La Libération Du Désir Peut Elle Constituer Un Idéal Moral

semble être optimiste par rapport au bonheur; selon lui l'homme peut se libérer de la souffrance due aux passions et vivre toujours plus de bonheur en comprenant sa vraie nature par l'usage de la raison. Etre heureux c'est ressentir la joie de vivre dans la force d'âme , avec courage et générosité, en réalisant ses désirs raisonnables dans un sentiment de liberté intérieure que les passions ne peuvent troubler. A l'extrême de la libération des passions par la connaissance de la vérité, qui est la compréhension

une demeure souterraine. Associations : un lieu qui peut évoquer le lieu originaire de l’espèce humaine (la grotte des hommes pré- historiques) ainsi que le lieu originaire de toute existence humaine (le ventre maternel, l’utérus, la matrice). Un lieu qui renvoie à l’idée d’isolement qui peut avoir une double valeur : de refuge qui protège d’un danger, ou d’une prison qui nous empêche d’être en contact avec un autre lieu. Cette valeur varie peut-être en fonction de l’adéquation aux besoins : être

l'égalité des droits civils et politiques; - dans le domaine de l'enseignement, les filles accèdent désormais à l'instruction primaire. Une minorité d'entre elles rejoint les bancs du lycée voire de l'université. Aussi, on peut se demander quel est le rôle de la guerre dans ce processus d'émancipation, déjà en marche à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle ? Christine Bard parle alors d'une "nationalisation des femmes". En effet, suite au départ

Le choix par un poète de terminer son sonnet par une structure close (rimes embrassées) correspond par exemple à la création d’une atmosphère de perfection, d’éternité (l’idéal chez Badelaire). Le choix d’une structure ouverte pour finir un poème peut exprimer également un côté berceur, ou mêmes des prolongements possible ; tout est affaire de contexte. 1ère Lecture Analytique : Du Bellay, Antiquités de Rome « Nouveau venu, qui chercher Rome… » (p. 247)

est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres comme Kant condamnent la recherche du bonheur (comme s'opposant à la morale) ou comme Nietzsche la critiquent comme une fuite devant le tragique de la réalité, lui préférant l'expérience de la joie. 1/ Point de vue convergent  (optimiste) : EPICURE (3eme s av jc) : Le bonheur est le "plaisir en repos" de l'âme (sérénité)

pris malgré lui. Difficile de parler d'humanisation, mais plutôt de perte de conscience, tant le travailleur semble réduit à un objet. Aussi, à la lumière de ces images, se poser la question de savoir si le travail permet de prendre conscience de soi peut paraître surprenante. La société de loisirs semble identifier réalisation de l'homme et réduction du temps de travail: l'être humain accompli pourrait être celui qui possède tout le temps pour penser à lui et prendre le temps de penser à sa condition

amplifiée. Le présentatif « c’est » répété à quatre reprises constitue aussi une anaphore en même temps qu’un procédé d’accumulation. Les présentatifs sont des mots ou des locutions qui permettent d’introduire et de mettre en relief (en évidence) l’élément important de la phrase, « voici » ou « voilà » sont également des présentatifs. La répétition de « c’est » rythme donc la strophe et met en avant les caractéristiques de ce qui constitue le but du voyage (« Là-bas »), en même temps le présentatif

dialectiques _________________________________ L’ambivalence fondamentale du travail et de la technique __________________________ La technique, c’est le feu : le mythe de Protagoras _______________________________ 1 2 2 3 I. Esclavage ou libération ? ________________________________ 4 A. Le travail est une contrainte pénible ___________________________ 4 L’origine du concept de travail_____________________________________________ Etymologie et sens ___________________________________________________

CHAPITRE II Quelle est la vérité du désir ? INTRODUCTION Selon une étymologie qui n’est pas vraiment certaine, le désir renverrait au latin desideratio, terme lui-même formé à partir de sidus désignant une constellation d’étoiles. A l’origine, le terme aurait renvoyé à la nostalgie qui étreint celui qui cesse de contempler la splendide voûte céleste, ou le regret attaché au caractère inaccessible des étoiles, et à leur incomparable beauté. Le désir serait donc bien proche de désastre

humaine et l'universalité. -Elle provoque une restriction portant sur le caractère de toute autorité, en d'autres termes : la libération de l'autorité religieuse ce qui va amener à une prise en main par l'humanité de son propre destin. C'est une critique de la soumission de la société ou d'individus à des préceptes. -Il y a aussi la diffusion du savoir, la libération des connaissances et donc l'épanouissement de la science : nombreuses découvertes avec Newton... -combat pour la liberté de conscience