La Main du diable

1886. Mains. Main du Diable. 1387044874_9aa449fac1.jpg (500×333)la_main_de_dieu_rodin.jpg (330×338) -L'Enfant Prodigue: Rodin à en tête l'oeuvre de Rembrant. La sculpture se donne comme pour être pris dans les bras. Le corps est mis en tension. Rodin va l'associé à une autre pièce et va prendre un autre sens. -Main du Diable. Main de Dieu: Couple entrain d'éclore. Main mise en scène avec un personnage, dans un draps, jeux de lumière: change la perception. La Main de Dieu. Iris, la

littéraires officiels du régime Soviétique(cf contexte historique). Il est mis à l'écart dans un hôpital psychiatrique. Le diable qui prend la forme d'un expert en magie noire descend à Moscou accompagné de quelques serviteurs. Ils provoquent des incidents surnaturels suscitant la panique des moscovites et des bureaucrates soviétiques. Marguerite rencontre l'un des serviteurs du Diable. Il lui propose un marché : devenir la reine d'un bal organisé par Satan en échange de quoi elle pourra revoir le Maître

désignés par sa main droite levée, tandis que les damnés sont repoussés par sa main gauche baissée. Il trône devant une grande croix. Au-dessus de lui, deux anges sonnent l'olifant pour annoncer la venue du Jugement. A droite du Christ : les " justes " A droite du Christ, on trouve la Vierge, Saint Pierre (identifiable à ses clefs), Dadon (le fondateur de l'abbaye), l'abbé Bégon (sous l'abbatiat duquel s'est terminée la construction de l'abbatiale). Ce dernier tient Charlemagne par la main, ce qui rappelle

histoire où un Procureur relativement âgé, demeurant aux abords de Paris et aillant perdu sa femme, tente de retrouver une nouvelle compagne. Il jette son dévolu sur une villageoise (« une jeune garse ») prénommée Gillette. Pour cela, il va demander sa main à la mère qui accepte par dépit de pauvreté. S’apercevant que la jeune fille est niaise, « parce qu’elle n’avoit encores veu que des vaches », il l’habille dignement et la délaisse un tant soit peu au profit de son travail. Mais, le Procureur « avoit

lurons qui auraient envie de courir la chasse-galerie ou le loup-garou, je vous avertis qu’ils font mieux d’aller voir dehors si les chats-huants font le sabbat, car je vais commencer mon histoire en faisant un grand signe de croix pour chasser le diable et ses diablotins. J’en ai eu assez de ces maudits-là, dans mon jeune temps. Pas un homme ne fit mine de sortir : au contraire, tous se rapprochèrent de la cambuse où le cook achevait son préambule et se préparait à raconter une histoire de circonstance

) Qui est -il ? : Le Diable ou Satan pour les chrétiens, a reçu de nombreux noms montrant ainsi qu'on le considère comme universel et qu'il a su prendre de nombreuses formes. Il est Mâra qui tenta Bouddha, Belzébuth chez les Philistins (peuple combattu par Samson dans la Bible), Ham Shatan pour les Hébreux, Ahriman chez les Perses, Lucifer pour les Babyloniens et les pères de l'église chrétienne, Méphisto dans la légende du docteur Faust, il est aussi Iblis qui refusa de se prosterner devant

genre fantastique. Dans ce texte c'est le narrateur qui parle, donc Don Juan ne fait pas apparition mais le narrateur le critique sous forme de monologue. La problématique que nous allons poser est la suivante: Pour quoi Don Juan est-il proche du Diable ? Pour répondre à cette problématique nous allons voire en premier lieu en quoi le texte rompt avec l'interprétation classique du mythe de Don Juan, dans cette première partie nous allons voir deux sous-parties, la première, les différences avec le

qui n’est pas sage, qui est méchant et qui a une mauvaise réputation. Ainsi lui dit-il: « Traître (évocation du thème de la trahison) que Dieu t’inflige le châtiment qu’exige un crime de ce poids! Prends garde que, si Dieu semble te tolérer, sa main ne tarde point, et que son châtiment ne saurait épargner celui qui comme toi son nom a profané! et Dieu, quand vient la mort, est un juge implacable ». Un peu plus loin, il dit aussi « Quoi que je fasse et quoi que je te dise, nul châtiment ne peut

passera toute son enfance à Paris où la famille déménage trois ans après sa naissance. Il aura deux soeurs mais en tant que fils unique il sera au centre des préoccupations du couple. Gautier sut lire à cinq ans, un livre à retombées durables fut Le Diable amoureux de Cazotte et autres classiques du roman noir viendront plus tard[1]. Il rejoindra en janvier 1822 l'internat de Louis-le-Grand, puis le collège Charlemagne. La famille mène une vie de petits bourgeois. Vers la fin des années 30 on constate

du libertin ➢ Un rationaliste qui refuse d’accepter le surnaturel À la fin de la scène 4 (« Si le Ciel me donne un avis, il faut qu’il parle un peu plus clairement, s’il veut que je l’entende ») puis de la scène 5 (« Spectre, fantôme ou diable, je veux voir ce que c’est »), DJ continue de mettre en cause la nature des apparitions du spectre. ➢ Un homme sans peur DJ fait preuve d’un courage téméraire (« non, non, rien n’est capable de m’imprimer de la terreur » [sc. 5]) qui l’assimile