La Liberté Selon Freud

L’art……………..59 La religion……..65 L’histoire……..74 La vérité………….82 La démonstration…89. L’interprétation…..93 Le vivant…………98 Matière et Esprit…104. Théorie et expérience..109 La société et l’Etat…..115 La justice et le droit….124 La liberté…………132 Le devoir………..139 Le bonheur………145 Programme de Philosophie 2005/2006 SERIES GENERALES L-ES-S Le sujet  -La conscience, L’inconscient, Le désir ( S/ES/L) Autrui (ES/ L) Le temps et l’existence (L)

(expression de nos désirs inconscients) à la névrose en passant par le lapsus ou l'acte manqué (oubli, etc.). Cet inconscient, Freud l'appelle le ça. C'est un inconscient dynamique car il est actif. Il s'oppose au surmoi, qui représente les interdits sociaux (le père intériorisé, en quelque sorte) et au moi, qui fait l'intermédiaire entre les deux. Plus précisément, selon Freud nous refoulons nos désirs d'enfants. Par exemple tout garçon désire un jour tuer son père et épouser sa mère. C'est le triangle

LE MALAISE DANS LA CULTURE de Freud     « LE BONHEUR EST­IL COMPATIBLE AVEC LA CULTURE? »      Freud écrit Le Malaise dans la culture en 1930, moment de grande souffrance et de crise  économique. Freud, adoptant une vision assez pessimiste de la condition humaine, propose  une analyse psychique des comportements humains face à la culture. Cet ouvrage se  structure en huit parties où Freud est amené à développer les conséquences sur le  comportements individuel de la relation d'antithèse entre pulsion de vie (_Eros_) et pulsion de 

différence entre lui et les autres espèces, notamment au niveau de la relation qu’ils entretiennent avec la nature ? A) UN ÊTRE VIVANT COMME LES AUTRES Introduction à la psychanalyse, Freud • Humiliation cosmologique (Copernic + Galilée) ; humiliation biologique (Darwin) ; humiliation psychologique (Freud) • Une hiérarchie pratique* (au niveau de l’action) : on les mange, les utilise comme moyen de transport, moyen de divertissement, moyen de se faire de l’argent, pour travailler à notre

s'être vaincu soi-même », cela signifirait que l’homme n’est pas une seule et unique personne, peut on ne pas être soi même ? Etre voudrait dire exister, mais que signifie soi ? Au sens scolastique cela caractérise la substance existant en elle-même, selon Kant cela désigne le noumène, alors que Sartre un être qui est ce qu’il est dépourvu de conscience. Est il vraiment possible qu’un être humain ne soit pas lui-même, donc par la même occasion est il possible qu’un homme ne soit plus un homme ? L’homme

l'expérience de la culpabilité, de se représenter un de ses propres actes comme ayant transgressé un devoir, une loi, les règles d'un art, des usages. Pour passer de la faute objective à la culpabilité subjective, il faut que celle-là soit intériorisée, selon un processus dans lequel Jean Nabert a vu « l'un des phénomènes les plus mystérieux de la vie morale » et qui est « la surprise de la conscience, après l'action, non seulement de ne plus être pour soi ce qu'elle était avant l'action, mais de ne plus

une telle approche ne tend pas à laisser de côté également le fait que nous sommes aussi des corps et que nous ne nous définissons peut-être pas seulement par cette dimension du moi. Vous pouvez d'ailleurs montrer, en vous reportant aux analyses de Freud, qu'en fonction du sens que nous accordons au terme "moi", la réponse évolue. Ainsi, si le moi est cette partie du psychisme qui est en rapport avec la réalité et qui est synonyme d'attention, la vie psychique d'un individu ne se réduit pas au moi

lui-même. C'est ce que Freud appelle « refoulement », une mise à l’écart de pulsions ou de souvenirs honteux ou dérangeants, et dont le siège serait l'inconscient. Par conséquent, s'il n'est pas l'effet d'une intention, c’est-à-dire un acte délibéré, s'il ne résulte pas d'une volonté consciente de tromper, ce qui est le cas de tout mensonge, l'acte par lequel nous refoulons sans le savoir certaines de nos pensées, ne peut être qualifié de « mensonge à soi ». Selon Freud, le psychisme humain

ne fait que refouler son instinct de liberté. Il se délecte dans sa culpabilité et se fait souffrir en espérant y trouver son salut. La volonté se tourne ici contre la vie. Lecture des textes de Nietzsche dans le manuel. Si avec la philosophie de Nietzsche, nous assistons à une destruction du sujet et de sa toute puissance, peut-on aller jusqu'à dire que l'homme ignore tout de ce qui se déroule en lui, dans sa vie psychique ? A la suite de Nietzsche, Freud sera considéré comme le deuxième maître

républicain, c’est-à-dire sur une solidarité nationale garantie par l’Etat qui permet de mutualiser les risques en intervenant à tous les niveaux de l’organisation politique. Le système constitutionnel américain est donc basé sur la protection des libertés publiques mais il fait surtout de l’individu le pivot central de la société. Aux Etats-Unis, l’individu est une institution sacrée contrairement à la France où c’est l’Etat qui est une institution sacrée. Mais pour comprendre la logique politique