La Littérature Courtoise

La relation entre l’amour et la mort D’abord, l’étude que je vous présente est basée sur la relation qui existe entre l’amour et la mort dans l’histoire de Tristan et Iseult. La légende des amants occupe ainsi dans la littérature du Moyen Âge une place centrale. En premier lieu, pour faire cette étude, je vais aborder principalement la version de Béroul et de Thomas mais sans écarter, bien sûr, les autres versions qui concernent cette légende comme, par exemple, la version de René Louis

Moyen français (sans déclinaisons) Pour arriver à une langue analytique = Sujet + verbe + compléments Point de vue littérature : * Longtemps ignorée puis les anciens manuscrits ont été traduits Cela devenait plus accessible * La littérature du Moyen-âge (dans l’ordre): La Décasyllabe (ex: Poésies sur St et saintes), La poésie épique (chevaliers), la poésie courtoise, le roman du renard, le roman de la rose (qui clôture le M-A) * 1ères œuvres en prose (dans l’ordre) : Tristan et

conception de l'amour dans la poésie de la Renaissance? Comparez-la avec la notion de "fin amor" de la poésie courtoise. Dans les poèmes "Chant de Mai et de Vertu," "Tant Que mes yeux pourront larmes épandre," et "Quand vous serez bien vieille..." l'amour est décrit d'une manière très personnelle. L'amour de la poésie de la Renaissance était plus fervent, plus authentique que ceux de la poésie courtoise. C'est peut-être à cause de l'évolution du courant de pensée d'humanisme, combiné à l'affaiblissement

Ronsard célèbre en 1550 “l’heureuse félicité de la vie”. La ferveur panthéiste et l’influence pétrarquiste le conduisent à multiplier les correspondances entre les beautés de la nature et celles de la femme aimée. Les anciens schémas de la poésie courtoise cèdent peu à peu le pas à une inspiration plus familière. Mais l’époque classique interrompt cette floraison. En valorisant la figure de “l’honnête homme” et en privilégiant les valeurs d’ordre et de hiérarchie, elle entraîne un reflux (rejet) du

physique laisser pressentir -> intimide par ce qu’elle dégage. La métaphore « œil livide, ouragan » V7 -> ciel d’orage = annonce une violence (certes contenue). Elle incarne Eros et Thanatos. (Pour le poète et selon la tradition de la littérature courtoise, le cœur se déclenche par le regard. Ici c’est le cas, il est ébloui mais par quelque chose de « livide ». Accompagné d’une deuxième métaphore « ouragan » = violente + danger -> ne correspond en rien au topos traditionnel, du regard qui

(v.1), sous « la lune » (v.2), un espace naturel : « vert sombre » (v.3), « massif » (v.5), c’est le cadre idéal pour une ballade romantique. Au vers 5 : il y a un chant. « Ton soldat fidèle » (v.7), c’est un cliché de la littérature courtoise du Moyen Age. Les points de suspension dans les tercets donnent de la rêverie, du calme à la scène. « Un chant dans la nuit sans air…/ (…) …Un chant » (v.1-4), pause pour écouter le chant. AU vers 5, une nouvelle pose qui montre que le chant

l’époque médiévale, le texte doit servir d’exemple. On trouve plusieurs sortes de textes : les chansons de geste (poèmes récités par des troubadours), les contes populaires, la littérature courtoise ( destinée à un public qui sait lire), les récits pour rire ( comme le Roman de Renart), et le roman. A côté de la littérature, la Médecine au Moyen-Age, s’appuie sur le savoir des Arabes et les idées médicales de l’Antiquité. Les soigneurs ambulants courent les campagnes. Les apothicaires préparent des

Le lexique Les champs lexicaux les plus fréquents sont ceux qui concernent la psychologie et l’affectivité (joie, amour, tristesse...). IV°) Le Lyrisme dans l’Histoire 1°) Le lyrisme antique - Les premiers textes lyriques de la littérature occidentale sont des poèmes chantés qui datent du VII° siècle av. J.-C. Dans la mythologie grecque, la lyre est l’instrument de musique inventé par le dieu Hermès. Ses cordes verticales tendues sur la carapace d’une tortue expriment la tension entre

base : Costume Définition simple : Des vêtements qui utilisent les comédiens pour représenter un personnage. Phrase : J’adore les costumes des pièces de théâtre du seizième siècle, surtout les jupes des femmes qui représentent à la courtoise. 5. Déclamateur Nom masculin Du Latin declamatio « exercice de la parole », famille d’étymologie : clamer Mot dérive formé avec le suffixe verbal : déclama-teur Définition simple : Personne qui remarque d’une façon

chevalier et reçoit ses armes. L'idéal chevaleresque et la culture de guerre s'expriment aussi pendant les tournois qui peuvent être très violents. • Durant le xiiie siècle, la culture de cour se développe, ainsi que la culture courtoise qui apprécie particulièrement la littérature chevaleresque et l'amour courtois d'un chevalier pour une dame inaccessible. 3. Des relations parfois complexes entre les seigneurs • Mais la société féodale est en fait plus complexe qu'il n'y paraît. Le roi, a priori suzerain