La Malédiction finale

« sorcière », « chevaliers », « château »… Schéma narratif : situation initiale = qui est la Loreley (vers 1-2) ; élément perturbateur : le jugement (vers 3) ; péripéties jusqu’au vers 27 ; dénouement : la Loreley monte sur le rocher (vers 27-36) ; situation finale = trois derniers vers, la fin de la Loreley. Morale comme dans un apologue ? C. Le mythe de la Loreley revisité Créé par le poète romantique allemand Brentano début XIXème siècle = elle possédait le pouvoir de s’emparer de l’esprit des hommes et

l'allitération en dentales [D,T]: "Ton orgueil peut Durer au plus Deux ou Trois ans" v 1 / v 3 "Tu verras que Ta flamme alors sera Tardive" Il semble reprocher à la belle d'avoir une trop haute idée d'elle-même. Mais la mise en garde devient vite malédiction ainsi que le souligne l'allitération en dentales v 5 "Tu seras le refus de Tous les courTisans". La récurrence du son [R] traduit par ailleurs une certaine agressivité. - le terme "médisants" au pluriel v 4 englobe le poète qui médit aussi

imposteur, un traitre dont l’on doit se moquer et qu’il faut rejeter. Le mythe du juif errant explique, quelque part, les prémices des persécutions dont la communauté juive est victime. D’ailleurs, Hitler, pour légitimer son fameux programme- solution finale- se fonde essentiellement sur les stéréotypes infligés au peuple juif. Le juif est, dès lors, considéré comme une personne maudite qu’il faut faire disparaître de la terre. Voilà pourquoi l’Holocauste fut la tragédie la plus meurtrière que l’humanité

de l’amour poursuit Phèdre de sa haine et œuvre incessamment à la perte de sa famille. Une présence continuelle des Dieux Ainsi les dieux sont présents dans la pièce et confèrent une aura tragique au personnage de Phèdre. Il y a sur elle une malédiction divine qui crée la fatalité sous le signe du sang, des amours défendues et maudites et pour finir de la mort. D’ailleurs Phèdre sait que l’univers qui l’entoure est habité de forces agissant pour son propre malheur : Les Dieux m’en sont témoins

" funeste"(v.25), ou encore "Qu’il meure"(v.26): celui de la mort, que lui a envoyé Hermione à travers Oreste. Elle entame par la suite une série d'antithèses et de contradictions, permettant de diviser le texte en plusieurs parties, alternant malédictions et expression d'amour: "Et je le plains encore !"(v.11) (Le terme "Et" signifiant ici "Pourtant", là où elle parlait de sa haine envers lui, elle exprime sa compassion par cette opposition.), "Non, ne révoquons point [...]"(v.15) (Le mot "Non"

Houdon et se trouve à la comédie française) : représenté avec un sourire ironique ; Montesquieu, Sur l’esclavage des nègres « ils ont le nez si épaté qu’il est difficile de les plaindre » Dès qu’il y a ironie, il y a double sens. Œdipe lance une malédiction qui se retourne contre lui. Les spectateurs connaissent l’histoire, ils connaissent la fin car c’est un mythe connu : ils viennent juste voir une mise en scène et peuvent ainsi faire attention aux détails => les spectateurs frémissent car il

1 300 athlètes provenant de 37 pays participent à ces Jeux. On compte parmi eux notamment l’Allemagne de l’ouest et de l’est, l’Autriche, la suisse, la norvège, l’afrique du sud, le canada, les deux corée, la jamaïque, la russie…etc. Le classement final des ces jeux vit la Norvège se qualifier à la première place, en seconde vint l’URSS et puis La France en troisième place sur le podium. Alors que Calgary (Canada),Grenoble (France), Lahti (Finlande), Lake Placid (U. S. A.), Oslo (Norvège), Sapporo

Un tableau répugnant. Dans le deuxième paragraphe  le mot fort est "l'orgueil" des maîtres d’école... orgueil qui prend la forme de l’autosatisfaction   " ils se croient...") . Ils  ressentent  le besoin d’être reconnus  " admirateurs " . La scène finale laissent suggérer leur pédantisme (pédanterie) . Les trois verbes (colportent ,trouvent, se persuadent) miment le cheminement de leur démarche pour être admiré. Ces maîtres d’école sont de vrais cuistres , cruels et aussi sordides que le lieu où

scène noir => Le Soleil d’York sera vite assombri par l’ombre de Richard. - Quelques touches de couleur ressortent donc. Début programmatique comme une prophétie inéluctable. Toutes les femmes = veuves, qui n’ont plus que la parole et la malédiction pour exister. C’est l’image de l’impuissance des femmes face à l’histoire. Elles peuvent engendrer mais sont démunies de ce qui fait leur puissance dans le monde: leur mari. Symétries récurrentes dans la mes de TJ. Richard éclaire les endroits

au long de la pièce nous assistons à des scènes joviales mais aussi pathétiques. Rires et larmes se confondent. Pour preuve, relire la pièce de puis la vingtième page. Cependant ces émotions se teintent d’une dimension symbolique. Ainsi, les rires finals ne sont pas anodins. p87 : « On entend pour la première fois les bruits humains de la foule invisible : ce sont des éclats de rire, des murmures, des « chut », des toussotements ironiques » En effet, pour le dramaturge, le rire « est l’aboutissement