La Loi De Consommation Keynésienne

d’Epargne ? Dans cette perspective deux courants idéologiques s’opposent, d’une part les néoclassiques qui incitent à l’Epargne pour pourvoir aux besoins de l’activité économique, en stimulant du côté de l’offre. D’une autre, les Keynésiens préconisent l’impulsion de la consommation du côté de la demande afin d’atteindre les objectifs des grands variables macroéconomiques. C’est-à-dire l’emploi, la croissance, la stabilité des prix, le faible taux de chômage et la balance commerciale excédentaire comme

endettement dans un contexte plus large : l’endettement lourd des Etats. La consommation : 60 à 70% => Elément phare de la croissance. Depuis une dizaine d’année, les gouvernements tentent de trouver des moyens pour juguler cette baisse de l’activité économique, par le biais de la consommation. En France, à la fin des années 90, regain de croissance économique, tirée vers la consommation. On appelle cela la consommation finale des ménages ou la satisfaction immédiate des besoins. Favoriser

demeure celle dite de la synthèse néo-classique dont les plus illustres représentants sont les prix Nobels John Hicks, qui est avec Alvin Hansen le fondateur de ce courant, Paul Samuelson et Franco Modigliani3. De nos jours la nouvelle économie keynésienne est relativement influente notamment à travers Joseph Stiglitz. À côté de ces écoles plutôt libérales, nous trouvons des écoles plus hétérodoxes tels que le postkeynésianisme plus étatiste ou en France l'économie des conventions. D'une façon générale

positions opposées ont tenté de comprendre l'origine de ce phénomène et ses différents liens avec l'économie : l'école néoclassique et l'école keynésienne. L'épargne représente la partie du revenu qui n'est pas destinée à une consommation. L'épargne est donc un acte de renonciation à une satisfaction immédiate au profit d'une satisfaction future, d'une consommation future. Elle assure le maintient et la croissance du niveau de production car elle permet de financer l'investissement. L'investissement est

pendant les années capitalistes A débuté au Etats-Unis et s’est propagée dans le monde entier Dans les années 20, tout va bien « The US roaring Twenties » les années folles Croissance : - du marché immobilier aux Etats-Unis - des crédits à la consommation et au logement - des valeurs mobilières (bulle spéculative) - du PIB aux Etats-Unis Entre 1918 et 1920 le taux des prêts a augmenté, sont très importants Tout le monde espère faire fortune, on empreinte car on sait qu’on va gagner de l’argentLes

problématique posée. Développement : I- Classique et néo-classique : un certain équilibre du circuit économique Selon le principe de la main invisible, lorsque chacun cherche son intérêt personnel, il contribue à la prospérité générale. Selon la loi des débouchés de Jean-Baptiste Say (1767-1832), l’offre crée sa propre demande. Il existe toujours une demande suffisante pour écouler tous les biens et services produits. L’équilibre sera rapidement trouvé si l’activité fonctionne sans entrave, avec

Dossier révision oral économie 1/3 Macroéconomie – Modèle keynésien DOSSIER PRÉPARATOIRE AUX RÉVISIONS DE L'ÉPREUVE D'ÉCONOMIE - ORAL DE L'ESM 2. MACROECONOMIE B. LE MODÈLE KEYNÉSIEN 1- Exercice modèle Soit une économie dont la demande est définie par ces deux équations: C=0,5Y + 400 et I =0,2Y + 800 1. Commenter les équations 2. a. Déterminer le niveau du revenu d’équilibre, de la consommation, de l’investissement et de l’épargne. Que constate-t-on ? b. Si variations de Io = +100

I- La période classique : A- La pensée libérale classique : Smith : - La richesse des nations est fonction de la productivité - Théorie de la Main invisible Ricardo : - Le libre échange favorise la croissance. JB Say : - La loi des débouchés : un produit terminé offre dés cet instant un débouché à d’autres produits pour tous le montant de sa valeur. - L’équilibre général sera toujours atteint entre l’offre & la demande globale. B- Les économistes classiques réformistes :

AUTEURS CITÉS: I - Le courant libéral : A- Les physiocrates : B- Les classiques : C- Les néo-classiques : D- L’actualité des idées libérales : II - Le courant marxiste : A- Contradictions du système capitaliste : B- Conséquences III – Le courant keynésien : A- Thèses générales : B- Les principaux apports : C- Incidences et critiques : D- Les successeurs de Keynes : IV- Les inclassables ou hétérodoxes : V- Les dernières tendances en économie : ********************************************

la stagflation des années 1970, puis son dénouement par l'application des préceptes monétaristes à partir des années 1980. L'effondrement simultané du crédit, de l'immobilier et des marchés financiers débouche sur une configuration typiquement keynésienne. L'économie mondiale se trouve enfermée dans une situation de trappe à liquidités, où l'injection de fonds et la baisse des taux d'intérêt se révèlent impuissantes à relancer l'activité. Le blocage de la demande crée une spirale déflationniste qui