La Laideur Physique

séduite à l’avance. -L’accumulation des adjectifs valorisants, des tournures valorisantes, des comparatifs et des superlatifs montrent que cette servante est fascinée par le portrait de Dorante. Elle montre aussi son interet pour la beauté et le physique. -Il y a un parallélisme dans la construction, des termes… -Elle est aussi capable de se moquer de Silvia, elle est donc moins naïve qu’on ne pourrait le croire. Elle est contrainte d’avoir raisons comme le montre les interrogations. D) Une

il participe. Après la guerre, Il a réalisé deux tableaux montrant les conséquences physiques de la Grande guerre sur les anciens combattants. Les Joueurs de cartes ou Les joueurs de Skat (1920), et Rue de Prague (1920) Au début des années 1920, les états et les soldats survivants n’ont pas peur de montrer la dévastation physique laissée par la guerre, à la fois par fierté et par devoir de mémoire. La laideur, jusque là cachée par la censure, a été récupérée par les discours officiels et les

par des fées. Rappel : - La Princesse printanière : un roi et une reine tente en vain d’avoir un enfant. Lorsqu’ils y parviennent, la reine se met en quête d’une nourrice pour sa fille. La fée Carabosse se propose mais est refusée à cause de sa laideur. Voulant se venger, elle fait périr toutes celles qui sont choisies à sa place puis lance un mauvais sort à l’enfant. Les parents s’adressent alors aux autres fées pour savoir ce qu’il faut faire pour lutter contre la malédiction. La jeune princesse

humaine en proie aux malheurs de l'existence (Baudelaire dit : " tu m'as donné ta boue, j'en fais de l'or "). Le mal fait référence à quatre types de mal : - mal social (être déchu) - mal moral (goût pour le crime et le sadisme) - mal physique - mal métaphysique (âme angoissé car il ne croit pas en Dieu) Oxymore : Fleurs/mal Structures des Fleurs du mal Chef-d'œuvre précisément de la production poétique de Baudelaire, ses Fleurs du mal de 1857 sont à l'image des tensions et de

. Une perfection tant physique que morale Certains personnages sont dotés de telles qualités physiques et morales qu'ils répondent au rêve de perfection du public et lui permettent une identification narcissique. Ils relèvent d'ailleurs plus d'un toposque de l'ancrage réaliste. Ce sont les chevaliers invincibles des romans courtois médiévaux, ou les belles dames pour lesquelles ils risquent leur vie, tels Lancelot et Guenièvre, Tristan et Iseult. Tristan est le parfait chevalier, « glorieux vainqueur

roi de son PETIT monde (voire minuscule monde) mais en même temps il es sans cesse ramené à sa réalité fragile, à la réalité de son échelle (le fait qu'il est petit le rend faible et fragile) affirmation esthétique (de Ponge) : on passe de la laideur à une certaine forme de beauté Etudie également la composition graphique du poème : à quoi correspond chaque paragraphe, essaye d'en voir une image qui se dégage. Un indice avec le mot 'superfétatoire' qui est un peu compliqué, il veut dire

doit y avoir un mot pour qualifier cette laideur-là : je ne le connais pas encore » (l.34), on voit que l’auteur a un jugement d’enfant : elle ne sait même pas qualifier ce qu’elle voit. De plus, elle ne sait pas ce qu’est le communisme (l.36). Mais on peut se rendre compte que le narrateur décrit aussi ce qui l’entoure comme un adulte le ferais, « La Chine est comme une courtisane habile qui parviendrait à faire oublier ses innombrables imperfections physiques sans même les dissimuler, et qui infatuerait

L'expression désigne l'enjeu de toute écriture de soi : un auteur qui doit écrire avec l’objective sincérité.  Prenons l’exemple de Michel Leiris qui, dans son œuvre L’Age d’homme, se complaît dans sa « laideur humiliante ». Il nous décrit un homme grâce à une description pessimiste de lui-même aussi bien physique que morale. En somme, Chateaubriand qui nous présente dans Mémoires d’outre-tombe sa naissance en recopiant son extrait de baptême. Pour nous montrer sa sincérité, il rectifie l'erreur faite sur

figure de Socrate dans sa dualité. a) Description physique et défauts de Socrate (Alcibiade… dans l’Etat) « Alcibiade… ridicule » : langage familier, plutôt comique. (Garder le côté « divertissant » du texte) « Vous n’en auriez… oignon » Il s’adresse au lecteur à travers le pronom personnel « vous », pour le prendre à témoin « Tant il était..ridicule. » Tant est un adverbe d’intensité , qui donne une valeur hyperbolique à sa laideur et son ridicule. (Accentue son côté ridicule) « Le

c- Ambivalence de l'amour On trouve donc une ambivalence de l'amour. D'un certain coté c'est une source d'évasion et cela permet au poète d’échapper au spleen. Mais les sentiments amoureux l'écartent des sentiments spirituels par l'approche physique. Baudelaire parle aussi de l'amour comme péché car la femme aimé éveille en lui cette hantise. Il éprouve donc des remords. L'amour est aussi souffrance car pour lui dans un couple un des deux aime toujours plus que l'autre il y a donc toujours