La Laideur Peut Elle

foule du fait de sa laideur qu’elles croyaient n’être qu’une grimace puis humilier et rejeter lorsque celle-ci se rend compte que c’est son vrai visage, ce rejet de la communauté et de la société se retrouve dans le roman de Mary Shelley, « Frankenstein » (document 3) et le film Eléphant Man (document 5) ou l’on peut voir que Frankenstein et J.Merris sont rejeté à cause de leurs différences. Le monstre est exclu de la communauté du fait de sa laideur, car pour la société la laideur physique prouve

le mal, le dégoût, la laideur .... Lautréamont se décrit « si méchant » ; avec une « haleine [qui] exhale un souffle empoisonné », de même pour Corbière, qui se voit tel le « rossignol de la boue », oxymore pathétique et péjorative, preuve de l’auto-dérision dont use l'auteur. Ils se sentent différents de telle façon qu'ils le regrettent car cela signifie être un paria de la société : « je couvre ma face flétrie […] : il ne faut pas que les yeux soient témoins de la laideur que l’Être suprême , avec

comme l’auteur Johann Wolfgang perçois les idées telle que la beauté et la laideur comme quelques choses d’égale en soi même. Pour ce faire, Baudelaire présente la femme comme étant idéal mais à la fois ombreuse. Baudelaire interprète les femmes d’une manière compliquer et simple à la fois. Tout d’abord, Baudelaire fait ressortir dans ses poèmes cette perception des choses en faisant sortir des laideurs dans les plus belles femmes. Comme par exemple, dans le poème destruction

r�alit� ? La d�finition de l’art ne peut pas se limiter � quelques œuvres d’art, ni seulement � la beaut� esth�tique. Certes l’art se d�finit aussi comme la production d’un objet jug� beau. Nous employons le mot � jug� �, car la beaut� est subjective, elle d�pend des crit�res de chacun, et ils sont tous diff�rents. Je ne peux donc pas affirmer qu’un objet est beau car JE le trouve beau, il correspond seulement � mes crit�res de beaut� et ne correspondra peut-�tre pas � ceux de mon voisin. Mais

des rimes croisées. Dans ce poème Hugo fait l’éloge de la laideur.. Comment ce poème, en faisait l’éloge paradoxal de la laideur, invite-t-il le lecteur à défendre les plus vulnérable ?-Hugo justifie une idée contraire à l’avis général-Interpellations des lecteursI-Justification d’une idée contraire à l’avis général (4 premières strophes)-1v parallélisme avec le verbe aimer =souligner l’affection égale qu’il a pour c’est deux êtres.- On peut voir que cette idée est paradoxale au v2 puisque l’avis général

est un bouquet, où chaque poème est une fleur qui pousse dans le « Mal ». Baudelaire l'écrit dans un projet de préface où il explique « vouloir extraire la beauté du Mal ». Mais cette préface n'est qu'un projet, si Baudelaire ne la retient pas, c'est peut-être que cette formule ne correspond pas à l'ensemble du recueil : La poésie des Fleurs du Mal extrait-elle « la beauté » du « Mal » dans l'ensemble de ses poèmes ? Nous répondrons à cette question en analysant la poésie des

collègue sur lequel il porte un regard peu flatteur. Le voyage en train lui permet d'observer la laideur de Tisserand, cause du désintérêt qu'il suscite chez les femmes. Problématique : En quoi ce personnage est-il un antihéros ? I)Un portrait péjoratif : 1)Une silhouette disgracieuse : -éléments proches de la caricature -contraire exacte de la beauté -il est comme tout le monde, seul sa laideur le caractérise 2)Visage hideux : -comparaison avec un « crapaud-buffle » => stigmatise(=blâmer

constate aussi la longueur incroyable des groupes nominaux (en caractère gras) ainsi que l’abondance des compléments du nom (soulignés). Dans le 1er exemple, on trouve une succession de 3 compléments du nom ! Ces groupes nominaux à rallonge si l’on peut dire témoignent bien d’un souci de précision. Notons aussi l’abondance des adjectifs qualificatifs souvent présentés sous forme d’énumérations : c’est le cas des l 44 à 45 où l’on a droit à une cascade d’adjectifs ! On note aussi un souci d’exhaustivité

notamment des conditions d’hygiène, de travail et de santé exécrables, il invite par ailleurs le lecteur à faire preuve de bienveillance vis à vis de celui-ci. Le poème est constitué de quatre mouvements, le premier, des vers 1 à 6, fait état de la laideur de l’araignée et de l’ortie, le deuxième des vers 7 à 10, nous dresse leurs conditions de vie misérable, le troisième, dresse le lien avec le peuple qui souffre puis dans le quatrième et dernier mouvement, le poète invite à faire preuve de tolérance

personnage. Jeu sur le double sens du mot « bête » : peut désigner un geste maladroit, une femme sotte mais le terme peut aussi conférer une dimension animale à la femme. Terme « déficits » : désignent des défauts, des imperfections physiques ; « ravaudés », renchéri par le groupe adverbial « assez mal » ruinent toute vision élogieuse et font de cette Vénus une prostituée vieillissante et décatie dont le maquillage ne suffit plus à gommer la laideur. Le verbe « ravauder » désigne aussi le raccommodage