La Liberté Exige T Elle Une éducation

créées par les Hommes ont été instituées dans le but de parer à une éventuelle Anarchie. Elles régissent la vie des hommes et dictent les règles de conduite qu’ils doivent adopter. Si ces lois n’existaient pas, chacun serait trop libre. Trop de liberté obligerait à faire n’importe quoi, ne plus avoir de respect pour aucun autre être humain que ce soit, régler ses (différents) différends par la violence, ou pire, par la mort, voler, etc.… Quelques exemples pour illustrer que chacun pourrait assouvir

POUR 2020 Une Éducation Commune, Publique et de Proximité reflétant nos moeurs et coutumes, notre culture, et dont le produit aura une réputation internationale 1. Une éducation commune – un seul curriculum avec deux examens annuels identiques (Janvier et Juin) préparés par la secrétairerie régionale de l‟Éducation et des tests d‟éclair périodique ou bimensuel donnés par l‟enseignant; 2. Une éducation publique – un État qui investit massivement dans l‟éducation de tous les enfants du pays; 3

2) La conscience, une puissance à laquelle on ne peut échapper Cette puissance n’est pas « forgée arbitrairement » autrement dit elle n’est pas plus un produit de l’éducation qu’un résidu de l’habitude. Elle n’a pas été forgée, produite par une éducation sévère qui aurait imprimé en nous ses chaines, un rapport au monde dont on ne pourrait se dessaisir. C’est la raison pour laquelle la conscience morale ne peut-être ramenée au Surmoi freudien. La conscience n’a par ailleurs rien à voir avec un conditionnement

On ne peut pas imaginer aujourd’hui qu’on ne trouve pas un responsable. Le droit apparait comme élément pacificateur. Il permet de sanctionner le responsable. Le fait que le droit soit indispensable montre bien ce besoin actuel de sécurité. On exige aujourd’hui une réponse quand on parle de responsabilité. Le droit est là pour pacifier nos relations. (Droit privé entre les personnes) Ce dvpt juridique a vu le jour dans les pays anglo-saxons où tout est l’occasion de lancer des procès = JURIDISATION

EMILE 1762 Volonté de Rousseau de suivre la marche de la nature Respecter la nature et la liberté de l’enfant « Je prie les lecteurs de vouloir bien mettre à part mon beau style » L’ouvrage est un recueil de formules et de Maximes « l’esprit de Rousseau » « maîtres zélés, soyez simples, discrets, retenus » Les paradoxes de Rousseau : hommes, soyez humains », « la domination même est servile », « laisser mûrir l’enfance dans les enfants »,«maitres, laissez les simagrées, soyez vertueux et

le correcteur n’a que faire de ce que vous pensez ! pas de « BLABLA » (phrase perso qui meuble la copie et qui ne fait rien avancer du tout et qui ne présente aucune connaissance) Introduction Accroche : un chiffre, un fait, une citation « Liberté, égalité, fraternité » telle est la devise de la République Française. Cette devise figure en toutes lettres dans la Constitution de 1958 et sur les frontons de nos mairies. Définition : L’Etat représente la Nation, le pays, mais également la personne

punitions des responsables de la guerre. De même, Gargantua ne croit pas en la force mais en la raison. En décidant de faire élever le fils de Pricochole par les sages du royaume, il répand alors ses principes humanistes, comme l'éducation et la liberté, dont nous retrouvons le champ lexical ("libres et indépendants" (l.4)). Dès le début, il montre sa conviction à l'idée de donner une deuxième chance aux prisonniers pour qu'ils refassent leur vie au lieu de les humilier malgré les nombreux crimes

argument. Il y a certes des mœurs transmises par la coutume, il y a des lois qui sanctionnent l'injustice ; mais il y a surtout dans la raison de chaque homme une voix qui lui dicte de traiter autrui comme il voudrait qu'on le traite, c'est-à-dire qui exige en lui (pour parler comme Kant) l'universalité de sa maxime (il faut que ce que je veux puisse être voulu par tous). Cependant mœurs, lois et « arguments subtils » de la raison ne sont devenus nécessaires que parce que la vie dans des sociétés elles-mêmes

des êtres à éduquer. Quant aux fins de cette entreprise éducative deux doctrines s'opposent. D'une part les culturalistes ou les empiristes qui prônent une éducation calquée sur les valeurs attendues par la société malgré le risque de nier totalement la personnalité de chacun ; d'autre part, les naturalistes qui sont partisans d'une éducation à l'écoute de la nature propre de chacun et cela en dépit des risques de marginalisation et de rejet que subirait l'enfant privé de vie sociale. A la suite

visage de l’humain que caricature au contraire le visage de l’inculte, du barbare ou du sauvage. Et la moralité est, la réalisation de son devoir. Le devoir est tout d’abord une obligation morale valant absolument et sans condition, susceptible d'être exigé de tout être raisonnable, et ensuite le devoir, est une obligation sociale, liées à une charge, une profession ou un statut, qui n'ont qu'une valeur conditionnelle et ne peuvent prétendre à l'universalité. Si être cultiver est une devoir, alors l’homme