La Maïeutique De Socrate Et Les Sophistes

à la philosophie. Platon, Descartes, Hegel, Comte 3 Table des matières Avertissement au lecteur, 21 avril 1939 Première partie : Platon. Onze chapitres sur Platon I. SOCRATE - Le plébéien. - Platon descendant des rois. MaÏeutique. - Torpille marine. - L'universel. - La fraternité. Socrate moraliste. - Socrate en Platon II. PROTAGORAS. - Le sceptique. - L'homme d'État - La pensée. Les cinq osselets. III. PARMÉNIDE. - Le faux platonisme. - L'idée extérieure. Participation. -

effort de réflexion sur le pouvoir. Paragraphe 2 : La remise en cause intellectuelle de la démocratie radicale. Les sophistes Ce sont souvent des métèques. Athènes est le lieu de concentration pour toute la Grèce. Les sophistes vont être les témoins de la vie athénienne, sans être impliqués. Ils sont sur place, sans être personnellement impliqués. Les sophistes développent souvent le panélénisme, l’exaltation de la communauté de cultures et de civilisations de tous les Grecs. Ils

réminiscence.Socrate disait pratiquer la maïeutique, il se disait accoucheur des âmes. Il ne pensait pas se souvenir mieux que les autres mais connait la technique pour se souvenir, et c’est la dialectique :· La dialectique ascendante : du sensible vers l’intelligible, ou de monter dans la hiérarchie des Idées· La dialectique descendante : de l’intelligible au sensible, descendre la hiérarchie des Idées.Platon illustre sa théorie dans un dialogue qui s’appelle Menon, Socrate fait découvrir à l’esclave de Menon

du bien et du mal... 4. Les philosophes de la nature ... rien ne naît du néant... 5. Démocrite ... le jouet le plus génial du monde... 6. Le destin ... le devin essaie d'interpréter quelque chose qui par nature échappe à toute interprétation... 7. Socrate ...la plus intelligente est celle qui sait qu 'elle ne sait pas... 8. Athènes ... à la place des ruines s'élevaient plusieurs hauts édifices... 15 25 37 44 58 65 75 92 12 LE MONDE DE SOPHIE SOMMAIRE 13 9. Platon

37 4. Les philosophes de la nature ... rien ne naît du néant... 44 5. Démocrite ... le jouet le plus génial du monde... 58 6. Le destin ... le devin essaie d'interpréter quelque chose qui par nature échappe à toute interprétation... 65 7. Socrate ...la plus intelligente est celle qui sait qu 'elle ne sait pas... 75 8. Athènes ... à la place des ruines s'élevaient plusieurs hauts édifices... 92 12 LE MONDE DE SOPHIE 9. Platon ... une nostalgie de retrouver la vraie demeure de l'âme.

Français de la Faculté de Pédagogie de l’Université Masaryk, d’avoir accepté mon sujet et de m’avoir guidée pendant le travail sur mon mémoire. SOMMAIRE INTRODUCTION 6 1. HISTOIRE DE L’ARGUMENTATION 9 1.1. Ve siècle av. J.-C., sophistes 9 1.2. Socrate, Platon 10 1.3. Aristote 10 1.4. Moyen Âge 11 1.5. De Descartes au XIXe siècle 11 1.6. XXe siècle 12 2. ANALYSE DE TEXTE 13 2.1. Lire un texte complexe 13 2.1.1. Explorer le texte 16 2.1.1.1. 1ère étape – les

vanité des philosophes a) La vertu de la connaissance+ Philosophe aussi objet de la critique> celui qui sait, met en avant la vertu, parle (ici moins que le $)> démarche proche de maïeutique (jeu de q et de r) qui vise à instruire son interlocuteur+Echanges qui pousse le S à poser des q => échange philosophique> S a une certaine pitié dénigrante pour la « petite » race humaine => q sur la nature et le rôle des philosophes=>

cette définition que fera sienne Socrate (469-399 av J-C) à l’encontre des sophistes qui croyaient tout savoir. Sa sagesse se résume dans sa célèbre formule : « je ne sais qu’une seule chose, c’est que je ne sais rien ». Socrate dira plus précisément encore que seul celui qui se sait non sage peut désirer atteindre la sagesse. Platon (428-348 av J-C), son illustre disciple est le « père » de la philosophie occidentale à travers ses dialogues qui mettent en scène Socrate. Or, ces dialogues sont souvent

conviction, cet homme qui va monopoliser l’attention de ses congénères et leur asséner sa certitude d’avoir, en ce qui le concerne, compris ce qu’il faut croire et de ne pas s’embarrasser d’un moindre doute sur ce qui est relatif à la nécessité, le sophiste ne pourra que répliquer par le relativisme d’une pensée faible, étayée sur la fausse idée d’un croire avoir compris, c'est-à-dire d’une autre conviction. « L’à quoi bon penser » se justifie par l’efficacité dans le design de la pensée elle-même

|Difficulté logique d’où l’on ne peut sortir. | | |L’aporie socratique est l’impasse devant laquelle se trouvent les interlocuteurs de Socrate lorsqu’ils sont | | |incapables de dépasser l’opinion pour accéder à l’universel. | | |Chez Aristote, l’aporie désigne deux