La Malédiction finale

péchés mortels : ne défendre aucune cause ce qui conduit à rechercher l'éclat du pouvoir au lieu du pouvoir réel ; et n'avoir pas le sentiment de sa responsabilité qui conduit à ne jouir du pouvoir que pour lui-même, sans aucun but positif. Le résultat final de l'activité politique répond rarement à l'intention primitive de l'acteur, il peut être même paradoxal. Mais cela ne veut pas dire qu'il ne sert à rien de se mettre au service d'une cause, sinon l'action perdrait tout son sens. Quant à la nature

élève, l'enlève pendant une course de chars et en fait son amant. Accablé de honte, Chrysippe se serait pendu. Selon une autre version, il aurait été assassiné par ses demi-frères sur la demande de leur mère Hippodamie. Pélops appelle, alors, la malédiction d'Apollon sur Laïos ainsi que sur ses descendants. De retour à Thèbes, Laïos devient roi de Thèbes et épouse Jocaste. Mais un oracle à Delphes l'avertit que si il a un fils, il tuera son père et épousera sa mère. Laïos, prudent, se garde alors

poursuivre. Phèdre ne peut lui échapper. « cruelle destinée » = réf aux Dieux. Digression sur la vengeance de Vénus sur la descendance du Soleil. Répétition de Vénus au vers 306. Métaphore du lien « attachée » ,fatal hymen : fatal renvoie à la malédiction, aux DieuxSemble 1 bonne épouse : métaphore agricole : cultiver les fruits, soumise à mon épouxenjambement au vers 269 à peine...que = sous-entendu la Fatalité arrive rapidementB- Phèdre est coupable car elle est monstrueuse ( elle se dégoûte elle-même

16 ans. Il a débuté sa carrière internationale en 1994 et s'est tout de suite imposé parmi les meilleurs coureurs de demi-fond, finissant deuxième du 1 500 mètres des mondiaux de Göteborg en 1995. Aux Jeux olympiques d'Atlanta, il échoua en finale du 1 500 m à la 12e place en raison d'une chute à un tour de l'arrivée, alors qu'il était dans le sillage du triple champion du monde, Noureddine Morceli, qui venait d'accélérer en tête - l'incident suscitera une certaine controverse, d'aucuns supposèrent

classe spécifique de la cité joue un rôle « actif » dans la pièce et symbolise une frontière, un état intermédiaire entre ces deux mondes qui sont représentation du réel et du fictif, celui-ci permettant autant de les lier que de les distancier. Au final, toute l’organisation géométrique du théâtre fait sens, elle réagit comme une condensation de la Cité, dont le lieu géographique du théâtre serait comme un microcosme de la Cité passée par le filtre de la figure dionysiaque. Alors tous les représentants

légende et les tragédies que celles-ci inspirèrent dès l’Antiquité, pour comprendre par la suite, la manière dont Giraudoux utilise et transforme ce mythe. L’histoire d’Electre est le dernier épisode d’une série d’actes horribles auxquels la malédiction des dieux soumet une race de rois. La faute originelle : L’orgueil sacrilège et criminel de Tantale, roi de Phrygie est le point de départ. Pour éprouver la sagacité et la justice des dieux, il voulut leur donner son fils Pelops à manger. Les

plus de 2000 ans donc déjà connu du public : les personnages sont déjà connus (Agamemnon, le roi lâchement assassiné, le couple Clytemnestre/Egisthe qui accède ensuite au pouvoir, Electre et Oreste appelé à la vengeance et qui perpétuent donc la malédiction des Atrides) et l’intrigue ancienne est déjà connue comme le souligne le mendiant dès le début de la pièce de Giraudoux, puisqu’il raconte la mort d’Egisthe et Clytemnestre avant même qu’elle ne se déroule. - C’est une histoire liée à un contexte

l’irrésolution et de l’expérience de l’impossible. Précurseur : le roman gothique (transposition horrifique d’événements surnaturels surgis du fond des âges, avec explications à la fin) ; mais dans le fantastique, pas de « retour à la normale » final. Tournant XIXè-XXè siècles : affirmation de la psychanalyse ⇒ influence sur le fantastique psychologique. Dans le monde contemporain envahi par le mal urbain qu’est l’indifférence ou la négation de l’individu, le fantastique de la solitude est

l’acte III, le retour de Thésée a accéléré l’action. Le roi a cru la calomnie d’Oenone, confidente de Phèdre, contre son fils, Hippolyte, et, sous l’effet de la colère, sans écouter ses protestations d’innocence de son fils, a appelé contre lui la malédiction de Neptune. L’acte IV se termine sur la jalousie de Phèdre, qui renonce ainsi à disculper Hippolyte. Mais l’acte V fait naître chez Thésée des doutes, trop tardifs : le récit de Théramène lui apprend la mort terrible d’Hippolyte. Dans cette scène

l’acte III, le retour de Thésée a accéléré l’action. Le roi a cru la calomnie d’Oenone, confidente de Phèdre, contre son fils, Hippolyte, et, sous l’effet de la colère, sans écouter ses protestations d’innocence de son fils, a appelé contre lui la malédiction de Neptune. L’acte IV se termine sur la jalousie de Phèdre, qui renonce ainsi à disculper Hippolyte. Mais l’acte V fait naître chez Thésée des doutes, trop tardifs : le récit de Théramène lui apprend la mort terrible d’Hippolyte. Dans cette scène