La Laideur Physique

échec dans ce monde meilleur. 1-Description physique. Il est petit et gros, et son apparence est en décalage avec le physique de la caste des Alphas, il ressemble plus à un Gamma. La rumeur prétend que lors de sa conception — en éprouvette, comme tout humain — une erreur aurait causé l'injection d'alcool dans son pseudo-sang, traitement réservé aux fœtus des classes inférieures, ce qui justifierait son physique dégradé. De ce décalage physique est née une exclusion de la part des autres :

importante : elle indique certes l'appartenance mais aussi l'origine : les fleurs sont extraites du mal, ce qui signifierait que la poésie peut transformer le mal et la laideur en beauté. Enfin, le fait que "Mal" soit au singulier montre que Baudelaire englobe toutes les formes de souffrance et de misère : mal social, mal moral, mal physique, mal psychique... Le spleen et l’idéal Le spleen Baudelairien Ce mot anglais était déjà employé en France vers la fin du XVIIIe siècle et des Romantiques

la passion et les émotions ressenties par ses personnages. Écrivain engagé, il écrit Notre-Dame de Paris, un roman qui présente l'amour entre Quasimodo, un sonneur des cloches de la cathédrale Notre-Dame de Paris qui représente la difformité et la laideur et Esméralda, une Égyptienne représentant la fraîcheur et la beauté de la jeunesse.Ces deux personnages sont confrontés à la toute-puissance de Frollo. Dans cet extrait, Frollo, prêtre renégat, se livre à une supplique devant Esméralda impuissante

soit la satire (on parle alors de contre blason d'un être ou d'un objet avec une prédilection pour le corps féminin). Queneau ne déroge pas à la règle puisqu'après avoir vanter les charmes présents du corps juvénile de sa destinataire, il évoque sa laideur future de veille femme. 2. L'intertexte ronsardien La source principale dans laquelle Queneau puise son inspiration est le modèle ronsardien. Bien que le choix du pintasyllabe soit original et rare en isométrie (vers semblables), le mètre reste

Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! » Le poète ne voit plus la beauté à travers les critères prédéfinis de la société. Le beau n'est plus seulement attribué au céleste et au physique parfait mais aussi au bizarre et aux particularités venues des enfers. Le poète accepte donc l'anormalité, l'étrange comme source de Beau. Le poème « Une charogne » appartient donc, d’une certaine façon, au culte de la beauté : «  Et

presque incontournable, présent dans de nombreux contes. Ici, il est possible de faire son portrait. Tout d’abord, la sorcière est la personnification de la monstruosité. Elle possède effectivement un physique ingrat puisqu’elle a une « vaste poitrine spongieuse ». Par conséquent, elle incarne la laideur extérieure et intérieure. Elle a même un « rire bruyant et laid ». La sorcière est tout l’opposé de la petite sirène. Elles n’ont rien en commun, rien ne les relie, mise à part le terrible pacte. De

il n'y en a qu'une : ne pas poser de questions. » (le Capitaine, p. 18) Plus Hadèle lui parlait, plus Françoise s'intéressait à elle. Car Hadèle exprimant très clairement sa douleur, Françoise s'intéressera alors plus à sa souffrance psychique que physique. "Je suis ravie de la gravité de mon état, d'autant que je n'en souffre pas : tous les avantages de la maladie sans les inconvénients. Une visite quotidienne d'une fille aussi sympathique que vous, je ne pouvais pas rêver mieux." (Hazel, p. 29)Lors

manifestations du grotesque, mais depuis la fin des années 1950 on a cherché à préciser son domaine. Dans la caricature, il convient de distinguer le portrait en charge, qui utilise la déformation physique comme métaphore d’une idée (portrait politique) ou se limite à l’exagération des caractères physiques (portraits d’artistes) et la caricature de situation, dans laquelle des événements réels ou imaginaires mettent en relief les mœurs ou le comportement de certains groupes humains. Pour comprendre

velours , noir comme la suie qui remplit l'intérieur des cheminées  : il ne faut pas que les yeux soient témoins de la laideur que l'Être suprême , avec un sourire dehaine

mes frères du noble et dernier âge, la vieillesse est un immense et somptueux privilège, un trésor inestimable, une période grave et riche que la nature nous confie et dont le destin nous gratifie. Certes cet âge nous prive de quelques forces physiques mais concentre mieux nos forces spirituelles. Nous n'avons plus à nous battre pour faire fortune : nous pouvons jouir sans remords de notre pauvreté pleine de dignité ou de l'indécente fortune matérielle que nous avons accumulée. Vieillards, nous