La Machine Infernale

la seconde moitié du XIXe siècle  Attentat  Napoléon III est visé lors d'un attentat, le 14 janvier 1858, rue Le Peletier où se situe la salle d'Opéra du moment. Des anarchistes italiens, dirigés par Felice Orsini, jettent plusieurs « machines infernales ». Concours pour un nouvel Opéra  Toujours est-il que le concours pour l'édification d'une « Académie impériale de musique et de danse », largement ouvert et international, est donc organisé et annoncé dans un second arrêté du 29 décembre

faire rire. A) Les aspects mécaniques du procès → Execution à la chaine → « A la trappe » = lieu qui avale les nobles d'où le côté mécanique + Machine à décerveler → Obsession d'Ubu pour la richesse ; on retrouve aussi le côté mécanique dans l'écriture . → Le style lui même : car phrases non complètes et exclamations. Rythme rapide et infernal →Les paroles d'Ubu réduites à des injures : « Bouffre, tu as une sale tête » Tous ces procédés renvoient au théâtre des Marionnettes. B) La

étant symbole de paix alors que le cafetier et ses boissons apportent la violence et le malheur chez ses clients. Au milieu du café, trône le fameux alambic, sorte de machine infernale dont le produit, un alcool frelaté, assomme ceux qui en boivent. Au fil du roman, l'alambic devient le monstre dévorant ses victimes. C'est cette machine qui va chaque fois enlever un peu plus de bonheur à Gervaise. D'abord Lantier, puis Coupeau, et enfin elle-même qui, ruinée, devra vendre son commerce - sa réussite

caractère humain : le fameux complexe mis en lumière par Freud en particulier – le jeune enfant désire séduire sa mère et éliminer son père. Ce mythe a également fait l'objet de nombreuses reprises depuis Sophocle, qu'on pense par exemple à La Machine infernale de Cocteau. La récriture des mythes ne cherche certes pas l'originalité mais rappelle au lecteur leur importance en les revivifiant et peut même lui permettre de (re)découvrir ces histoires, ces personnages datant bien souvent de l'Antiquité

didascalies on connaît les actions des personnages, leurs émotions, quelques éléments de la mise en scène. Avec ces dernières, on comprend de suite ce que les personnages font puisque nous lisons en permanence leurs actions. Prenons comme exemple La machine infernale de Jean Cocteau, dans l'acte I . "Long silence. Deux soldats, de dos, contemplent sans fin la place du mur où le fantôme a disparu". Cette didascalie nous indique ce qu'il se passe en l'espace de seulement quelques lignes et elle nous indique

par | |des événements qui font du XXe siècle le plus violent et le plus meurtrier de l'Histoire? Ces | |millions de morts, engendrés par les machines infernales de deux guerres mondiales et de | |dizaines de conflits régionaux, étaient-ils déjà inscrits dans cette gaieté imperturbable de la | |Belle

sont de véritables outils à production, ils sont employés par des adultes pour le profit « travailler quinze heures sous les meules, de l’aube au soir ». Les enfants sont donc des machines « qui produit la richesse en créant la misère ». Nous pouvons de même remarquer une gradation ascendante concernant cet univers infernal « prison, bagne et enfer », ce qui implique très fortement le lecteur dans ce monde d’esclavage que subissent les innocents. 2) Dénonciation de ses conséquences: Victor Hugo

Jean-pierre Martignon a déclaré dans un de ses ouvrages « le cercle magique du jeu permet au joueur de donner sens à une existence et parfois de noyer le non sens de sa vie dans une spirale infernale captivante » . Il n’empêche que ces motivations peuvent rapidement entraîner le joueur au sein de cet engrenage infernal et donc le cloîtrer dans un phénomène de jeu pathologique. Addiction Combien y a-t-il de personnes en difficulté face aux jeux d'argent et de hasard ? Quels sont le profil et les activités

Baskerville : Conan Doyle Le passe-muraille : Marcel Aymé Le vieil homme et la mer : Ernest Hemingway L’île au trésor : Robert Louis Stevenson Les contes de Charles Perrault Le parfum : Patrick Süskind Poil de carotte : Jules Renard La machine infernale : Jean Cocteau Les fourberies de Scapin : Molière L’amant : Marguerite Duras L’étranger : Albert Camus La gloire de mon père : Marcel Pagnol Harry Potter à l'école des sorciers : J.K. Rowling Sa majesté des mouches : William Golding

« sombre » et puis au vers d’après avec « ombre ». On relève aussi une personnification au vers 7 : « …avec les dents d’une machine », qui transforme les machines en monstre ce qui évoque bien l’angoisse et la peur que peuvent ressentir ces enfant devant de tels outils. Les champs lexicaux de ce poème « prison ; bagne ; enfer » nous plonge dans cet univers infernal que subissent les « innocents » comme le dit Victor Hugo. Ces enfants vivent un enfer quotidien, ils possèdent des conditions de