La Loi Des Débouchés Jean Baptiste Say

marchandises dépendent de la quantité d’or disponible dans l’économie (beaucoup d’or : prix monte) . Au final , aux yeux du Roi monsieur de Malestroit a raison , mais jean Bodin vient de formuler la première explications économiques , son analyse va être redécouverte plusieurs siècles après plus précisément dans la seconde moitié du XIXème siècle , Jean Bodin reflète la théorie quantitative de la monnaie . Stock d’or écrit : M Volume d’échanges : T La théorie quantitative de la monnaie nous dit : Niveaux

lorsque les gens commencent à penser sans Dieu. Il est en haut ect. : “pensons à nous” Cela à eu pour effet une reflexion sur le pouvoir. François Ier considère que lui seul gouverne et qu’il ne doit rien à personnne. Réflexion sur le pouvoir. -Jean Bodin (1530-1596) considère qu’il n’y a de compte à rendre qu’à Dieu, il construit donc une réflexion juridique pour les hommes. -Hobbes(1588-1679) : “les hommes sont libres” , ils s’organisent de manière naturelle et cela se passe mal (pessimisme)

D. Ricardo -Valeur de Travail- Toutes la richesse vient du travail. Machines- Travail incorporé (priradiť) Plus le travail est incorporé, plus le prix est élevé. Il est pour le libre échange. Il veut Avantages Comparatifs. Jean Baptiste Say Lois des debouchés- C´est l´offre qui cré sa propre demande. Malthus Lien entre démographie, pauvreté et salaires. Marx Principe de la plus value. LES CLASSIQUES SONT POUR L´OFFRE. Chapitre 3: Néoclassiques, moitié 19eme siecle

l'origine sur la notion de vente. Chez les économistes classiques, la question de la vente est réglée automatiquement puisque le producteur est censé ne produire que ce qui fait l'objet d'une demande. Jean Baptiste Say dans le Traité d’économie politique ,1803, Livre 1 affirme à travers «la loi des débouchés» que «toute offre crée sa propre demande». Ainsi, il n’y a pas de surproduction possible. Tout produit fabriqué est nécessairement vendu. Après la révolution industrielle, H.Fayol considère la

Jean batiste Say voir biographie ECONOMIE POLITIQUE  I – Ce qu’il faut comprendre   L’économie politique est une façon de poser les problèmes, qui émerge dans le contexte européen des grandes découvertes de la fin du XVe et du début du XVIe. Le mercantilisme ne désigne pas une école bien constituée mais plutôt un courant de pensée qui préconise une certaine organisation du commerce extérieur. Le terme a été introduit en 1776 par Adam Smith qui évoque le“ système mercantile ” pour désigner un

de travail et le droit de propri~t~ sur soi, 95 - Le droit du travail contre le contrat de travail, 100 - Le droit du travail contre le marché du travail , 106. 4. Les crises, le chômage et les syndicats, 123 Le principe de la loi de Say, 125 - La loi de Say et la monnaie, 143 - Le chômage et la greve, 155. Annexe: Le travailleur « propriétaire » de son emploi? 170. 5. Les syndicats et la démocratie, 173 La politisation syndicale, 174 -Faire pression pourquoi? 176 - Faire pression

automatique Marché des produits  Surproduction  Excès d’offre => Baisse des prix => Augmentation de la demande  Fin du déséquilibre Marché du travail  Chômage  Excès d’offre => Baisse des salaires => Création d’emplois  Fin du déséquilibre = Loi de l’offre et de la demande Comment les partisans de cette théories peuvent-ils alors expliquer que la crise économique dure, s’aggrave et s’étend ? Selon Keynes, les néoclassiques se sont donc trompés. Non pas que leur raisonnement soit faux, car

population triple. Main d’œuvre itinérante et pluriactive. Progression de l’instruction et l’enseignement supérieur ou spécialisé se développe. Ex : 2 lois : loi Guizot (1833) : chaque localité de plus de 500 habitants, obligation d’une école avec instituteur + chaque département français doit avec une école normale pour former les maitres. Loi Ferry (1881-1882) : école publique gratuite, laïque et obligatoire de 6 à 13 ans pour les 2 sexes. 1.2.2. Un espace en voie de spécialisation, de hiérarchisation

considéré que les investissements constituent une condition nécessaire et suffisante de la croissance économique. L'investissement constitue un (le ?) moteur pour la croissance et l'expansion économique. Cette vision de l'expansion, transformée en quasi-loi s'est imposée aux planificateurs dans les pays du nord comme ceux du sud. Cela suscite un certain nombre de remarques: En premier lieu, "toutes choses égales par ailleurs" est une formule, citée plus haut, que les économistes affectionnent par souci

L'analyse de la demande et de la croissance divise les classiques. Pour Smith, Jean-Baptiste Say (1803, Traité d'économie politique) et Ricardo, la demande peut différer de l'offre sur les différents marchés, mais au niveau global, la demande résulte du revenu. Qu'il soit consommé ou investi, le revenu est lui-même égal à la valeur de la production, donc de l'offre : ainsi « l'offre crée la demande ». Pour Jean Charles Léonard Sismonde de Sismondi (1803, De la richesse commerciale ; 1819, Nouveaux