La Littérature Veut Instruire Ou Plaire

restent son chef-d’œuvre. Il s’est peut être inspiré de ces fables anciennes (Esope, Phèdre..) mais il les a considérablement améliorées dans une langue belle et simple. Au XVIIème siècle, l’idéal classique confie à la littérature la double mission d’instruire et de plaire. Instruire, c’est-à-dire édifier un public de plus en plus nombreux en lui montrant la modèle de l’honnête Homme. Introduction : Ici nous avons une fable qui ouvre le livre VIII ; c’est une fable qui donne le ton au livre mais

utiles à se poser : Quels sont les objectifs ? - instruire : quelle est la leçon ? Comment est-elle donnée ? Par qui ? - plaire : quels éléments du récit suscitent l’intérêt du lecteur ? Quel(s) registre(s) a ou ont été employé(s) ? Qui sont les personnages ? - quels sont les traits distinctifs tirés de l’opinion commune attribués par l’auteur à ses personnages ? - Quels comportements humains incarnent-ils ? que veut critiquer l’auteur ? En quoi l’écriture poétique sert-elle

Sujet : La littérature peut-elle apporter le réconfort au lecteur par rapport aux questions graves qu’il se pose ? Que cherche t-on quand on ouvre un livre : un simple divertissement ou une réponse à des questions essentielles ? Le lecteur y cherche parfois et y trouve souvent des solutions aux questions inquiétantes qu’il se pose, comme la peur de la mort par exemple. Peut-on trouver dans la littérature des réponses aux interrogations graves que nous nous posons ? La lecture apporte parfois du

Le conte est au départ une littérature orale, qui débute vers les XVIIIe et XVIIe siècles avant Jésus-Christ. Ce qui a créée plusieurs variations suivant l’auteur, les cultures, les religions et autres. Puis est devenu écrite vers la Renaissance. Les contes sont adressés à tous publique différent comme l’âge, les origines… Il existe plusieurs types de conte comme par exemple les contes merveilleux, fantastiques, philosophiques est bien d’autres. On peut se demander en quoi le conte est une forme

ils veulent toucher ce public cultivé par des oeuvres fortes, qui puissent plaire à tous : savants, mondains, bourgeois. 2. ETHIQUE ET ESTHETIQUE Dans la conception classique de la littérature, à la suite d'écrivains de l'Antiquité comme Platon, Horace, le bon ( = l'éthique) et le beau (= l'esthétique) sont étroitement liés: il faut joindre l'utile à l'agréable, « élever les esprits» tout en pratiquant l'art de plaire. Les écrivains, les moralistes ne se contentent pas de décrire les moeurs de

des courant baroque et classique au XVII. Du point de vue de la chronologie le classicisme est très restreint : de 1660 à 1685. A partir de cette période il se produit un crépuscule du classicisme parce que la prédominance du point de vu de la littérature, architecture peinture commence à décliner. Latin : tout ce qui est excellent A partir de 1680 Richelet ; tout ce qui est digne d’être enseigné dans les classes, tout type de modèle : les auteurs de l’Antiquité. A partir du XIX terme classique

Les lumières sont, en littérature, un mouvement littéraire fondé sur la raison. On sort des préjugées et de l’intolérance pour avancer vers le savoir, le bonheur et la liberté.Dans les années de ce mouvement autant littéraire que philosophique, on voit ressortir des éléments comme la contestation sociale et politique, le combat contre l’injustice et l’ignorance, l’hostilité à l’esclavage et la dénonciation de l’intolérance et du fanatisme religieux. Dans un article publié en 1985, Maria Teresa

I/ Le contexte politique et social  les caractéristiques du règne de Louis XIV Le règne personnel de Louis XIV (1661-1715) marque l’apogée de la monarchie absolue de droit divin. Affirmant son autorité sans partage, le roi se veut aussi protecteur des arts et des lettres : il exerce son mécénat par le biais de pensions ou de commandes, crée des académies et initie de grands travaux prestigieux tels le château de Versailles.  Trois ordres inégaux ( la peinture sociale dans Dom Juan) La société

Les mouvements littéraires. L’humaniste (16e siècle) c’est développé à la Renaissance. Il marque le retour de la culture antique, grecque et latine.Il s’agit en littérature et en philosophie de revenir aux textes même (antique ou bibliques), en se dégageant des interprétations données au Moyen Age. L’humanisme caractérise, durant la Renaissance, un courant de pensée qui place l’homme au cœur du savoir et de la réfléxion. Il exprime sa foi dans le progrès intellectuel et moral de l’homme. Il s’accompagne

intitulés de parties. Concernant le plan : - Les éléments de la première partie ne sont pas des arguments mais des exemples, il faut la revoir. - L’intitulé est flou : votre thèse c’est que le héros peut être n’importe quel individu et l’antithèse veut que le héros soit quelqu’un d’extraordinaire ? - Si c’est le cas, on peut faire le 3ème argument de la deuxième partie sur l’absolu vécu par les héros. - Pour une troisième partie, effectivement l’idée de l’anti-héros me semble bonne. I-