La Laideur Physique

.....................................page 4 2. L’excitation de regarder une femme se changer sans qu’elle le sache – la scène de transformation........................................................................................page 7 3. La laideur associée à la méchanceté et la beauté associée à la vertu ?.......page 9 4. La question de la jalousie entre les femmes................................................page 13 5. Le comportement des femmes associé à la beauté....................

1482, jour des Rois et de la fête des Fous ; le peuple de Paris va accorder le titre de Pape des fous à l’homme qui fera la plus belle grimace ; les candidats, qui passent leur tête à travers un cercle de pierre d’une petite chapelle rivalisent de laideur. Noël ! Noël ! Noël ![6] criait le peuple de toutes parts. C’était une merveilleuse grimace, en effet, que celle qui rayonnait en ce moment au trou de la rosace. Après toutes les figures pentagones, hexagones[7] et hétéroclites qui s’étaient succédé

« viv[re] » v24 la carcasse. « vague » à la rime est repris deux vers après en jouant sur le sens « vague » comme « flou » qui introduit à la strophe suivante l’idée d’une extrapolation du poète à partir de l’image initiale v22-24 II. Transposition de la laideur en beauté A. Le cadre naturel a. Une chaleur qui apparaît comme agréable au départ v2 : « Ce beau matin d’été si doux » > redondance « beau » avec « si doux » (+ intensif) + assonance en [ou], « vous » « doux » « détour » « cailloux » > rythme ternaire

l’ombre avec ruse à une destruction malsaine. Sa jalousie envers Adelinne au début du livre restait enfuie près à s’enflammer. Cette scène permet de montrer de façon visible au lecteur l’ampleur de cette jalousie qui se manifeste par des réactions physiques horrifiantes. Lisbeth s’efforce de cacher cette monomanie et de contrôler ses réactions notamment en « serrant ses dents pour les empêcher de claquer » (l. 15) mais sa jalousie est tellement terrible qu’elle se manifeste « par une affreuse convulsion

volontairement ou pas. Qu’est ce qu’un stigmate ? Ça peut être une marque physique (souffrance, handicap, …) Les stigmates du Christ →posture de souffrance, muscles tétanisés, tête baissée, sang. Il incarne la souffrance des autres→ rédemption. Valeur positive de la souffrance physique (catholicisme) Dans notre société on nous impose un certain nombre de normes physiques, esthétiques, pas imposé par la loi. Ex : avoir un physique mince tonique et dynamique, jeune permet de rentrer dans la norme.

formes et couleurs. Soucis de la sensation physique : la vue « verriez » tactiles « gluant » olfactives. Cela symbolise l’horreur et la répugnance. 2 une réalité non idéalisée Emploi de termes dépréciatifs : « nauséabonds » « exécrable » Des effets d’insistance avec des énumérations + des homéotéleutes Réalité caractérisée par la vétusté la saleté la pauvreté et le mauvais gout. L’intérieur de la pension est donc caractérisé par la laideur, c’est un endroit dépourvut de toute beauté

poétique et tragique qui dénonce le regard occidental  La laideur est métaphore des traces de l’asservissement et de toutes ses conséquences dont le regard négatif porté sur l’homme noir avec le Portrait d’une terrible souffrance intérieure ! A- façonné par la misère La phrase « C’était un nègre dégingandé sans rythme ni mesure. » trahit les déséquilibres physiques et les effets de contraste qui génèrent de la difformité dans ce portrait. Et la

haute société grâce au vocabulaire du snobisme et de la préciosité. L'expression qu'utilise l'auteur: " A l'organisme défaillant" qui est une allusion de Proust à sa propre maladie, analogue au plan physique de son interlocuteur (laideur) .L'auteur ironise ensuite la fausse équivalence entre le physique et le mental et entre le réel et le verbal. Il y a une condamnation de physionomie qui préfigure déjà les théories racistes et leurs conséquences futures. On sait qu'il s'agit d'une autobiographie

- Utilisation de l'argot ( jargon ) -> " pioupious "; " roses ". -Mention des détails physiques -> laideurs et obésité -> " Bedaines flammande " (V.18 ) -> laideurs. - Allitérations en R (V.2)/Assonances peu poètique et lourdes.

nobles ) [ d’où l’idée de transformer la boue en or ]. ----- image de la création littéraire ----------------------- Dans la littérature , les artistes du 19e siècle considère ( croix ) que la poésie serait la pièrre philosophale qui transforme le laideur et le mal de la réalité par un langage particuler en quelque chose de beau , de sublime. Ce qu’on appelle ici l’alchimie poètique . Et donc on peut dire que l’alchimie poétique est une métaphore de la création poétique. ________________________________________·