La Liberté Rend Elle Heureux

disparus, il nous est possible d’observer qu’un contraste entre les valeurs véhiculées dans une école publique et privée est différent. La valeur qui prône dans une école privée est l’autonomie alors que celle qui prône dans une école publique est la liberté, ce qui nous amène à nous interroger sur l’éducation. Qu’est-ce que l’éducation? Question 2 (6 points) Le film contient divers éléments qui peuvent être reliés aux arts de vivre que sont le cynisme et l’épicurisme. Identifiez et expliquez au moins

| | | |Les Hasards heureux de l’escarpolette. | |Huile sur toile, 1767-1768, 81x 64 cm, Wallace Collection, Londres.

l’éducation. 6 b) La fonction de l’éducation. 7 Conclusion 7 Jean-Jacques Rousseau 8 Introduction : 8 « Émile ou l’Éducation » 9 I. Une éducation naturelle 9 a) Les progrès naturels 9 b) Importance du temps présent et de la liberté : 10 II. Mais l’homme joue un rôle dans son éducation 11 a) Nature et désirs 11 b) L’entourage : 11 Conclusion : 12 Émile Durkheim Introduction « L’éducation et sociologie » est extrait de l’oeuvre de E. Durkheim, sociologue

de notre bonheur semble exiger une certaine volonté, persévérance et un certain art de vivre. Le bonheur est-il relatif à nos désirs ? Y a-t-il plusieurs chemins vers le bonheur ? Peut-on être heureux sans le savoir ? Est-il plus facile d’obtenir un bonheur matériel ? Peut-on préférer la justice, la liberté, ou la vérité au bonheur ? Le bonheur peut-il être vu comme un droit ou comme un devoir ? I. Un bonheur difficile à définir et à saisir a) Qu’est-ce que le bonheur ? Si la joie est momentanée

philosophie de Karl Marx, nous verrons si le travail permet à l’homme d’être libre ou non. Nous verrons la différence entre la liberté réelle et la liberté formelle. Si je m’attarde aux idées de Marx, le travail est une source d’aliénation, donc ne donne pas pleine liberté à l’homme. Tant qu’a moi, je suis d’accord avec Marx qui ne pense pas que le travail est une source de liberté réelle. Karl Marx à pratiquement traversé le XIXe siècle, une période fertile en bouleversements économiques et politiques

nous (« la vie, la santé, la jeunesse, la liberté ») pour nous rendre compte, a posteriori, que nous les possédions. Par exemple, il faut tomber malade pour s'apercevoir que nous étions en bonne santé, ou, plus précisément, pour comprendre la valeur de la santé, cet état que nous sentions à peine puisqu'il était vécu jusque là comme « normal ». De la même façon, souvent, il faut tomber dans le malheur pour s'apercevoir qu'avant ce malheur nous étions heureux : car, là encore, nous vivions cet état

mystère de l’univers. Ainsi nous pouvons citer des hommes qui ont pu dompter la nature grâce à leur connaissances tels que Gregory Pincus, inventeur de la pilule en 1956 et grâce à qui, les conditions des femmes ont été améliorées, les menant à une liberté égale à celle des hommes. Puis, plus connu, des hommes qui nous ont permis de savoir que nous n’étions pas le centre du monde et que c’était la Terre qui tournait autour du soleil et non l’inverse, tel que Copernic. La vérité a toujours existé

Le bonheur est-il inaccessible pour l'homme ? Le bonheur est une notion fondamentale liant plusieurs qualités essentielles telles la vertu, la morale et la liberté. C'est aussi tout ce à quoi tend l'homme. Il a besoin d'être en continuel mouvement et d'accéder à des désirs alors que le bonheur n'est accessible qu'à long terme, en travaillant sur son moi et son surmoi. Un paradoxe réside alors entre l'idée d'immobilité et de durabilité et celle du mouvement. Ainsi, la recherche du bonheur influence

sa femme un microcosme, en lui attribuant une ou plusieurs images mélioratives. Breton lui rend de la sorte un hommage des plus élogieux. Nous remarquons que Charles Baudelaire élabore aussi de nombreuse synesthésie en parlant de sa maîtresse Jeanne. En effet, les yeux fermés mais les sens en alertes, il s’imagine de magnifiques paysages exotiques ou tout est « chaleureux, savoureux, vigoureux et heureux » à partir du parfum de son amante. D’ou le titre « parfum exotique ». À ces beaux panoramas

au bonheur, commune à tous, ne saurait être entièrement confondue avec la recherche du plaisir immédiat : le bonheur désigne en effet un état complet et durable, dans lequel est également visée l’harmonie avec autrui. On ne saurait être pleinement heureux en désaccord avec les autres comme avec sa propre conscience. D’où le problème : la recherche du bonheur est-elle nécessairement immorale, ou peut-on la rendre conciliable avec les exigences de la moralité ? 1. Les titres en gras servent à guider