La main passe

regretté Christian passé à l'orient eternel. Je souhaite tout d'abord évoqué un certain nombre de chaines d'union qui m'ont marqué. La toute première, quand lors de mon initiation le bandeau tomba et que je me suis trouvé dans cette chaine d'union (longue), c'est à ce moment que je compris pour la première le plaisir de la fraternité maçonnique. Autre moment d'émotion, cette chaine autour du cercueil de Christian, puis plus tard avant qu'il soit incinéré, je posai ma main sur le cercueil et

éphémères ne me rendent plus que pensif. A vrai dire, je n'aime pas cette ville , ni ces gens, ni cette vie. La mienne est à l'opposé de la leur ; je la vis au jour le jour. Mon quotidien est loin du métro-boulot-dodo de la plupart d'entre eux. Je passe mon temps enfermé dans mon appartement ; loin de cette population si sociable et basée sur le don de soi et les apparences. Je ne cherche d'ailleurs personne pour partager ma solitude, dégoûté de la nature humaine qui se cache, tapie sous nos masques

Chapitre quarante-sept Veronica Roth Extrait : Never Sky CHAPITRE UN Je m’éveille avec son nom à la bouche. Will. Les yeux fermés, je le revois qui s’affale sur le trottoir. Mort. Et c’est moi qui l’ai tué. Tobias s’accroupit devant moi, une main sur mon épaule gauche. Le wagon tressaute sur les rails. Marcus, Peter et Caleb sont debout devant la portière ouverte. Je gonfle mes poumons et je bloque ma respiration dans l’espoir de soulager un peu le poids qui m’oppresse. Il y a encore une

accompagnant tous cela. Elle joue au carte et regarde sur le cote en direction de l'autre femme tout en cachant ses carte et tendant ça main. L'homme à gauche est de dos et tourne la tête, il a les yeux et un sourire en coin. Il prend une carte dans son dos avec la main gauche, il prend un as de carreau et laisse un as de pique, il garde ses autres cartes dans son autre main ~On peut donc en conclure que le titre « le tricheur à l’as de carreau » vient de se personnage~. Son regard se tourne vers l’extérieure

Ils ont tous été tués, absolument tous, chaque fois, tous les jours sans aucune exception. On n’y va plus. On a faim. On a soif. On voit là-bas un mort couché par terre, pourri et plein de mouches mais encore ceinturé de bidons et de boules de pain passées dans un fil de fer. On attend que le bombardement se calme. On rampe jusqu’à lui. On détache de son corps les boules de pain. On prend les bidons pleins. D’autres bidons ont été troués par les balles. Le pain est mou. Il faut seulement couper le morceau

maman regarde alors Sandrine et lui demande : < La matinée s’est bien passée pour Léa ? A-t-elle bien mangée ? > et cette dernière, prend du temps avant de lui répondre. Je peux observer qu’avant de répondre à la maman de Léa, Sandrine reste assise, tourne la tête vers sa collègue qui est assise à sa droite, mais qui est occupée avec les enfants puis sourit à la maman. J’entends alors Sandrine qui répond : < Léa a passé une bonne matinée, elle a bien mangé et elle à demander à aller aux toilettes

je rince bien le gant et je savonne les jambes en commençant par la jambe gauche et terminer par la jambe droite, je rince mon gant, je passe un coup propre sur les jambes après je sèche avec la serviette.On change l’eau pour la toilette intimes.On commence par le vagin et par la suite terminer par le plus sale, l’AS FF mouille un gant jetable car Mme A à fait des selles donc elle savonne

LA GLOIRE DE THIERRY HENRY Si la main de Thierry Henry est devenue « l’affaire de tous », selon le titre d’un quotidien, c’est que les concepts fondamentaux de toute pensée, ceux qui imprègnent et organisent la vie quotidienne de tout un chacun, sont ici, concrètement, en jeu : la justice, le destin, Dieu, le hasard, le rapport à la loi, le rapport à l’autre, la vérité, la véracité, et enfin, la gloire du nom propre, si chère au héros homérique. A toute chose Achille préfère sa réputation, ce

 garde  en  mémoire  nos  réac4ons  pour  les   reproduire  dans  une  situa4on  similaire.  C'est  le  principe  de  la  phobie.  Une  expérience  trauma)sante   dans  le  passé  conduit  le  corps  à  réagir  de  la  même  façon  à  la  simple  vue  d'un  élément  rappelant  ce   trauma)sme,  que  ce  soit  un  animal,  un  lieu,  un  objet

précipice. Tout en cherchant qu’est ce qu’il se passé, Funek ne comprenait pas, ils vinrent d’arriver dans un nouveau monde complètement fou et idyllique, un genre de village orientale enfouit sous la mer. Tout était fait naturellement, il n’y avait pas d’électricité mais des torches, pas de maisons mais des tipis fait de terres sèches. Ils entendirent au loin des bruits d’enfants qui s’amusaient, essayant de chercher où ils étaient Funek pris sa femme par la main et avancèrent tout deux dans ce petit village