La Liberté Est Innée

Sur le plan des idées philosophique, le principe des libertés est adopté. Par ailleurs, l’initiative individuelle est valorisée et le profit socialement accepté. La liberté éco accompagne la liberté politique. Une idée se repend celle que l’homme est capable d’en tout les domaines de se gouverner tout seul. En 1791, la liberté du travail est proclamée chacun est libre de choisir sa profession c’est donc la fin des corporations. La liberté de déplacement est également assurée, elle concerne d’ailleurs

naturelles et sur lesquelles l'organisation de la cité devrait être fondée. Or, l'existence de telles inégalité est loin d'être établie puisque précisément, si elle existait, la question de la hiérarchie au sein de la société trouverait une solution innée et incontestable. C'est justement pcq il n'en est rien que la question du pouvoir (qui doit l'exercer, selon quelles modalités et à quelles fins) se pose aux sociétés humaines et à elles seules. Comme l'avait fait remarquer Aristote, il y a d'autres

sa pensée. Mais Boèce pas réellement hésitant : science la plus haute n'est pas celle de l'intelligible, objet de la raison, mais celle de « l'intellictible », objet de la pensée pure. L'intellectible par excellence = Dieu. On en a une connaissance innée, selon laquelle il est le Souverain Bien, il n'y a rien de meilleur. Etant parfait, Dieu est le Bien et la béatitude. Hommes ne peuvent être heureux qu'en participant à lui. Dieu absolument un. Il échappe à toutes les catégories. Tout ce qu'on peut

spirituelles. Un exemple fameux de nouvelle croyance, est l’église de Scientologie fondée par L. Ron Hubbard. Au XXIe siècle, elle connaît un afflux énorme de nouveaux membres. Hubbard nous dit : « La Scientologie propose un chemin vers une plus grande liberté ». Hubbard avant de créer cette secte était un auteur très renommé de romans fantastiques. Il a bien compris le lien profond entre la nécessité des hommes à croire en quelque chose et leur attirance pour le mystérieux. Le lecteur essaye par

peut pas nier que la culture est le propre de l'homme et qu'elle est ce qui fait sa différence spécifique par rapport aux autres êtres vivants. Mais, si la culture est le propre de l'homme, elle ne semble pas naturelle dans le sens où elle est innée et spontanée. Elle est certes un ajout qui vient en second mais elle n'est pas ajout naturel, elle est le fruit d'une longue acquisition à réitérer en chaque individu. En effet, le sens du mot culture est solidaire de l'idée de transmission et

sa nourriture par la cuisson grâce au feu, premier outil et symbole de la technique, et fait du simple fait de manger pour subvenir à ses besoins tout un art (celui de cuisiner). De même, si l'homme possède le logos, faculté de parler, de manière innée, le fait de parler st néanmoins culturel, technique, puisqu'il utilise le langage dans une certaine langue. La diversité des langues témoignent d'ailleurs de leur aspect culturel. On naît avec la faculté de parler mais on apprend néanmoins à parler

objet d'étude, que penser des hommes qui la composent ? C'est là où nous touchons à une contradiction dans le terme " d'individu " : D'une part, l'individu, c'est l'individuel : c'est la marque de la personnalité, de la singularité ; et donc, de la liberté. D'autre part, l'individu, c'est aussi " l'indivis " (en latin) ce que l'on ne peut plus diviser, la plus petite partie d'un tout, comprenez par-là l'unité. Dit autrement, si la société devient objet d'étude, l'individu en devient son unité. Pour

l'homme comme un animal parmi d'autres mais l'homme est menacé en raison de sa faiblesse, sa fragilité qui a forcé l'homme a développé de façon conjointe la conscience et le langage. Pour cette raison, la conscience serait un phénomène collectif, ni innée, in individuelle. III) La conscience comme faculté d'adaptation La grande partie de nos actes se font de l'habitude et l'homme n'a pas conscience de ses actes. La prise de conscience est possible si on nous attire l'attention en faisant un geste

se libérer des contraintes naturelles que lui impose son milieu, « le travail est de prime abord un acte qui se passe entre l’homme et la nature » (Marx). Le travail permet donc à l’homme de déjouer les lois de la nature, de le rendre libre. Cette liberté c’est ce que l’homme gagne en travaillant lorsque son travail n’est pas aliénant. Ainsi le travail permet à l’homme de subvenir a ses besoins premiers, c’est l’aspect poïesis du travail, or les animaux subsiste sans pour autant que cela engendre

but recherché. Il n’est pas ici seulement question d’affirmer que l’action aura des effets secondaires imprévus et néfastes mais qu’elle aboutira à l’inverse du résultat escompté. Thèse née avec Burke qui prévoit en quelque sorte que le slogan « liberté, égalité, fraternité » de la révolution aboutira en fait au Comité de Salut Public et à Bonaparte… Burke tire l’esprit de cet argument de la notion de main invisible de Smith. L’effet pervers des actions sociales est induit dans le modèle du marché