La Liberté Est Elle Possible Sans Courage

== Pour la compréhension du sujet, vers le problème: La peur est toujours la prise de conscience d'une menace, d'un danger réel ou imaginé. Demandez-vous ce qui dans la liberté peut faire peur: Y a-t-il un danger d'exercer la liberté de penser? Doit-on oser" penser? Si la liberté c'est le rapport entre une action et moi, ne suis-je pas responsable totalement de ma décision: puis-je craindre cette responsabilité personnelle de devoir répondre des conséquences de mes actes. En pensant par soi-même

même temps. Je m'étais engagé dans l'armée de la libération en soldat volontaire et je meurs à deux doigts de la victoire et du but. Bonheur à ceux qui vont nous survivre et goûter la douceur de la liberté, de la paix de demain! Je suis sûr que le peuple français et tous les combattants de la liberté sauront honorer notre mémoire dignement. Au moment de mourir, je proclame que je n'ai aucune haine contre le peuple allemand et contre qui que ce soit. Chacun aura ce qu'il mérite comme châtiment et

La liberté constitue pour les hommes un rêve à atteindre, un rêve peut-être un peu idéalisé. D’un côté, les hommes considèrent la liberté comme la possibilité de faire ce que l’on veut, absolument tout, sans aucune contrainte. Il s’agit d’une vision idéalisée de la liberté, la vertu recherchée lors des révolutions et lors des combats des hommes contre les tyrans. L’homme occidental se pense aujourd’hui comme libre de toute contrainte extérieure au sein de sa démocratie, un gouvernement instauré pour

parole à peu près en ces termes : « Si je ne connaissais bien votre courage et votre attachement, c'est en vain que les circonstances actuelles seraient favorables ; nous aurions en vain devant nous de grandes espérances, et le pouvoir à portée de mains ; si je ne devais compter que sur la lâcheté et l'inconsistance, je ne lâcherais pas le certain pour l'incertain. Mais dans beaucoup d'occasions graves, j'ai éprouvé votre courage et votre fidélité, et c'est ce qui me donne le cœur de ne pas reculer

contre nature. Il ne s'agit ici, ni pour Kant, ni pour Rousseau, de légitimer l'esclavage, mais de réveiller les consciences de l'acceptation de l'inacceptable. La maxime des Lumières a donc pour but de permettre la reprise de soi par soi, en ayant le courage de penser par soi-même, c'est-à-dire de se servir de son propre entendement. Entendement = capacité de juger et distinguer vrai/faux, bien/mal, en se situant par rapport à eux. Or c'est l'entendement qui fonde la dignité humaine. C'est pourquoi, selon

carrière militaire suite au refus de l’oppression d’un peuple. Etant confronté à un dilemme cornélien, ce qui signifie que peut importe ses choix, Montserra sera perdant puisqu’il a le choix entre sacrifier 6 vies pour sauver un homme, porteur de liberté, ou bien sauvé les 6 otages mais livré Bolivar et par conséquent, tout un pays, Montserrat se trouve dans une situation où la grandeur ainsi que la noblesse de l’action héroïque semblent fortement compromises. Afin de se pencher sur cette réflexion

donc que la liberté ? Est-ce un pouvoir absolu de choisir qui s’oppose à tout déterminisme ? Tel est le problème auquel Merleau-Ponty répond dans cet extrait de saPhénoménologie de la perception. L’auteur décrit une liberté qui est certes choix mais qui s’insère dans le monde. Reste qu’on peut se demander si, en faisant de la liberté de l’homme un être au monde, on n’est pas conduit finalement à nier la possibilité de s’arracher au monde. N’est-ce pas alors nier sans le vouloir la liberté. Lignes

Anthologie : La poésie engagée L'engagement d'un écrivain suppose un choix public, l'élection d'une cause et sa défense dans un texte. Mais s'engager ne va pas sans une part de danger et de courage : celui qui s'engage contredit la règle, alimente un contre-pouvoir. La littérature engagée ne désigne qu'une étape de l'histoire littéraire du XXe siècle où écrivains et philosophes (Pablo Neruda, Louise Aragon, Victor Hugo et Paul Eluard) firent de leurs mots les porte-voix d'une lutte politique

relations intersubjectif (entre sujets humains). Dans certains cas, exceptionnel seulement, notre autonomie est requise ; qu’elles sont ces cas ? Ces circonstances ? Ces cas et ces circonstances ? Qu’elles sont les circonstances dans lesquelles la liberté de pensée (autonomie) est requise ? La réponse est apportée de manière indirecte dans l’expérience de Milgram, sous la forme d’une thèse d’Hanna Arendt et Henri Bergson. Dans une situation, dans laquelle une violence est faite à autrui sous une

de réjouissance. Elle est à la fois triste et inutile. Il est légitime de ne pas vouloir y penser, car dans la mort il n’y a rien à penser, rien à modifier. Et pourtant, les philosophes n’ont cessé de la penser. Car s’il n’y a pas d’intervention possible sur ce qu’elle est, elle est décisive sur sont oppose c’est à dire la vie. Si la mort est inchangeable, au moins peut-elle avoir pour effet de diriger notre conduite et notre pensée. Il est donc inutile d’y penser, mais par elle nous pouvons tout