La Machine Infernale

par reprendre le dessus. Cette pièce de théâtre est en un acte composé de cinq scènes, dont la dernière est hypertrophiée. Scène 1[modifier] Garcin entre accompagné dans un salon, style second Empire. Garcin demande au garçon d'étage où sont les machines de torture, il n'y en a pas, mais le garçon d'étage prétend que tous ses "clients" sont pareils : ils veulent tous les pals et leurs objets de toilette. Garcin prétend ne pas avoir peur. Le garçon s'en va. Cette scène d'exposition étonne car elle

étourdissant», dans une «jungle mécanique», sous le contrôle d'une «contremaîtresse dont la haute silhouette blanche semble régner sur ce chaos de machines et de femmes», la jeune ouvrière effectue un travail sans qualification. Il lui suffit de l'accomplir « une ou deux fois » pour acquérir la maîtrise du geste à accomplir. Elle fait un travail d'OS. Elle sert une machine. 1950-1975. L'automatisation du travail Question 5. L'affiche de mai 1968 cherche à montrer deux aspects du travail des OS. Ces derniers

« Quand on fait le procès du machinisme, on néglige le grief essentiel. On l'accuse d'abord de réduire l'ouvrier à l'état de machine, ensuite d'aboutir à une uniformité de production qui choque le sens artistique. Mais si la machine procure à l'ouvrier un plus grand nombre d'heures de repos, et si l'ouvrier emploie ce supplément de loisir à autre chose qu'aux prétendus amusements qu'un industrialisme mal dirigé a mis à la portée de tous, il donnera à son intelligence le développement qu'il aura choisi

comme une machine nous entraînant dans un rythme de travail impossible à suivre par les ouvriers. Ces derniers sont surveillés par un patron qui passe ses journées à ne rien faire à part à faire des puzzles ou lire des bd tranquillement enfermé dans son bureau dans une ambiance très calme contrairement à celles des ouvriers qui travaillent dans une ambiance très mouvementée et dans le chaos infernal des machines. Le patron distribue de temps en temps des ordres d’accélération des machines aux quels

F R A N Ç A I S: examen de juin 1) La machine infernale de Jean Cocteau A. Qui est jean Cocteau? [pic] Cocteau est né en 1889 et est mort en 1963. Il se définit lui-même comme un poète. Il envisage toute son œuvre dans une perspective unifiante, celle de la création poétique. B. L'œuvre de Cocteau. ▪ La poésie (inspirée par les horreurs de la guerre 14-18 et lyrique) ▪ La poésie graphique: - La peinture - Les dessins - La sculpture ▪

avec lui et la jeune fille sur son bras pour representer la vie, et en parallele, on peut voir qu'il est entierement fait de boulons et de materiaux avec la machine en arriere plan. Il veut donc dénoncer le taylorisme ou la machine s'empare de l'ouvrier jusqu'à le rendre « fou ». Il dénonce aussi l'aliénation des ouvriers et l'engrenage infernal dans l'industrie. 3.Sur cette image, on peut voir Chaplin allonger sur une grande roue a l'intereieur du mecanisme de l'usine et resserent les boulons de

combattants avec les mots : « sans avoir aucun intérêt au procès » (ligne 17) et « sans savoir même de quoi il s’agit » (ligne 18). Il dénonce aussi avec ironie l'implication de la religion dans ce texte avec «  Le merveilleux dans cette entreprise infernale, c'est que chaque chef des meurtriers fait bénir ses drapeaux et invoque Dieu solennellement avant d'aller exterminer son prochain ». Donc, les procédés littéraires présents dans ce texte sont le champ lexical du combat qui exprime la férocité des

bien de cela! Tout le contexte concentrationnaire la sous-tendait. L'interprète de N.N. avait vu et senti juste. Conditionné par ce monde dantesque et ses "spectacles" quotidiens, il en avait donné l'image fidèle, ces deux mots entourés d'un halo infernal. En effet, parmi les damnés de cet univers déshumanisé, bariolé, hiérarchisé en péchés capitaux - les prisonniers politiques, ceux de droit commun, les saboteurs, les homosexuels, les objecteurs de conscience, les Russes, les Bohémiens, et, tout

Weil se fit embaucher comme ouvrière en 1934 par la société Alsthom, puis l'année suivante, elle découvre le travail à la chaine chez Renault. Elle a consigné dans son Journal d’usine, maints détails concernant la nature du travail effectué, les machines, l’organisation de la production, l’usinage de telle ou telle pièce, ainsi que sur le vif quelques traits de ses compagnons de travail, leur manière d’être et de penser. Le mouvement revolutionnaire dont le point culminant fut la grève génèrale

A ce propos, nous pouvons affirmer qu’il s’agit d’une métaphore filée du monstre : il emploie « serre » et l’adjectif « soufflant » qui rappelle le mouvement de la machine. Victor Hugo insiste aussi sur le fait que l’âme jeune, celle de la vie, est condamnée à être utilisée comme une machine « qui donne, en somme, / Une âme à la machine et la retire à l’homme » car la jeunesse est la source de la vie quand les enfants s’épanouissent. Les adultes s’enrichissent en rendant les enfants malheureux « Travail