La Machine Infernale

début d'Antigone, la tirade du chœur, prononcée à un moment décisif, présente la tragédie. À partir des repérages lexicaux, des images, des métaphores, on peut classer les caractéristiques qui en sont données. • La mécanique tragique :  L’idée de machine ressort de tout un vocabulaire technique (ressort bandé, coup de pouce, démarre, Cela roule tout seul, minutieux, bien huilé,). La tragédie est présentée comme un déroulement automatique et autonome, qu’il suffit de mettre en marche. • Le caractère

depuis l'huître de Ponge vers la Perle des Roland et le "Zut !" peu poétique de ce chez de famille peu porté sur la poésie ... Heureusement que les Impressionnistes nous révèlent la beauté des paysages normands, lumineux. De nouveau, cette machine infernale du futur examen et les troupeaux de rhinocéros n'avait plus de secret pour nous. Fiers d'avoir su résister à tant d'épreuves, nous nous plongeâmes dans l'insolence de Figaro en évitant le naufrage sur l'Ile des esclaves car le théâtre de l'Ile

d’Orphée. La Méditerranée mythologie sera pour lui une grande source d’inspiration, aussi Cocteau oscillera entre tradition et innovation dans chacune de ses oeuvres. Il réécrira notamment le mythe d’Antigone en 1922 ou celui d’Oedipe dans La Machine Infernale en 1934. Il sera élu à l’Académie Française en mars 1955, avant de s’éteindre en 1963, laissant derrière lui un véritable testament artistique.

l’effondrement d’un segment du marché immobilier américain auraient pu, en d’autres temps, rester circonscrites au territoire des États-Unis, l’explosion de la bulle immobilière américaine a entraîné l’économie mondiale dans la tourmente. Cette mécanique infernale a été déclenchée par la politique monétaire expansionniste mise en œuvre par la Réserve fédérale des États-Unis au début des années 2000. Après avoir répondu à l’éclatement de la bulle des valeurs technologiques en ramenant son principal taux directeur

à l'opium, il se peut qu'il y ait eu des répercutions dues à cette drogue sur la grossesse. Vers 1933, Cocteau fait la connaissance de Marcel Khill qui devient son compagnon et joue, à sa création, le rôle du messager de Corinthe dans "La Machine Infernale". Ils feront ensemble, en 1936, un tour du monde en 80 jours relaté par Jean Cocteau dans "Mon Premier Voyage" (Editions Gallimard). Cocteau entretient ensuite une relation de longue durée avec deux acteurs français, Jean Marais et Edouard

et solitaires, ne pensent plus d'eux même, ne réflechissent plus. Ceux ne sont que des machinesqui répètent sens cesse le « même mouvement » (vers 6), dans le désarroi. Nous pouvons de même remarquer une gradation ascendante concernant cet univers infernal « prison, bagne et enfer ». Victor Hugo, emploi le mot « cendre » (vers 12) il peut représenter la cendre du charbon qui est exposé dans les usines, mais si l'on projete l'image un peu plus loin, nous pouvons imaginer que cela peut-être décrit comme

c) Un lieu presque infernal. Ce lieu est presque infernal car les horizons rougeoyants, le noir des ténèbres, le rouge qui ramène aux enfers. La strophe décrit ce que l’on voit et pas ce que l’on sent = c’est

des histoires extraordinaires rendues possibles par des machines incroyables pour l’époque. Car la plupart des « inventions » de Jules Verne se sont réalisées. En sa mémoire d’ailleurs, le premier sous-marin nucléaire fabriqué par le France prit le nom de Nautilus, comme le submersible du Capitaine Nemo, dans Vingt mille lieues sous les mers. Jules Verne a donc fait de l’anticipation scientifique, sur mer et dans les airs. La machine infernale de Robur-le-conquérant est un peu le précurseur des hélicoptères

Il emploie de nombreuses métaphores pour incister sur la personnification des machines « sous les dents d'une machine sombre » vers 7. Cet univers est infernal, la gardation croissante du champ lexical de l'usine « prison », « bagne », « enfer », nous plonge dans ce monde d'esclavage que subissent ces innocents. Les machines sont transformés au vers 7 en de féroce animaux par une personnification « les dents d'une machine », puis l'évocation de l'angoisse des enfants devant de pareils outils, est reprise

relation trois textes théâtraux ainsi qu’une photographie. La première pièce est un extrait de la scène d’exposition de Beaumarchais intitulé Le Mariage de figaro publiée en 1784. Le document B est une œuvre de Jean Cocteau publié en 1934 appelé La Machine infernale. Ensuite, le troisième texte de théâtre est un passage de l’acte I d’Oh les beaux jours de Samuel Beckett édité en 1961. Enfin le dernier document est une photographie d’Yves Borrini qui est une représentation de la mise en scène de l’œuvre de