La Liberté Selon Nietzsche

"génie" en ce qui concerne la création artistique. Alors que Kant affirme qu' "à travers le génie la nature prescrit ses règles à l'art", Nietzsche, lui, considère l'inverse et dénonce l'usage abusif du terme. Mais qu'est-ce que le génie? Un souffle divin qui saisit l'artiste, ou le fruit du travail humain? Dans l'extrait du texte Humain trop humain (1878), Nietzsche (philosophe allemand) s'attarde sur la question de l'art et aborde plus précisément sa propre définition du "génie". La thèse conteste

Schleiermacher pose qu’il y a en l’homme une dimension religieuse spécifique. Chaque religion n’est qu’une manifestation singulière du rapport universel à Dieu, celui-ci se concrétisant donc historiquement. 5) Religion statique et religion dynamique : Selon Bergson, la religion statique est celle qui a une fonction sociale de préservation de la société à l’égard de l’égoïsme, des intérêts individuels. Elle est constituée d’interdits et de tabous. Elle s’oppose à la religion dynamique fondée sur l’amour

Introduction 2 I. Processus de socialisation par transmission des valeurs 3 A. La socialisation 3 B. Les différents agents de socialisation 5 II. Pourquoi et comment adopte-t-on certaines valeurs ? 7 A. La théorie des valeurs universelles selon Schwartz 7 B. Influence des instances et de notre entourage 9 C. Influence des groupes d’appartenance 11 III. Disparition des valeurs 12 A. Anomie et « désintégration » 12 B. Montée certaine de l’individualisme 13 Conclusion 15 Bibliographie/Webographie

l’abandon du naturel, des instincts pour acquérir le social. En quoi être sérieux ou faire les choses au sérieux est mauvais pour l’homme ? Etre sérieux n’implique pas obéir à une contrainte, à la morale et ainsi renoncer à notre liberté ? Ainsi le fait de ne pas désirer ne nous rend-il pas malheureux ? Se prendre au sérieux n’est-il pas pire ? Au sens religieux du terme, être sérieux signifie obéir à la morale religieuse et donc guider toutes nos actions en fonction de

l’inconscient et le sujet I. LE SUJET DANS L’EXPERIENCE VECU, CELUI QUI EST CONSCIENT Le Sujet : subjectivité libre, foyer d’initiative, auteur et responsable de ces actes. Au sens juridique : il est soumis a des règles et des lois qui garantissent sa liberté politique, il a aussi des droits et des devoir : c’est un citoyen. Comme le voit Rousseau « les associées […] prennent collectivement le nom de peuple et s’appelle en particulier citoyen, comme le participant à l’autorité souveraine et sujets, comme

droit. Mais, en second lieu, il sera nécessaire de montrer qu'en fait, la croyance et la connaissance scientifique sont étroitement liée car elles fonctionnent ensemble. Cela apportera alors dans une troisième partie le problème de la liberté de croyance, et de la liberté de l'individu lorsqu'il croit en une religion. I- La connaissance scientifique, soit un principe rationnelle et explicatif : contraire à la croyance. 1)Connaissance scientifique et croyance, deux termes opposés. Savoir VS croire

ANALYSE PHILOSOPHIQUE DE LA NOTION DE LIBERTÉ Séance du 17/10/06 : LA LIBERTE EXTERIEURE Qu’est-ce que la liberté ? Cette question – question philosophique par excellence – semble néanmoins mal posée car la liberté se dit en de multiples sens dont certains paraissent incompatibles. Comment concilier la spontanéité et la maîtrise de soi ? L’autonomie et l’absence de contraintes ? Comment interpréter cette multiplicité des définitions ? La liberté est-elle indéfinissable ? Partons de la définition

son instinct humain et celui de animal, car il désir être libre tout en profitant des avantages d’un homme ordinaire . Il refuse d’être une personne simple, ce qu’on pourrait relier au concept de «volonté de puissance » que propose le philosophe Nietzsche, c’est-à-dire que l’homme veut être le maximum de ce qu’il peut être dans toutes les sphères de sa vie . Il ne veut pas , par exemple , être un «mouton» qui suit la masse . Par contre, Harry a de la difficulté à trouver un équilibre dans sa vie puisqu’il

morale, soit des règles de conduites destinées à faire le bien d'autrui. La thèse présentée par l'auteur indique que l'homme doit diriger sa conduite non selon son désire mais selon le devoir de la loi morale. Dans le premier paragraphe, soit de la première ligne à la neuvième, Kant critique le fait que l'homme agisse selon son propre plaisir, selon la conception commune du devoir. Ensuite de la dixième ligne à la quinzième, il expose les conséquences de tels agissements, avant de présenter, à partir

personnel (ce qui est bon individuellement) ? Selon cet axe d’investigation, on s’orienterait vers une classification des modes de vie, par comparaison, dans l’immanence. À moins que « bien » ne soit à entendre prioritairement dans sa relation avec le substantif « Bien » ? autrement dit, « bien vivre », n’est-ce pas fondamentalement « vivre Notions et thèmes Le vivant Textes issus de la formation continue © Blaise Benoit, Académie de Nantes 2008 selon le Bien » ? On passerait donc de l’adverbe