La Littérature Peut Elle Changer Notre Vie

A quoi sert ce bien immatériel qu’est la littérature ? Avant de parler de littérature, peut être faut-il d’abord se poser la question de la lecture ? A quoi peut-elle bien servir ? La lecture est quelque chose qui construit, le lecteur n’est pas seulement une page blanche où le texte s’imprime, il glisse sa fantaisie entre les lignes et l’entremêle à celle de l’auteur. Que la lecture et en particulier la lecture littéraire puisse contribuer à la construction de soi est une expérience largement

sociologie de la littérature-1- Depuis l'apparition de la sociologie de la littérature‚ on ne cesse pas de l'attribuer plusieurs approches possibles et des différentes orientations cela est explicable parce qu’elle n'a pas encore posséder ses propres démarches (≠autonome) étant donné qu’elle vit sous l'ombre de plusieurs domaines telle que: l'histoire‚ la littérature et la critique littéraire‚c'est pour cela qu’on va essayera de voire la sociologie de la littérature selon plusieurs

Introduction : Céline a passé sa vie à dire qu'il ne republierait plus le Voyage au bout de la nuit, qu'il lui devait tous ses ennuis, qu'on ne lui pardonnerait jamais l'innovation décisive qu'il avait introduite dans la littérature, l'oral dans l'écrit. Innovation relative semble-t-il. Vallès avait osé, 50 ans avant l'auteur du Voyage, un récit oralisé du même type qui a d'ailleurs inspiréCéline, d'après Jérôme Meizoz qui travaille actuellement là-dessus. Quoi qu'il en soit, c'est dans ce côté seul

Jean de SpondeEt quel bien de la Mort ? où la vermine ronge Tous ces nerfs, tous ces os ; où l'Âme se départDe ceste orde charongne, et se tient à l'escart,Et laisse un souvenir de nous comme d'un songe ? Ce corps, qui dans la vie en ses grandeurs se plonge,Si soudain dans la mort estouffera sa part,Et sera ce beau Nom, qui tant partout s'espard,Borné de vanité, couronné de mensonge. A quoy ceste Âme, helas ! et ce corps desunis ?Du commerce du monde hors du monde bannis ?A quoy ces nœuds si beaux

beaucoup travaillé à l’utilisation d’une langue littéraire simple, détachée d’automatismes et qui soit minimaliste. Ce passage de sa langue maternelle au français permit cette transformation particulièrement perceptible des années 60 à la fin de sa vie. “One day I will find the right words, and they will be simple.” Jack Kerouac, The Dharma Bums L’Oeuvre de Becket est empreinte d’un assez fort pessimisme, son époque est pour lui celle de la fin d’une certaine idée de l’art, de la fin d’une époque

La littérature québécoise au 20e siècle a connu beaucoup de déboire. Elle a été censurée pendant plusieurs années par le clergé et le gouvernement de Maurice Duplessis. Ensuite, il y a eu Paul-Émile Borduas et son groupe qui ont créé le manifeste du refus global, vers 1960, qui a sauvé notre littérature et nos écrivains ont pu désormais écrire sur l’imaginaire, le crime et toute autre valeur qui n’étaient pas celles de l’église. Dans le début des années 80, Monique Proulx a publié son premier livre

En quoi peut-on dire que l’Education sentimentale est un livre réussi sur l’echec amoureux ? « L'Education me fait sentir combien un écrivain est parfois plus passionnant par un échec que par un succès (...)» L'Education sentimentale vue par Henry James. Pour préparer la dissertation littéraire « L’échec comme objet de sublimation artistique » ; nous allons étudier L’éducation sentimentale comme livre réussit sur l’échec amoureux. Pour traiter ce thème, nous allons nous interroger sur le

Les genres littéraires: les diverses facettes de la littérature canadienne-française. Dans le cadre de la littérature canadienne-française, les romans et les nouvelles ont suivis divers courants littéraires. Ceux-ci sont formés par un groupe d’œuvre qui on les mêmes critères esthétiques qui ont les mêmes valeurs et traditions. (Bibliolettres) Parmi ces courants littéraires nous pouvons compter le roman du terroir, la nouvelle de la contestation et le roman d'observation. À l'aide du roman

L’auteure use donc de l’imparfait et d’énumérations « je travaillais […], j’écoutais […] je lisais […] Je n’en descendais […]je ne riais » (l.1-3) mais également d’adverbes « toujours [] jamais… » (l.1-3) afin de décrire cette période précise de sa vie de manière progressive. Une période où elle agit avec un certain snobisme inhérent au monde auquel elle veut appartenir : « C’est le temps où tout ce qui me touche de près m’est étranger » (l.3-4), « tout ce que j’aimais me semble péquenot » (l.6),

le littérature. Nous pourrions alors nous interroger à propos de la littérature, à savoir si elle peut « apporter le réconfort au lecteur par rapport aux questions graves qu'il se pose ». En tant que champ de l'art, elle offre au lecteur diverses possibilités : placere, docere, moere, c'est-à-dire plaire, intruire et émouvoir. Mais peut-on affirmer que les écrivains n'abordent que des questions graves, par exemple la xénophobie, les guerres et les violences de divers ordres. De plus, peut-on