La Laideur Fascination

rythmées, sa gouaille et ses enflures, le style de Céline parodie le ton épique. Cette emphase faussement naïve sert à la fois à faire ressortir et à faire passer ce qu'il voit partout : le navrant, le pitoyable, le grotesque, la mesquinerie et la laideur. La chronique est riche et souvent très drôle, d'une drôlerie qui exagère mais ne tombe jamais dans l'extravagance. Céline est un caricaturiste-né. Mais à force de récriminations, il finit par nous donner un autoportrait fort savoureux. Le personnage

rythmées, sa gouaille et ses enflures, le style de Céline parodie le ton épique. Cette emphase faussement naïve sert à la fois à faire ressortir et à faire passer ce qu'il voit partout : le navrant, le pitoyable, le grotesque, la mesquinerie et la laideur. La chronique est riche et souvent très drôle, d'une drôlerie qui exagère mais ne tombe jamais dans l'extravagance. Céline est un caricaturiste-né. Mais à force de récriminations, il finit par nous donner un autoportrait fort savoureux. Le personnage

poétique : faire du patin à glace sur les lacs gelés relève d’une action utopique (rêve de liberté et d’espace). III) Conclusion Bref, les deux personnages sont marqués par le destin : ils se ressemblent par leur caractère puéril (rêves communs, fascination pour l’ailleurs) et ancrage dans un univers tragique qui les unit. Zucco sera dénoncé par la Gamine lors de son interrogatoire, ce qui contribuera à son arrestation et à sa mort. Zucco semble pressentir cette dimension tragique, mais il finira par

poétique : faire du patin à glace sur les lacs gelés relève d’une action utopique (rêve de liberté et d’espace). III) Conclusion Bref, les deux personnages sont marqués par le destin : ils se ressemblent par leur caractère puéril (rêves communs, fascination pour l’ailleurs) et ancrage dans un univers tragique qui les unit. Zucco sera dénoncé par la Gamine lors de son interrogatoire, ce qui contribuera à son arrestation et à sa mort. Zucco semble pressentir cette dimension tragique, mais il finira par

et de les faire mourir arbitrairement, usant de son pouvoir absolu pour les obliger à vivre dans la pleine conscience de leur destinée mortelle. Mais, à Caesonia, sa «vieille maîtresse», il reconnaît qu’il veut «mêler le ciel à la mer, confondre laideur et beauté, faire jaillir le rire de la souffrance», transformer le monde («Alors enfin les hommes ne mourront pas et ils seront heureux»), l’invite «à un procès général, au plus beau des spectacles» : «Il me faut des coupables. Et ils le sont tous

les grands ensembles sont condamnables non seulement en raison de leur laideur, mais aussi parce qu‟ils constituent des zones d‟immoralité et de dépravation, où la délinquance et la violence se donnent libres cours. En effet, dans nos schémas mentaux, les représentations sociales du dangereux et de l‟hostile sont facilement associées au sale et au laid : la délinquance ne se situerait que dans le monde de la saleté et de la laideur, la probité et l‟honnêteté ne se trouvant que dans l‟univers du propre

disparus depuis longtemps ». Qu’ont fait les habitants de la région ? Ils sont partis. Quelle expression vous montre la présence du narrateur ? « des demeures qu’on avait connues. » Quels sentiments cette vision provoque-t-elle chez le narrateur ? La fascination et l’inquiétude. Que pouvons-nous supposer à propos du narrateur ? Il est revenu sur les lieux de son enfance et ses souvenirs lui ont inspiré ce récit. 2- Identifier l’ancrage spatial. Relevez le champ lexical de la faune et de la flore. La faune

difficilement déchiffrable. Comme la romancière elle-même. Tendrement, car il s’agit d’un véritable amour vis-à-vis de ce pays considéré par elle comme le pays de la beauté par excellence (Cf. Métaphysique des tubes) – et la Chine comme celui de la laideur par opposition (Cf. Le Sabotage amoureux) –, qui la fascine et qu’elle admire. Même si elle adopte parfois une attitude critique, pour manifester par exemple son désaccord concernant la condition et la situation de la femme japonaise ou bien le monde

de bois sorti du feu. Il se barbouille le visage et explique à Roger que c’est pour la chasse. Jack, stupéfait, contemple son reflet dans l’eau. Le visage n’est plus le sien mais celui d’un inconnu terrible. Son masque exerce sur les autres une fascination mêlée d’effroi qui les force à l’obéissance. Jack demande à Roger, Sam et Erik de le suivre. Ils partent donc ainsi pour la chasse en file indienne. Ralph, Simon, Maurice et Piggy flânent sur la plage près de la piscine. Tout à coup, Ralph bondit

au triple corps, cette engeance menaçante, la vide apparence de fantômes, des ombres » (l. 19 à 32). Tous sont des créatures monstrueuses nées de l’imagination humaine. 56 57 u L ire l ’ image Réponses aux Champ lexical de la laideur : « horrible, saleté hideuse, inculte, un sordide morceau d’étoffe, très vieux » (l. 36 à 42). Tous ces termes désignent Charon. 7. Le narrateur exprime son jugement sur ce qu’il décrit dans les phrases suivantes : « Ils allaient comme des ombres