La Lison

en Japon. Le japon lui manquait beaucoup et elle déménageait au Japon.  Le visage d’Amélie n’est pas décri, ni son corps et on sait rien de sa vie personnelle. Amélie est le personnage principal, le livre est écrit au perspectif de Amélie et nous lisons ses pensées.  Son caractère est très fort parce-que même comme elle est opprimé par ses chefs, elle ne veut pas donner sa démission. Pour les japonais, donner le démission c’est le plus grave à faire, c’est aussi la plus grande humiliation. Amélie

Le patron ne sait s’il doit renvoyer Bartleby pour son refus d’obéir ou s’il doit tenter de le faire obéir d’une autre façon. Personnage insaisissable, Bartleby consacre pourtant toute son existence au travail comme nous le découvrons quand nous lisons qu’il vit en réalité dans les locaux où il travaille. Plus les refus se multiplient, plus le patron entre en colère et tente de se calmer. Bartleby est bel et bien une énigme à lui tout seul : comment faut-il alors réagir face à un tel fantôme ? Le

endormie ou morte. Nous comprenons alors que le phénomène toujours préalable de l’adresse du visage est indépendant de la volonté de la personne, laquelle ne veut rien me dire alors que son visage ne cesse de dire. Nous « lisons » un visage avant de le voir alors que nous ne lisons pas une table ou une chaise. Je ne vois quasiment jamais des « yeux », je capte un regard et celui-ci s’impose d’emblée à moi comme bienveillant, attentif, inquiétant, agressif, etc. Mais la teneur du message n’est justement

La vie au front et à l’arrière. DUDOUET 07/10/11 Lison 3°D ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- La 1ère Guerre Mondiale est

narratif de cette œuvre est chronologique car on a aucun retour en arrière ni ellipse donc par conséquent aucun moyen de bouleversé la chronologie du texte ce qui permet au lecteur de ne pas se perdre dans l’histoire. Non, en tant que lecteur qui lisons une pièce de théâtre on ne s’attend à voir mourir la jeune élève qui viens prendre une leçon. Pour la fin de ce texte ne résout pas tous les problèmes posé par l’intrigue car le professeur a une maladie qu’il n’a point put guérir. III. Conclusion

dans le chapitre 10 , mais alimentée par une jalousie croissante depuis le 7e chapitre , la vengeance de Flore ,la fille de Phasie attirée par Jacques, s’accomplit et restera surement celle qui engendrera le plus de morts . Elle fait dérailler la Lison que conduit Jacques près de la Croix de Maufras mais , devant l’échec cuisant de sa tentative, car les amants ont survécus et se sont même rapprochés, elle se suicide en se jetant sur un train. Même si elle n’est pas la dernière, la mort de Séverine

l’art ne montre jamais sa manière de procéder. * l’esprit scientifique s’acquiert, la valeur artistique est un don. 3eme partie : L’idée d’une école des beaux-arts est-elle incohérente ? Introduction : Nous ne lisons pas un traité de géométrie comme nous lisons un poème. Quelque soit l’admiration que l’on peut porter à Einstein et à Baudelaire, nous sentons bien qu’il y a quelque chose de dissonant dans le fait de mettre en regard et de comparer un ouvrage scientifique et une œuvre

mineurs ont la « figure moutonnière » de la soumission et l’apparence placide du bovin : « le sein énorme » de la maheude pend « comme la mamelle de vache puissante ». La bête humaine est un oxymore riche de sens. La personnification obsédante de la Lison, que Jacques aime à défaut de pouvoir aimer les femmes, doit être lue ds les deux sens, à double voix en qque sorte. La machine est une métaphore du corps, le substitut matériel de la bête tapie en chacun de ns. Elle est l’emblème du mécanisme zolien

survie contre la barbarie des hommes. Cependant, nous nous attendons peut-être un peu plus à la présence de la lecture… Que nous oublions lorsque les hommes partent traquer la panthère. Le seul défaut de ce livre c’est que nous le lisons trop rapidement, il est court. Et notre merveilleuse aventure s’arrête trop brusquement… Oui, car nous sommes tellement bien dans cette forêt amazonienne que nous ne voulons plus la quitter. Donc ce livre nous laisse légèrement sur notre fin…

protestations indignées se sont élevées dans les rangs du clergé occidental. Scandale ! ...car la soutane garantit la spécification du clerc. En effet, le caractère sacré qu’il a reçu à l’ordination le fait vivre dans le monde sans être du monde. Nous lisons cela dans Saint Jean : « Vous n’êtes pas du monde… mon choix vous a tirés du monde » (15, 19). L'habit du prêtre doit être distinctif et en même temps choisi dans un esprit de modestie, de discrétion et de pauvreté. Une seconde raison du port de la