La Laideur Physique

). C’est le genre de personnage qu’on hait dans un roman ou une pièce de théâtre, mais qui est présent en grand nombre dans la réalité. Elle incarne la laideur de la haute bourgeoise car dans les deux cas, elles apparaissent fascinantes, intrigantes même séduisantes extérieurement. Cependant derrière cette apparence charmante, se cache une laideur, c’est-à dire tout l’hypocrisie et la dispute du pouvoir. Raphaël tombe si amoureux de Foedora puisqu’elle est tout ce que lui n’est pas, mais désir avoir

1482, jour des Rois et de la fête des Fous ; le peuple de Paris va accorder le titre de pape des fous à l’homme qui fera la plus belle grimace : les candidats, qui passent leur tête à travers un cercle de pierre d’une petite chapelle, rivalisent de laideur. Noël ! Noël ! Noël ! criait le peuple de toutes parts. C’était une merveilleuse grimace, en effet, que celle qui rayonnait en ce moment au trou de la rosace. Après toutes les figures pentagones, hexagones et hétéroclites qui s’étaient succédé

guerre, Dix a réalisé deux tableaux montrant les conséquences physiques de la Grande guerre sur les anciens combattants. « Gueules cassées » des Joueurs de cartes (1920), estropiés de Rue de Prague (1920) dont les caractéristiques physiques sont exprimées jusqu’au grotesque. Au début des années 1920, les états n’ont pas peur de montrer la dévastation physique laissée par la guerre, à la fois par fierté et par devoir de mémoire. La laideur, jusque là cachée par la censure, a été récupérée par les discours

poésie, il souhaite toucher cette perfection du bout des doigts. C’est son Idéal. Cette démarche est au départ des Fleurs du Mal, qui se présentera comme une chasse au trésor pour le poète : Baudelaire entreprend un voyage à la fois spirituel et physique. CONTEXTE D , ÉCRITURE ANALYSE DU FOND RÉSUMÉ EN 3 PHRASES 1. Spleen et idéal : Baudelaire a recours à la poésie traditionnelle de son époque : avec les codes et les thèmes qu’il connait (l’amour, la figure féminine, la nature, le voyage, la condition

exaltées par l’orgie, il ne fallait rien moins, pour enlever les suffrages, que la grimace sublime qui venait d’éblouir l’assemblée. Maître Coppenole lui-même applaudit ; et Clopin Trouillefou, qui avait concouru, et Dieu sait quelle intensité de laideur son visage pouvait atteindre, s’avoua vaincu. Nous ferons de même. Nous n’essaierons pas de donner au lecteur une idée de ce nez tétraèdre, de cette bouche en fer à cheval, de ce petit œil gauche obstrué d’un sourcil roux en broussailles tandis que

Düsseldorf, Berlin puis à nouveau Dresde jusqu'en 1933. Les thèmes que traite Dix se laissent difficilement résumer: le regard froid des tranchées se tourne vers la société pour montrer ceux qui sont en marge. Dix est fasciné par le mauvais goût, la laideur, les situations macabres, grotesques. L'esprit du temps n'est pas étranger à cette fascination le sordide. Le cynisme hésite entre le sarcasme et l'ironie la moins voilée. Une des figures qui apparaît le plus souvent et qui est la plus caractéristique

cette odeur innommable et lourde » et surtout sur la fenêtre. La fenêtre incarne dans ce récit non seulement la frontière entre la chambre et l’extérieur, entre la laideur er la beauté, entre la vie et la mort. Cette fenêtre est un des éléments récurrents du récit, elle sert d’appui physique et psychologique aux personnages. Appui physique pour soutenir Mme Forestier, affaiblie par la douleur « sa femme vint s’appuyer à la vitre », « puis elle regarda au loin, le front contre la vitre », «  Mme Forestier

de Macloune considéré différent, en grande partie parce qu’il est malheureusement mal nanti dès la naissance. Immédiatement au début du texte, le lecteur peu comprendre qu’il y a certains éléments qui marque sa dissimilitude par une extrême laideur physique. Il est décrit comme un personnage qui « était né et qui avait grandi dans la plus profonde et respectable misère » (l.7). Le garçon est aussi qualifié comme étant un « monstre » (l.15) tellement il est laid. Son corps est décrit par plusieurs

Beauté et idéal corporel ~   Ce document est issu d'une recherche effectuée au cours de mes études en STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives), dans lequel je développe l'importance du corps et tout ce qui lui a trait dans notre société. Il est intéressant de voir comment nous sommes catégorisés au travers de notre apparence physique, de manière consciente ou inconsciente par les individus qui nous entourent. SOMMAIRE INTRODUCTION SCIENCES ET BEAUTE I . CORPS ET SOCIETE

et de la mort. De 6-7 ans à 12 ans: Peur de l'école, des relations à autrui (sociophobie), des sports, des accidents, de la violence physique, de l'enlèvement, de la mort des parents, de l'incendie de la maison, de la mort. De 12 à 18 ans: Peur de l'école, des relations avec l'autre sexe, des activités sexuelles, de la laideur ou de la difformité physique, de l'échec scolaire, de parler en public. Les phobies apparaissent généralement pendant la période œdipienne de 3 à 6 ans. Comme