La Machine Est Elle Responsable Du Chomage

la banque centrale américaine, est considérée aujourd'hui comme responsable des bulles financières et immobilières. A l'époque, les relances budgétaires ont été considérées comme responsable de l'inflation. Or, une bulle, c'est de l'inflation. D'autre part, les relances budgétaires ont engendré des politiques de stop and go. Ou plutôt de go and stop devrait-on dire. Dans un premier temps, on dépense, pour relancer la machine. Puis, on est obligé de mener une politique de rigueur, pour éponger

D'après cette étude, la majorité des personnes surendettées en 2010 (54 %) dispose de ressources (y compris transferts sociaux) inférieures ou égales au SMIC. En outre, la moitié des personnes déposant un dossier de surendettement est sans emploi (chômage, inactif) et 66 % vivent seules (58 % en 2001). Connaître les causes d’une situation d’endettement ou de surendettement, c’est déjà prendre conscience de l’étendue du problème, pour ensuite, mieux le résoudre. A/ Les causes objectives du surendettement

grandes compagnies anglo-saxonnes le contrôle et les profits du marché pétrolier alors en pleine expansion. Partie III Une langue crise insolite 1973-1983 Chapitre 1 Analyse de la crise : Mécanismes et évolution (Deux signes avant-coureur : Chômage et inflation – La crise du SMI de Bretton Woods (1971-1973) – Le premier choc pétrolier et la crise en 1975 – L’insaisissable reprise – Le tournant de 1973 – 1980 et la rechute – Une crise insolite aux effets contrastes : La Stagflation – Une crise

d'Henry Ford en 1913 (fordisme), stimulent également la CROISSANCE en améliorant la productivité. • Le développement du secteur financier permet à l'industrie de disposer des capitaux dont elle avait besoin. Face à la nécessité d'acheter de nouvelles machines ou d'étendre leurs activités, les entreprises font appel aux banques d'affaires et à des actionnaires extérieurs (des titres, dont la valeur reflète la « santé » des entreprises, sont échangés dans les bourses de valeurs comme celles de Londres,

l’entreprise, on peut choisir sa caisse d’assurance complémentaire) -> assurance allocations familiales (aides à l’enfant et au logement) -> assurance chômage (risque chômage et risque de non payement des salaires par l’entreprise en difficulté) Les cotisations des risques de bases (et non complémentaires) sont versées à des URSAFF sauf pour l’assurance chômage (cotisations aux ASSEDIC). Evolution du droit social français et européen ? Grâce à la technologie (évolution des situations de travail -> nouvelle

mondialisation de l'économie depuis 1850. A) Les cycles de croissance : FRISE PAGE 15. Depuis 1850, on connait 3 périodes économiques. Entre 1848 et 1873, on connait la première révolution industrielle fondée sur l'utilisation de la machine à vapeur,elle a donné naissance aux pays noirs. Cette première industrialisation s'accompagne de progrès sur les chemins de fer ce qui favorise les échanges. Entre 1896 et 1929, une seconde révolution industrielle, fondée sur l’utilisation de l’électricité

cycle de Kondratiev. Explication des phases : 1850-1870 : Forte croissance (développement des chemins de fer + découverte mine d’or) 1873-1896 : La Grande Dépression (Krach Boursier), baisse de la demande et de la production -> baisse des prix, + de chômage. Mines d’or épuisées. 1ère Ri épuisée. Solution : une politique protectionniste pour les états. 1896-1929 : Croissance => Nouvelles mine d’or + 2ème Ri (chimie, ‘électricité, auto) Les années 30 (1929) : Crise Boursière (Krach Wall Street – Jeudi

bingo, poker, rami, Lotto, machines à sous…Tous les moyens sont bons pourvu qu’on gagne… les conséquences de la dépendance sont lourdes si on n’entreprend pas de démarche pour s’en sortir. Comme les substances nuisibles à la santé, telles que la drogue, le jeu provoque l’addiction en cas d’accoutumance. Pour : Je ne peut m’empechez de vous interrompre a ce point ! Peut on reprocher aux personnes qui jouent ce fol espoir de gagner une fortune? L'Etat est en partie responsable mais encore une fois on

réforme et révolution Conclusion La question sociale : la condition ouvrière 1) Les soubresauts du quotidien Cette « existence à cahots » (Yves Lequin) est faite de la pression soutenue du rythme de travail, d’une embauche précoce et du chômage récurrent et périodique. L’indigence du monde de vie. A cause des variations du salaire, des incidences des accidents, du travail ou de la vie quotidienne, la tombée dans l’indigence constitue un risque majeur. La nouveauté, par rapport à l’Ancien

d'emploi, l'amélioration du niveau de vie, l'amélioration de l'éducation et des systèmes de santé et l'allongement de l'espérance de vie. A contrario, la décroissance est considérée comme devant générer une récession et son corollaire : hausse du chômage, perte de pouvoir d'achat des ménages et violences sociales. Pourtant des économistes prônent la décroissance du fait que pour la croissance économique entraine entre autre la raréfaction des ressources naturelles et des dommages sur l'environnement