narcissique du père dans son fils ; dans le second, Guillaume, présentant à ce Narcisse non plus l'image de sa beauté, mais de sa laideur cachée et insupportable. Refoulé en lui-même et incapable de rayonner vers ce premier cercle qui l'entoure, il sera également incapable, on le devine, de rayonner au-delà. Voilà ce qu'exprime l'image finale : William, debout, seul au milieu de ce

onirique, tout contribue à faire de ces pages une des plus belles évocations de maisons qu’on puisse lire. La vieille demeure saccagée représente le monde de l'enfance irrémédiablement perdu, mais dont la beauté et la magie exercent à jamais leur fascination. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ‘’Le jeu d’Anne’’ Nouvelle Antoine, un jeune homme, monte en voiture sur la Corniche «pour aller rejoindre

spécifiques à chacun. Aucun de ses modèles n'est en soi particulier, remarquable. Ce sont des gens communs, que l'on retrouve dans toutes les villes de tous les temps. Pourtant, une certaine étrangeté se dégage de ses portraits. En fait, la fascination se produit dans l'œil du regardeur, cet « œil [qui] rapproche et grossit ce qu'il juge être l'objet proposé à son observation ». (Durand, 2002, p. 115) Ainsi du portrait de la femme portoricaine: le grain de beauté se démarque et vole

est l’une des plus longues au monde, l’une plus traversée et l’une des plus contournées et l’une des plus transgressées. C’est une zone de flux migratoires importants dans le monde (le plus) et peu d’endroits sont capables d’exercer une telle fascination en condensant le long de leur tracé, une opposition si frappante au sein d’un même continent entre richesse et pauvreté extrême de l’autre (frontière de verre). Pour endiguer cette pauvreté ou cette misère venant du sud, la frontière se transforme

de lutte. « il savait qu’il le tuerait » Le meurtre est nécessaire à la révolution et donc considère comme inéluctable. C/ Dimension sacrée du meurtre Le meurtre est présenté comme un « sacrifice à la révolution » Cet acte va révéler une fascination de Tchen pour le meurtre. Il va lui révéler sa personnalité et ses obsessions profondes.  « le monde de profondeurs »  Il se découvre son rôle de sacrificateur comme le montre la périphrase « non pas un combattant mais un sacrificateur » Référence

présent. Muriel Barbery reprend donc tous les artifices du récit réaliste en s’emparant notamment d’un personnage caractéristique du roman du XIXe siècle et de la culture populaire, la concierge. Elle en reprend les traits les plus stéréotypés : la laideur (« je suis petite, laide, grassouillette… »), l’odeur sui generis, la difformité (les « oignons aux pieds »), le mauvais goût (« les coussins recouverts de taies au crochet », l. 17) et l’inévitable chat pour compléter la panoplie. On pense au portrait

du texte : « L’homme n’est rien d’autre que ce qu’il se fait. »). En outre, l’existence est gratuite, elle n’a ni but ni raison d’être. Sur ce point, de nombreuses critiques ont été adressées à Sartre, l’accusant de se fixer sur la solitude et la laideur de l’existence humaine. L’auteur rétorquait d’une part que la cause de ces critiques était la peur face à la possibilité de choix que cette doctrine laisse à l’homme, d’autre part que cette doctrine ne doit en aucune façon mener à la solitude ou à