La Laideur Physique

proche du symbolisme, figure du « poète maudit ». Auteur d'un unique recueil poétique, Les Amours jaunes, et de quelques fragments en prose, Tristan mène une vie marginale et miséreuse, nourrie de deux grands échecs dus à sa maladie osseuse et à sa "laideur" presque imaginaire qu'il se complaît à accuser : celui de sa vie sentimentale, et celui de sa passion pour la mer. Sa poésie porte en elle ces deux grandes blessures qui l'amèneront à choisir un style très cynique et incisif, envers lui-même autant

Dix à était très touchés par la guerre, chose qui a totalement changer le style de ses œuvres. A cette époque les blessures de la guerre sont encore présentes dans les mémoires. Les états n’ont pas peur de montrés la dévastation physique laissée par la guerre. La laideur jusque-là caché par la censure a été récupéré par les discours officiels, et les associations d’anciens combattants. Au Congrès de Versailles en janvier 1919 Clémenceau fait alignés quelques « gueules cassées » devant les délégués

suivra. L’extrait choisi correspond au moment où la Belle rencontre la Bête pour la première fois en « tête à tête ». Il s’agit du moment clef de l’histoire qui pose la problématique du conte : la différence entre les apparences et la réalité (laideur vs bonté d’esprit de la Bête). Je vais donc faire la lecture de l’extrait : « A midi (…) obligé » Dans une première partie je ferai une analyse littéraire de « La Belle et la Bête » , et dans une deuxième partie, je proposerai une exploitation

pas à l’idée qu’on se fait d’une promenade sentimentale. -II- Le crapaud, figure du poète. a) L’image de la femme qui donne l’image du poète La femme dit 2 fois « horreur » ( le crapaud lui fait peur. La femme ne perçoit que la laideur physique du crapaud donc du poète. Elle n’entend que le son discordant du crapaud. Phrases interrogatives qui marque l’incompréhension du poète face à la peur de son interlocuteur. « Horreur pourquoi ? » est une phrase incorrecte mais qui reprend l’exclamation

période favorable, le vieillard jouit d’une situation enviable : il est honoré, respecté et joue un rôle social important ; il est aussi le dépositaire du savoir et la mémoire du clan. Cependant, dès lors qu’il devient inutile par ses infirmités physiques ou mentales ou que la période n’est pas favorable, il est souvent éliminé car il est une charge. Ainsi dès le stade de la société primitive, se trouve posé le problème de l’ambiguïté de la vieillesse, à la fois source de sagesse et d’infirmité, d’expérience

que (axe 1) (dénoncée par) parce que (axe 2) une vision dépréciative des populations noires un dispositif ironique efficace (voix de l’esclavagiste) (voix de Montesquieu) car une attaque contre le physique (§.1) car une annonce de la structure ironique (§.1) car un mépris de leurs valeurs morales (§.2) car l’absurdité des arguments exposés (§.2) car une négation de leur humanité (§.3) car la

 »( adj. brun ) = inhabituel car vénus est blonde habituellement + terme «  pommadé  »= gras / sensation désagréable. Incapable de dissimuler les dégradations physiques de l’âge. - v.3 «  vieille baignoire émerge  » revenons à ce terme. Habituellement venus est décrit sortant d’un coquillage dans ce poème il y a divergence car elle sort d’une

l’expression « il passera dans les grands » tourne encore plus le personnage au ridicule car il est plus grand que tout les autres. Pourtant ce personnage est au centre de l’incipit. II- Le portrait de Charles : un portrait péjoratif A- Portrait physique Le narrateur fait le portrait en pied de Charles (taille, cheveux, ère (visage), épaule, poignets, jambes, souliers). Aspect vestimentaire de Charles qui fait référence à un déguisement qui parodie involontairement et maladroitement l’habillement

« pourriture », « carcasse » ou encore « charogne infâme». Les mots que Baudelaire a choisi pour décrire ce cadavre peuvent choquer tant ils nous procurent un sentiment de dégoût. Il utilise également des hyperboles afin d’exagérer l’horreur et la laideur de ce qu’il voit, notamment lorsqu’il écrit : « La puanteur était si forte, que sur l’herbe vous crûtes vous évanouir », amplifiant le fait que l’odeur qui l’entourait le dérangeai, ou encore avec le cinquième quatrain : «Les mouches bourdonnaient

ils ne font preuve d’aucune faculté de jugement partagée par tous (ils n’ont pas de sens commun, § 8), et ne sauraient être considérés comme une nation civilisée (nations policées, § 8). Mais ce racisme se fonde avant tout sur des différences physiques, notamment la forme du nez (si écrasé, § 4) et la couleur de la peau (noirs depuis les pieds jusqu’à la tête, § 4) ; le préjugé de couleur est très vivace au 18ème siècle, et la pigmentation des noirs est une telle énigme qu’elle figure en 1741