La Liberté Rend Elle Heureux

relatifs (Aristote 4ème s.) Tous les hommes recherches le bonheur. Or, comment expliquer que si peut d'homme soit heureux ? → Pourquoi ? Parce qu'on se trompe sur l'objet du bonheur, sur ce qu'il faut pour être heureux. Le bonheur est une fin finale. (= le but ultime). Et pour parvenir à cette fin, il y a des moyens. (moyen = fin relative). Sans quoi je ne peux pas être heureux (= les moyens de parvenir au bonheur) : Honneur (reconnaissance d'autrui) Plaisir Savoir / la connaissance

explique cette thèse dans la phrase qui suit. « Nous anticipons l’avenir », l’homme est en perpétuelle attente d’un temps à venir, il s’invente et prévoit un temps qu’il espère voir arriver plus vite qu’il n’arrive en réalité. Mais lorsque l’homme se rend compte que l’avenir est trop long à arriver, alors il se languit du temps passé et se rappelle ce temps terminé, sur lequel il ne peut rien, « nous rappelons le passé ». Ensuite, Pascal tente de sensibiliser le lecteur, pour expliquer les raisons

prince) : * «le prince doit pouvoir être un lion très féroce et un renard très rusé » * « la politique est donc l’art d’utiliser le mal universel pour faire régner l’ordre » * Hobbes : * état de droit : + de sécurité - de liberté (homme doit contrôler ses passions) * Hannah Arendt : * « banalité du mal » (homme sans conscience commet le mal) * « Se seraient-ils sentis coupables s’ils avaient gagné ? » * Hélène Bouchilloux : * « l’homme qui commet

est ce bien ? S'agit-il de l'agréable ? Du bien moral ? Toutes ces remarques nous poussent vers une question fondamentale : le bonheur est-il la fin la plus haute que l'homme puisse se proposer, ou bien en est-il d'autres (comme la justice ou la liberté, par exemple), qui la surpassent en valeur et en dignité ? Dit autrement, le bonheur est-il le bien suprême ? Le souverain bien : La philosophie antique fait du bonheur le Souverain Bien, c'est-à-dire la fin suprême à laquelle toutes les autres sont

29 LE BONHEUR 1 L•ES•S La quête du bonheur Tout le monde veut être heureux • Il est difficile de concevoir un individu recherchant, non le bonheur, mais son propre malheur. L’accès au bonheur paraît être un désir universel, mais après ce constat, c’est la définition même du bonheur qui fait immédiatement problème. • Étymologiquement, bonheur désigne ce qui échoit à un sujet, mais par hasard, en fonction d’une « chance » : l’individu le recevrait alors passivement. Si cette chance est « bonne

artistique et religieux.) Recherche documentaire sur notre époque : (Cibles ? Attaques ? Valeurs défendues ?) XVIII°siècle Cibles : Les philosophes ont plusieurs idéaux et des valeurs telles que : le bonheur, la justice, la liberté (anti-esclavage), l’égalité et la fraternité, la tolérance, la séparation des pouvoirs, les droits de l’Homme, la dignité, la confiance dans la raison humaine, l’optimisme et le progrès scientifique. Critiques :

Dissertation de Philosophie pour le 29/09/2014 : « Faut-il supprimer ses désirs pour être heureux ? » Introduction Il est dans la nature humaine de désirer. En effet, l'Homme est en quête constante du bonheur. A priori, le bonheur est une notion inventée par l'Homme dont la conception diverge selon chacun. Si l'on devait établir une définition qui tend à l'universalité, on pourrait définir le bonheur comme un état stable, qui est présent dans la durée, du bien-être, de la satisfaction

rendent incroyablement heureux. Il est des journées faites de petits riens, des journées dont on se souvient longtemps, sans que l'on puisse vraiment savoir pourquoi. Je ne vais pas te dire que je ne peux pas vivre sans toi. Je peux vivre sans toi, c'est juste que je n'en ai aucune envie. Dès notre plus jeune âge, on cherche à être le plus fort. Dans notre enfance, on nous a appris que les forces du Bien l'emportaient sur les forces du Mal. Mais en vieillissant, on se rend compte, que ce n'est

que pratiquent ces derniers. Enfin, Diderot fait un éloge de la société tahitienne. Pour cela, l'auteur montre qu'il s'agit d'un peuple simple et heureux qui vit dans la solidarité et la recherche du repos. En effet, Diderot défend une société s'appuyant sur l'innocence et entraînant un bonheur : " nous sommes innocents, nous sommes heureux " (l.16). Ceci est rattaché à la notion de nature très présente dans le texte : " nous suivons le pur instinct de la nature ". La sagesse aide au bonheur

qui le rend heureux. Contre toute attente, la vengeance de Mme de La Pommeraye a finalement échoué, elle n’a pas éternisé le tourment du marquis comme elle le souhaitait ; et semble même l’avoir guéri de son