La Laideur Peut Elle

figure emblématique de la laideur d'Épiphane Otos, un homme âgé d'une vingtaine d'années. Il est un être repoussant mais il y a du beau en tout homme puisque Épiphane a le don des mots, il détient en lui le sens des mots et leurs effets poétiques. Le personnage s'analyse avec une certaine ironie et trouve même des avantages à être hideux qui, pourrait-on penser, lui permettent de ne pas sombrer. Plus tard, il rencontre Ethel, une très belle femme qui reste émue par sa laideur et ne perçoit que l'homme

Les fleurs du mal : l’auteur considère la nature comme étant par définition laide. Condamné et censuré à sa sortie, trop choquant pour la morale bourgeoise. Il y met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal, la laideur et la beauté, l’enfer et le ciel.  Tentative désespérée d’extraire la beauté de la souffrance, du pêché. - mal social (être déchu) - mal moral (goût pour le crime et le sadisme) - mal physique - mal métaphysique (âme angoissée car il ne croit

d’abord je vais exposer l’image irrégulier de Carmen,avec sa laideur et après je vais analyser le lyrisme et comment il parvient à créer un personange en même temps hideur mais aussi charmantI. L’image de Carmen Carmen est présentée comme une femme pauvre et laide. L'auteur décrit dans chaque strophe une partie de son apparence. Par le champ lexical du corps humain « cheveux ; peau ; nuque ; chignon ; bouche ; yeux » et de la laideur « maigre ; noir sinistre ;laide ; pâleur » Gauthier met en évidence

pensai : le problème ne réside point dans cette misère, dans cette saleté, ni dans cette laideur. Mais ce même homme et cette même femme se sont connus un jour et l’homme a souri sans doute à la femme : il lui a, sans doute, après le travail, apporté des fleurs. Timide et gauche, il tremblait peut-être de se voir dédaigné. Mais la femme, par coquetterie naturelle, la femme sûre de sa grâce, se plaisait peut-être à l’inquiéter. Et l’autre, qui n’est plus aujourd’hui qu’une machine à piocher ou à cogner

signifiant qu'il n'y a pas une seule beauté, mais une multitude de beautés. - Voltaire utilise l'effet de surprise, et cet effet crée un effet comique : demander à un crapaud ce qu'est la beauté, alors que le crapaud est plutôt le symbole de la laideur. - "deux gros yeux ronds sortant de sa petite tête" -> effet comique. - Jeu de questions / réponses, comme pour une enquête. - Voltaire propose des enchaînements inattendus, crapaud / nègre et diable / philosophe. - Sous-entendus satiriques :

remarquer des oppositions dans ces titres, comme dans celui du recueil : d'un coté les "fleurs", la beauté, la délicatesse, etc. de l'autre le "mal" ou ce qui est considéré comme tel. Grâce à la poésie il relie les deux : même à partir de la laideur il peut créer de la poésie - "Les Fleurs du mal" => projet poétique de Baudelaire : extraire la beauté du mal, (Baudelaire dit : " tu m'as donné ta boue, j'en fais de l'or "). Le mal fait référence à quatre types de mal : - mal social (être

une exagération de la laideur, il est obsédé par ce qu'il n'a pas et surtout par ses défauts qu'il juge monstrueux. Dans cet autoportrait l'auteur a très peu de complaisance envers lui même. De plus l'organisation confuse et décousue de ce portrait donne une impression de mélange, ''de fouillis'' dans cette liste de défauts. Michel Leiris ne montre aucune trace d'héroïsme, au contraire par exemple dans la dernière ligne de l'extrait « je me trouve à chaque fois d'une laideur humiliante » il se décrit

lépreux de François Mauriac, éditions du Livre de poche, pages 51 à 57. Sources utilisées : - Le Romancier et ses personnages, F. Mauriac, édition de ses Œuvres Complètes, Bibliothèque de la Pléiade. - François Mauriac, L’œuvre au noir, article "Laideur des corps dans quelques romans de Mauriac" de Claire Daudin, Association Internationale des Amis de François Mauriac. - François Mauriac, du péché à la rédemption, Théodore Quoniam. - "Mauriac, l'homme de foi", article sur le site Internet officiel

Lucie BouchardLittérature et imaginaireGroupe 04RÉPONSES AUX QUESTIONSFrankensteinTravail présenté àMonsieur Marc bouchardCollège d’AlmaDépartement de français30 mars 2022Extrait 11) Il ressent plus de haine que de d’inquiétude. Il utilise des mots haineux et qui sont relatif au dégoût. « Une nuit affreuse » (l. 1180) « l’œil jaune et stupide de la créature » (l. 1187) « mon cœur se remplit d’une horreur et d’un dégout affreux » (l. 1204-1205). C’est un état de désarroi.2) La température était sombre

Baudelaire a souhaité la laideur comme un nouveau secret qu’il s’agit de pénétrer et grâce auquel le poète éveille des charmes nouveaux. b. Dégager la problématique Il s’agit de formuler clairement le problème central posé par le sujet. Cela revient souvent à reformuler le sujet. On peut aussi repérer - un paradoxe une incompatibilité apparente un renouvellement de l’art d’écrire Problématique du sujet précédent : Comment la laideur peut-elle renouveler la poésie