La Ligne noire

(le fils du père Laurent » (ligne 9) / « le jeune homme » (ligne 23) / « un homme » (ligne 32)). Un adverbe semble définir son caractère : « paisiblement », ligne 16. Dans l’évocation enfantine de Camille, Zola fait de Laurent celui qui conduit les actions : « il venait me chercher le matin » (ligne 11).  Thérèse, la femme effacée de Camille, est le 4e personnage de cette scène, un personnage muet. On évoque « son air placide » (ligne 7), un « sourire forcé » (ligne 61). Mais c’est le seul personnage

image du remords I - Attitude paradoxale d'Oreste a) Oreste avant : Ligne 36-37 : "hier encore, je marchais au hasard sur la terre, ..." : Oreste était dans un état d'errance, il était perdu, sans aucun repères, "... et des milliers de chemins fuyaient sous mes pas" : aucun chemin n'était à lui. Il était dans un état de solitude : "Hier encore j'étais seul" (ligne 8). C'était l'obscurité : "Il ne fait pas nuit" (ligne 5), l'errance et la solitude pour Oreste. b) Oreste aujourd'hui : La lumière

traits-graffitis-inscriptions blancs à l’extrême-bord droit. Tous ces éléments sont contenus dans un rectangle fond bleu marine très sombre, complètement éteint, les mille-et-une nuits. Mais ce rectangle-fond ne recouvre pas toute la première partie, il reste une bande noire d’une quarantaine de centimètres de haut sur un mètre de large en bas (tout le bas de cette partie) et un peu de noir en haut à droite. S6007468La tête de mort, qui se trouve en haut à droite de la partie un, est une sorte de gribouillis dont la très

et certains tenteront d’utiliser notre héroïne pour servir les sombres desseins des démons qu’elle est destinée à combattre. En plus d’affronter ses ennemis, elle devra retrouver le second élu : un jeune garçon qui, comme elle, descend d’une longue lignée de guerriers. Amour, combats, pièges, trahisons, voilà ce qui attend Arielle Queen qui, aidée de son fidèle animalter et de ses nouveaux alliés, combattra les forces du mal pour notre salut… à tous. Nayr(alter de Ryan Thomson)[modifier | modifier

Psychiatre et militant de l’indépendance algérienne dans le FLN Frantz FANON (1952) PEAU NOIRE MASQUES BLANCS Un document produit en version numérique par Émilie Tremblay, bénévole, Doctorante en sociologie à l’Université de Montréal Courriel: emiliet82@yahoo.fr Page web dans Les Classiques des sciences sociales. Dans le cadre de: "Les classiques des sciences sociales" Une bibliothèque numérique fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site

Peau noire masques blancs Du même auteur L'An V de la révolution algérienne La Découverte, «Petite collection Maspero», 1959, 2001 Les Damnés de la terre La Découverte, « Petite collection Maspero », 1961 et « La Découverte poche. Essais », 2003 Pour la révolution africaine La Découverte, «Petite collection Maspero», 1964, 2001 Sociologie d'une révolution La Découverte, «Petite collection Maspero», 1968 Frantz Fanon Peau noire masques blancs Éditions du Seuil La première édition

Je vais vous présenter une oeuvre de Norman Rockwell intitulée << Le problème avec lequel nous vivons tous>>. Cette oeuvre est une photographie publiée en 1964 à l'époque ségrégationniste aux Etat-Unis, il représente Ruby la première petite fille noire ayant atteint une école normalement destinée aux blancs. Son auteur, Norman Rockwell, était un peintre hyperréaliste né le 3 février 1894 à New-York. Jeune, il représente des prédispositions pour le dessin et en 1910 il abandonne ses études pour rentrer

Ousmane SEMBENE: Les bouts de bois de Dieu (161) LIVRE CONTEMPORAIN, 1960, REEDITION PRESSE POCKET 1971 Au lendemain de la seconde guerre mondiale, lors de la construction de la ligne de chemin de fer reli ant Dakar au fleuve Niger, une grande grève a paralysé le chantier. L’écrivain et cinéaste sénégalais Ousmane Sembène s’est inspiré de ce fait historique pour écrire Les bouts de bois de Dieu, un roman publié en 1960 et qui peut être considéré comme son plus grand livre. Autour de leur leader

magnifique, de pauvre, de triste, d’étrange, de grand, d’ennuyeux.. » Edmondo de Amicis, Souvenirs de Londres 1880 ________________________________________________________________ I.Plongée dans une « ville tentaculaire » A. La Reine Noire des cités B. Berceau des révolutions industrielles C. Dans une explosion démographique II. A l’atmosphère étouffante A. Une population plongée dans la pauvreté B. A l’organisation fondée sur l’injustice C. Livrée aux ténèbres

hommes font pire que les animaux, l'homme est plus bestial que les animaux. a) Jugement non fondé et partial. 1er animal : Homme comparé à la tortue. Dès le début, infériorité de l'homme par rapport à tout les animaux. Opposition / Antithèse (Ligne 6) : - Pour l'homme, succession de termes péjoratifs. - Pour les animaux, termes contraire à ceux des hommes. Paradoxe : La sagesse est du côté des bêtes, les hommes sont dénaturés. b) Première partie : Les jugments sont acceptables