La Laideur Physique

ou des films et existent depuis des siècles. II. Les monstres d’aujourd’hui : des temps modernes Je pense qu’il existe une figure moderne du monstre car maintenant les humains ayant une mal formation ou n’étaient pas égale aux autres sur le physique est considéré comme monstre. Monstre est également employé pour définir une personne très méchante envers les autres. Les personnes étant hermaphrodites sont également considérées comme des monstres car ils ne sont pas nés de la même façon que

deviendra. Un REALISME BRUTAL : - La dechéance physique ; L'adj "vieille" ainsi que "bien" insiste sur l'age. v.1 le v.11 est bcp plus dur decheance accentuée puisque "vieille" est devalorisant, puis s'ajoute une posture presque animale "accroupie". Dans le premier quatrain ANTITHESE entre "vieille" et "belle", qui montre que la beauté et la jeunesse sont revolues. Implicitement vieillesse = laideur. - Une athmosphere morne ; Tableau d'une veillée

I] La description physique de Alexandra Karlouna. - Les champs lexicaux amènent tous les éléments descriptifs de son physique. -Une apparence pas très prisée par la jeune fille mais qui est oubliée par sa joie de vivre apportée.II] Un moment de la journée primordial pour Natacha -Deux personnes réunies qui partagent leurs journées par les émotions, la parole autour d’un goûter-Le sujet de l’apprentissage et des connaissances est exprimé par la parole et les.Nathalie Sarraute

indiquent l'avarice . - La démarche : lourde, " elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées", avec une assonance en "a" et une allitération avec le son " s" qui mettent en valeur l'expression : cela indique le manque de volonté, la lourdeur physique et morale . - Elle est diminuée, rapetissée : répétition de petit '" petites mains " petite femme" , diminutifs à valeur dépréssiative : " vieillotte", "grassouillette" . - Une expression du visage qui annonce ses défauts moraux : comparaison

1914 à laquelle il participe. Après la guerre, Il a réalisé deux tableaux montrant les conséquences physiques de la Grande guerre sur les anciens combattants. Les Joueurs de skat (1920), et Rue Prague (1920). Au début des années 1920, les états et les soldats survivant n’ont pas peur de montrer la dévastation physique laissé par la guerre, à la fois par fierté et par devoir de mémoire. La laideur, jusque là cachée par la censure, a été récupérée par les discours officiels et les associations d’anciens

soi L’ouverture du sonnet sur l'hémistiche "je n'ai plus que les os" marque une profonde déperdition de soi. Reprise insistante du préfixe dé qui montre la privation, ainsi que l'obsession du poète sur cette impression. Pas d'évocation de douleur physique → pudeur de Ronsard C- L'anticipation spectaculaire de sa propre mort Deux occurrences de la mort + champs lexical de la mort + périphrase désignant l'enfer ("où tout se désassemble")  Chiasme → mort dramatisée Ronsard se décrit comme déjà mort Ronsard

Francis Ponge et paru en 1942. Dans ce recueil, Ponge décrit des «objets», des «choses» du quotidien, choisis pour leur banalité. Ce recueil a pour but de décrire, d’analyser des objets de la manière la plus précise possible en exprimant les qualités physiques du mot.Autrement dit, il veut montrer la beauté des objets banals. Francis Ponge est un écrivain poète français, il est

qui nous est laissé par les historiens le décrit1,2 « petit », « les jambes courtes » et « noueuses », « les épaules démesurément larges », « les bras longs », « une grosse tête ronde et ingrate », « la peau noire comme celle d'un sanglier ». Sa laideur (une chronique contemporaine dit de lui qu'il fut « l'enfant le plus laid qu'il y eût de Rennes à Dinan ») et sa brutalité lui valent l'opprobre paternel. Bien que l'aîné d'une fratrie de six enfants, sa mère donne la préférence à ses deux frères

mise en valeur, et pas la femme ! C’est elle qui est l’objet d’un blason. – Amour idéalisé est donc mis en question, mais l’amour charnel n’est pas nécessairement valorisé pour autant : regardé avec fascination et répulsion ; menace de l’amour physique, associé à la charogne. Comparaison très étonnante : « comme une femme lubrique », qui associe l’amour charnel à la décomposition ! Elle est décrite « sur un lit », « jambes en l’air », « le ventre »

donc la même que celle véhiculée par les magazines. La femme se compare donc à des modèles faussées, et cherche à les atteindre à tout prix, quitte a mettre un budget énorme pour y arriver, et risquer des problèmes de santé, physiques et psychologiques (voir II). Ces médias sont souvent à l’origine d’une mauvaise estime de soi, et d’une mauvaise alimentation. Les femmes ne sont pas les seules concernés par ce complexe : les adolescentes, et même les filles sont touchées : 35%