La Laideur Peut Elle

points qui me semblent essentiels. Tout d abord la poésie repère la beauté dans la laideur et le bien dans le mal, elle nous attire par sa simplicité ou bien sa complexité. La lecture de la poésie  est captivante et incite à la méditation ; elle apporte au lecteur ce besoin d’évasion et de liberté que seuls ces moments pleins de poésie peuvent rendre réels. La poésie exagère toujours tout, la beauté, la laideur, le bien, le mal, l'amour la haine et bien d'autre chose encore. Certains poèmes nous

remords, repentirs, aveux, pleurs, taches »). Troisième strophe 6. Par une métaphore (« le riche métal de notre volonté/Est tout vaporisé par ce savant chimiste »), le poète montre les effets du Malin sur l’homme : alors que le poète transfigure la laideur en beauté par l’emploi du langage poétique, comme un chimiste transforme le plomb en or (mythe de la pierre philosophale employée par l’alchimiste), Satan s’amuse à faire disparaître ce qu’il y a de bon en l’homme. Quatrième strophe 7. Par l'emploi

termes signifiant une imitation de textes d’un écrivain célèbre qui peuvent être à valeurs ludique, satirique, comique ou alors un parfait exercice de style ne cherchant pas forcement le « rire » mais bien au contraire l’hommage. Cette dernière notion peut paraître ambiguë tant la connotation du mot « pa- rodie » est forte, confuse et généralement négative. Par exemple, la définition par analogie du Trésor de la langue française en rend compte « Imitation grossière qui ne restitue que certaines apparences

Nous nous demanderons comment et dans quelle mesure Baudelaire s’identifie à cet Albatros ? Nous étudierons ce texte en 3 mouvements : « apologue situation initiale et perturbation » puis « péripéties la violence et la chute entre beauté et laideur »et enfin, « un rapprochement final entre poète et albatros » nous établirons un lien entre la figure du Poète et celle de l’Albatros I: Apologue situation initiale et perturbation strophe 1 v1Souvent : adverbe de fréquence → qqch de singulier //

celui-ci. D’autre part, Ionesco démontre comment un homme seul contre un mouvement de masse peut se sentir au sein d’une telle société. Malgré toute cette humanité qui habite Bérenger, l’auteur décrit la fragilité psychologique de l’homme au centre de sa marginalité, au point où il en devient à penser qu’il est « l’anormal ». Pour illustrer ceci, Ionesco utilise du champ lexical de la laideur. Ce champ lexical comporte des expressions telles que : « Je ne suis pas beau, je ne suis pas beau »

Blanc n°2 : Analyse de corpus (semi-rédigée) Les passages en rouges ne doivent pas figurer sur la copie Le corpus proposé à l’étude regroupe trois poèmes du XIXème et XXème, siècles durant lesquels la poésie a connu des évolutions importantes. On peut dès lors se demander dans quelle mesure les textes regroupés ici, « J’aime l’araignée, j’aime l’ortie » de Victor Hugo, « Une Charogne » de Baudelaire ainsi qu’« Ode inachevée à la boue » de Ponge, rompent avec l’image traditionnelle que nous avons

composé de 7 quatrains découpés en décasyllabes, ces rimes sont toutes croisées. 1) L’expression d’un amour paradoxale 1ere strophe: dès le premier vers avec la répétition de “j’aime”, le poème se place dans le lyrisme amoureux cependant cette amour peut surprendre car l’araignée et l’ortie ne sont pas des objets d’amour courant. Au 2e vers l’amour est associé à la haine, on repère une antithèse aimer/haïr et une conjonction “parce que” qui amène à une explication paradoxale d'où le lyrisme amoureux

veut dire contrefait, bossu), et la« Princesse » est définie par son statut social (jeune fille nobleà marier).-Des personnages stylisés : autant la Princesse est laide (maiscela n’apparaît pas dans cet extrait), autant Riquet accumuleles traits de laideur (3è paragraphe du texte), ce qui lerapproche du monstre.-Surtout, des systèmes d’opposition, binaires (beau/laid), misici en valeur par la transformation du personnage (« le plusbeau, le mieux fait, le plus aimable »).2° Une intrigue rondement menée-Mise

rhinocéros. Pourquoi lui en particulier ne veut pas, alors que le reste n’hésite pas ? Il en vient même à penser que ce n’est pas ceux qui se transforment en bête qui sont anormal, mais lui qui l’est. Ionesco démontre cela grâce au champ lexical de la laideur ; « Je ne suis pas beau, je ne suis pas beau » (p. 161), « laid » (p. 161), « J’ai la peau flasque » (p. 161), etc. Ceci est également représenter dans la pièce grâce aux interrogations que le personnage se pose à la fin ; il se remet en doute, il

baignoire - mention métaphorique « déficits mal ravaudés » évoque le travail du temps sur le corps - mention du « cercueil » - « fortement pommadés » suggère des soins de beauté maladroits, incapables de lutter contre la laideur due à l'âge - allitération en «s» (v.4) traduit l'amollissement de la chair. Elle est également grosse - métaphore « la graisse sous la peau paraît en feuilles plates » désigne la cellulite - description de la corpulence :