La Lison

Je m’engage à garder le secret... Je promets d’être assidu et de travailler avec zèle... De mettre en pratique la solidarité... Nous avons pris conscience de ce que peut recouvrir l’article premier de notre constitution que nous autres apprentis lisons en début de tenue : « travailler à l’amélioration matérielle et morale, au perfectionnement intellectuel et social de l’humanité ». Sans aller plus loin, nous nous rendons bien compte que la tâche est immense et qu’il y a au quotidien et dans

rend compte qu'il assimile parfaitement l'information.Revenir en arrière réduit considérablement notre vitesse de lecture. Pour optimiser les capacités de nos yeux,l'idéal serait de lire 3 à 5 mots en même temps. Des études montrent que plus nous lisons vite,mieux nous comprenons. Meilleures conditions Lire à la lumière du jour est l'idéal. En cas d'impossibilité,s'éclaire à la lumière de la lampe se situant du côté opposé de la main avec laquelle on n'écrit. Avoir en portée de main tout

lit le poème en alexandrin on comprend que ses vers sotiennent hitler et sont comtre l’Angleterre. dans cette version hitler semble apparaitre comme un un homme qui sauve l’allemagne et qui donne a nouveau de l’espoir aux allemands. Quand nous lisons la premiere partie nous voyons que le peuple soutien completement l’angleterre qu’ il appelent ETERNELLE . Dans la deuxieme partie contrerement à la première le peuple s’oppose. Il maudissent le chancelier Hitler en le decrivant indigne de vivre

certaines pratiques culturelles.Dans cette optique,Seydou Badian fustigera l'organisation du mariage traditionnel africain.Celui-ci en effet dans son deroulement apparait plus qu'une vente aux enchères qu'un pacte d'amour.Dans son oeuvre SOUS L'ORAGE nous lisons :"vous agissez comme si Kany était non une personne mais un vulgaire mauton.Ce qui vous interesse c'est combien vous en tirez " D'autre infiltreront le milieu politque pour traduire les agissements des autorités dans leurs relations avec leurs concitoyens

enfiévré du "fou":(extrait) "Je recherchais les meubles anciens et souvent je pensais aux mains inconnues qui avaient palpé ces choses,aux yeux qui les avaient admirées,aux coeurs qui les avaient aimées,car on aime les choses!" Plus loin,nous lisons: "Comme j'aurais voulu connaître la femme qui avait choisi cet objet exquis et rare!Elle est morte!Je suis possédé par le désir des femmes d'autrefois;j'aime,de loin,toutes celles qui ont aimé!" Puis:"Pendant 8 jours,j'adorai ce meuble.J'ouvrais

tuer une » Conclusion Ce passage, issu d’un des derniers romans des Rougon-Macquart constitue un aboutissement du projet zolien : l’atavisme rattrape Jacques qui souffre de toutes les tares Macquart. Caractéristique de ce roman : la locomotive Lison est comparée à une femme et devient donc un personnage majeur du livre

Jacques Lantier est le personnage principal de l'oeuvre "La Bête Humaine", d'Emile ZOLA. Issu de la branche Macquart de la grande famille de Zola, il travaille comme mécanicien sur sa locomotive - qu'il surnomme "La Lison" - qui assure le trajet Paris-Le Havre. C'est un homme travailleur, ponctuel, et est, aux premiers abords, une personne sympathique. Cependant, il cache un terrible secret. Il a en lui depuis sa naissance une folie meurtière qui se déclenche lorsqu'apparaissent

de l'être humain (le rhum). La problématique que nous avons choisi de développer est la suivante : comment Francis Ponge nous décrit une fête et des festivités au travers de ce poème sur la nature. Il faut imaginer aller plus loin que ce que nous lisons pour comprendre cet axe de lecture. Les thèmes de ce poème sont le suivants : la fête et la nature, et sont étroitement liés. Analyse La première phrase du poème est la suivante : « De sous les fougères et leurs belles fillettes ai-je la perspective

lapidations. Mais Chahdortt Djavann a choisi de mettre en scène l’écriture de ce manuscrit (écrit en français). D’abord elle nous propose une lettre de l’éditeur qui aurait reçu ce manuscrit, miraculeusement dérobé à la prison iranienne, puis nous lisons ce manuscrit, puis nous avons une note d’une journaliste à qui ce manuscrit aurait été confié par le gardien de prison, puis celle du traducteur qui précise deux ou trois détails de traductions. J’aurais sans doute préféré un roman plus frontal

futurologue et ne hasarderai pas un pronostic; mais c'est un fait que de notre vivant, si je puis dire, les choses ont déjà beaucoup changé autour de nous, nous ne voyons plus, nous n'entendons plus tout à fait de la même façon qu'il y a trente ans, nous ne lisons plus de la même façon qu'autrefois. (J.L. Curtis, Questions à la littérature) J'affirme qu'un peuple soumis pendant un demi-siècle au régime actuel des cinémas américains s'achemine vers la pire décadence. J'affirme qu'un peuple hébété par des