La Liberté Ddhc

prévention (punition en spectacle). Après la révolution, la privation de liberté devient une peine (et non plus une mesure de sûreté comme sous l’AR) suite à l’influence des idées des Lumières. On ne va plus uniquement rechercher la punition, on va chercher à réinsérer le délinquant. Aujourd’hui on constate le développement avec le nouveau code pénal des peines restrictives de libertés et non plus uniquement des peines privatives de liberté. Un mouvement doctrinal estime qu’une « petite peine » d’emprisonnement

décision « Liberté d’association » portant sur la loi du 1er juillet 1901 va être reconnue comme l’une des plus importantes du Conseil Constitutionnel car elle va bouleverser le rôle du Conseil et la Constitution elle-même, ou plutôt le Bloc Constitutionnel. Cette décision vient du fait que le gouvernement veuille un contrôle préventif de la constitution des associations en particulier celle de Simone de Beauvoir « Les amis de La Cause du peuple » car maoïste, or cela limite la liberté d’association

démocratique et la théorie libérale et c’est un compromis entre les deux théories qui va aboutir à la démocratie libérale. Chapitre 1: l’opposition initiale entre théorie démocratique et théorie libérale La théorie libérale c’est la primauté de la liberté, la théorie démocratique c’est la primauté de l’égalité. On oppose parfois la théorie libérale à la théorie jacobine en Page 1 sur 9 France. Et on oppose aussi la démocratie libérale à la démocratie de type soviétique. Il faut d’abord analyser

L’évolution de la conception des droits et libertés à travers les préambules des constitutions révolutionnaires : Citations : « Citoyens, vouliez-vous une révolution sans révolution ? » Maximilien de Robespierre. « Prenons-y garde, nous aurons peut-être un jour à nous reprocher un peu trop d’indulgence pour les philosophes et pour leurs opinions… La philosophie trop audacieuse du siècle a une arrière-pensée… » Louis XVI. « Sire, si l’on voit où les bonnes têtes ont mené la France, il ne

constitutionnelle du préambule de la constitution de 1958, lequel renvoie au préambule de la Constitution de 1946 et à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, le Conseil constitutionnel s’est érigé en protecteur des droits et libertés des citoyens et en garant de l’Etat de droit. Attaché à cette mission, il n’a eu de cesse d’étendre le contenu du bloc de constitutionnalitéBloc de constitutionnalitéEnsemble des principes et dispositions que doivent respecter les lois. Il comprend

Introduction : « Le principe de toutes souverainetés résident essentiellement dans la Nation […] nul corps, nul individu, ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément », Article 3 de la DDHC. Tous pouvoirs découlent de la souveraineté de la Nation, cad du peuple. Donc s’il y a des gouvernants c’est parce que le peuple le veut bien. L’auteur de ce projet est Lafayette (1757 – 1834). Après avoir servi l’armée française de 1771 à 1776, il obtient le grade de capitaine et part en Amérique

DROITS DE L’ HOMME ET LIBERTES FONDAMENTALES COURS N°1 Les droits de l’homme (« droit humain », pour l’ONU) relèvent d’une démarche universaliste considérant que tous les hommes sot égaux en droits, au-delà de la nationalité, de l’appartenance ethnique, etc… Les libertés fondamentales sont respectées par et dans le droit positif des Etats, s’appliquent aux ressortissants d’un pays. Les Etats sont donc libres de réduire ces libertés (cf lutte actuelle contre le terrorisme). Depuis quelques années

d’un régime parlementaire rationalisé où l’autorité et la stabilité du gouvernement est assuré. 4) « L’autorité judiciaire doit demeurer indépendante pour être à même d’assurer le respect des libertés essentielles telles qu’elles sont définies par le préambule de la constitution de 1946 et par la DDHC à laquelle il se réfère. ». Le juge, l’autorité judiciaire dans la constitution de 1958 doit être indépendante du pouvoir politique : séparation entre les 3 fonctions de l’Etat. Pourtant, le juge

qu’elle est qui la rend, en quelque sorte, attirante. En effet, elle est la garante des droits et des libertés de chacun (I) ainsi que de l’organisation et du fonctionnement de l’Etat (II). I - Une Constitution pour la garantie des droits et des libertés de chacun La garantie des droits et des libertés est le premier objectif d’une Constitution. En effet, on verra qu’un rappel de ces droits et libertés est placé à la tête de chaque Constitution écrite (A), puis on verra que ce « rappel » a une véritable

Établissement de grands principes progressistes (DDHC) égalité civile promotion de la liberté individuelle, d'expression, professionnelle ( suppression des corporations) propriété privée ( parcelle) Remarque : Ces grandes principes de la DDHC posent un problème, universels et abstrait, ils ne peuvent pas être invoqués devant un juge. Mais en 1971 le Conseil Constitutionnel constitue un bloc de Constitutionnalité pour que la DDHC ait une portée normative. PORTALISMALEVILLETRONCHETBIGOT