La Locomotive Zola

Logique du sens, distingue, à propos de Zola au cinéma le « médiocre metteur en scène » qui se contente d’« appliquer » le roman et Renoir : « Quand Renoir (…) se confronte avec La Bête humaine, c’est une œuvre très belle où le cinéma trouve son autonomie. » Or, c’est bien cette autonomie qui rend malaisée une étude du passage du récit écrit au récit filmique. La Bête humaine de Renoir est une « autre » œuvre, une création autonome. A partir du roman de Zola, Renoir construit un univers qui lui est

Maylis ROBERT Les peintres de «l'Ecole des Batignolles » Jeanne LAPOTRE Claire NEEL Exposé littéraire : L’œuvre de Zola I- Les peintres de l'Ecole des Batignolles 1- Qui sont-ils ? Le groupe des Batignolles est un groupe de jeunes peintres d'avant-garde de la fin du xixe siècle.. Le groupe porte son nom en référence au quartier des Batignolles, où ils avaient l'habitude de se rencontrer entre 1869 et 1875

l’universUne personnification : on prête à un objet ou une chose les caractéristiques d’un être humain.Ex : « Un instant on avait pu voir, par les entrailles crevées de la locomotive, fonctionner ses organes, les pistons battre comme deux cœurs jumeaux, la vapeur circuler dans les tiroirs comme le sang de ses veines. » Emile Zola, La Bête humaine. |   |   |   |   |   |

l'industrie métallurgique, avec les hauts fourneaux, des manufactures. Des régions industrielles se créent et attirent une main d'oeuvre qui quitte les champs. Les moteurs à essence permettent le développement de l'automobile, des autobus, les locomotives à vapeur vont nécessiter le développement des chemins de fer. Les transports collectifs se développent. La révolution industrielle va voir le développement des formes de propriété privée de groupements et des formes de travail, et le développement

l’univers. Une personnification : on prête à un objet ou une chose les caractéristiques d’un être humain. Ex : « Un instant on avait pu voir, par les entrailles crevées de la locomotive, fonctionner ses organes, les pistons battre comme deux cœurs jumeaux, la vapeur circuler dans les tiroirs comme le sang de ses veines. » Emile Zola, La Bête humaine. Les exercices à réaliser se trouvent dans la rubrique « Exercices »

Résumé de la BH de Zola. Roubaud, sous-chef de gare au Havre est un bon employé, il est marié à Séverine(plus jeune que lui). Séverine a été élevé à la Croix de Maufras où elle a été abusé par Grandmorin. Lors d’une journée à Paris, Roubaud l’apprend, fou de rage il bat Séverine et élabore une vengeance. Il oblige Séverine à participer à ce stratagème en lui faisant écrire une lettre pour que Grandmorin prenne l’express Paris-Le Havre en même temps qu’eux. Une fois dans le train Roubaud et Séverine

réelle. Pour Zola, « le premier personnage qui passe est un héros suffisant » (Deux Définitions du roman). Ainsi, des personnages ordinaires, sans éclat particulier, qui appartiennent à l'humanité moyenne - comme on en trouve souvent dans les romans réalistes du XIXe siècle -, s'imposent au lecteur qui s'en souvient, s'y attache ou les rejette, s'identifie à eux. Le simple fait d'entrer dans une vie fait exister le personnage, même médiocre. Devant Gervaise, l'héroïne de L'Assommoir de Zola, qui n'a

Révolution industrielle est donc symbole d’innovation, de croissance, d’augmentation de la richesse et d’améliorations considérables du sort des Européens. Le point de départ fut en Grande-Bretagne, dès la fin du XVIII° (James Watt, inventeur de la locomotive, 1769), puis l’Europe occidentale (France, Pays-Bas, Allemagne…), et pour terminer l’Europe du sud et de l’est (industrialisation également du Japon, des États-Unis, du Canada, de l’Argentine…) C’est la Naissance du monde occidental, sur des valeurs

Pour Zola, « le premier personnage qui passe est un héros suffisant » (Deux Définitions du roman). Ainsi, des personnages ordinaires, sans éclat particulier, qui appartiennent à l'humanité moyenne - comme on en trouve souvent dans les romans réalistes du XIXe siècle -, s'imposent au lecteur qui s'en souvient, s'y attache ou les rejette, s'identifie à eux. Le simple fait d'entrer dans une vie fait exister le personnage, même médiocre. Devant Gervaise, l'héroïne de L'Assommoir de Zola, qui n'a

Pour Zola, « le premier personnage qui passe est un héros suffisant » (Deux Définitions du roman). Ainsi, des personnages ordinaires, sans éclat particulier, qui appartiennent à l’humanité moyenne – comme on en trouve souvent dans les romans réalistes du xixe siècle –, s’imposent au lecteur qui s’en souvient, s’y attache ou les rejette, s’identifie à eux. Le simple fait d’entrer dans une vie fait exister le personnage, même médiocre. Devant Gervaise, l’héroïne de L’Assommoir de Zola, qui n’a