La Littérature Fenêtre Sur Le Monde

de La Bouille, proche de Rouen. Son Père, Jean-Baptiste Malot est notaire et maire du village.  La mer fait rapidement irruption dans sa vie, puisque, le jour-même de sa naissance, la pointe du mât de beaupré d’un voilier qui manoeuvre fracasse la fenêtre de sa chambre ! Les villageois s’interrogent : est-ce bon ou mauvais présage ? Finalement, ils optent pour le bon présage...  Hector ne vit à La Bouille que cinq années, mais il mettra le village en scène dans ses romans bien plus souvent que Fontenay-sous-Bois

L’artiste lui pensait plutôt laisser libre interprétation à la sensibilité de chaque spectateur, il ne fallait surtout pas qu'un nom conditionne la manière d’interpréter le tableau. Les tableaux sont conservés dans différents musées à travers le monde. Malheureusement la quatrième version a été détruite après un bombardement . Quant à la troisième, elle est maintenant propriété de l'état allemand après avoir appartenu à Hitler. A noter aussi que cet ensemble a inspiré bon nombre d'artistes de

façade est mort. La maison s'inscrit dans un nuage rouge, associé à l'étoile de David portant en son milieu 3 points (Francs maçons) Maison de droite : La vie avec les volets ouverts, la fumée qui s'échappe de la cheminée et une présence humaine à la fenêtre. La maison tient bien debout, soutenue par des colonnes massives « Ecole, artisanat, paysannerie, légion » et des fondations solides " discipline, ordre, épargne, courage" La maison est surmontée d'un drapeau tricolore. Elle s'inscrit dans un ciel

rien de supplémentaire. En effet, lorsque l’artiste reproduit le monde qui l’entoure, il crée une œuvre d’art qu’on peut considérer inutile. En d’autres termes, l’art qui imite la nature n’apporte rien de particulier (de positif en tout cas) à celui qui la contemple. D’ailleurs, on entend ici par « l’art qui imite la nature » l’ensemble des œuvres d’art qui essaient de reproduire, de la manière la plus réaliste, le monde qui nous entoure, or l’être humain ne peut produire une imitation parfaite

revenues, Chaque printemps, j’ai bien pleuré. Mais depuis que toute ma vie A subi ton charme subtil, Mignonne, aux promesses d’Avril Je m’abandonne et me confie. Depuis qu’un regard bien-aimé A fait refleurir tout mon être, Je vous attends à ma fenêtre, Chères voyageuses de Mai. Venez, venez vite, hirondelles, Repeupler l’azur calme et doux, Car mon désir qui va vers vous S’accuse de n’avoir pas d’ailes. François Coppée, Les mois Biographie François Coppée est né à Paris le 26 janvier

fantasmagoriques, le style littéraire fantastique émerge en Angleterre au 19éme siècle. Quelques années plus tard, ce dernier est exporté en France via les intellectuels français exilés au Royaume Uni. Sujet posé : Ce style littéraire, révéla au monde des génies de la littérature française, parmi eux, Guy de Maupassant avec l’une de ses œuvres emblématiques qu’est Le Horla. Dans cette nouvelle, l’auteur nous présente un personnage rongé par les incertitudes et les doutes au sujet d'un être invisible et surréel

de l’an mil il va examiner les événements qui ce produisent autour du millenium de l’anniversaire du Christ et de sa passion autour de 1030 et 1033. Ce moine remarque des commettes, des famines, qui sont pour lui des formes de représentation d’un monde vieillissant, il va trouver des signes de renaissances dont la construction d’un blanc manteaux d’églises. Il va enchainer sur des exemples de construction qui sont essentiellement des abbayes. Au début du 11ème siècle on fait passé les abbé de l’époque

transcrit directement les paroles de son père] mettrai vous savez ces vers sur cette petite fille, puis de la critique, puis de la moquerie, puis de la gaieté, le livre s'assombrira, je mettrai la mort de ma fille, puis l'exil, puis je sortirai du monde et j'entrerai dans la vie extra-humaine, le livre commencera par l'enfantillage et s'élargira jusqu'à Dieu." On reconnaît dans ce résumé, les six livres entre lesquels se répartissent les poèmes. La dimension poétique : Les poèmes, dans leur écriture

Défense de la littérature, chapitre IX « Nous ne lisons pas pour oublier la vie, au contraire, pour l’éclairer. Les livres nous aident à voir, à agir, à vivre ». Vous direz si vous partagez cette conception de la lecture en vous aidant des œuvres étudiées en classe ainsi que vos lectures personnelles. Nous verrons que la lire nous sert plutôt pour s’échapper, l’espace d’un instant, à nos vies mais également à mieux les vivre. La lecture nous aide à oublier à vie, à se détacher du monde qui nous entoure

ses faveurs, qu’elle ait entretenu des illusions, suscité des espoirs ardents, inspiré des actes généreux. Cet état d’âme complexe est créé par l’attente et l’effort dû à ce qui est appelé « joie d’amour ». L’amour fatal La littérature courtoise s’inscrit souvent dans un monde merveilleux, peuplé d’éléments surnaturels, de personnages mystérieux et fantastiques (mages, fées, nains, géants, etc.) et présente ainsi les jeux aimables de l’amour. Cet amour, parfois peint de façon mélancolique, est quelquefois